Les chirurgiens n'ont pas toujours été bien considérés

Proposé par
le
dans

Si la chirurgie est aujourd'hui considérée comme une profession noble et nécessitant des compétences de haut niveau, cela n'a pas toujours été le cas. Au Moyen-Âge, l'exercice se faisait au même titre que les barbiers et actuels coiffeurs, sous le nom de barbiers-chirurgiens, mal considérés par les médecins et situés bas dans la hiérarchie sociale de l'époque.


Commentaires préférés (3)

Barbier chirurgien... Ils existent toujours aujourd'hui puisque je me suis déjà retrouvé le crâne rasé après une oppération...

Les chirurgiens connaissent leurs clients sous toutes leurs coutures.

En même temps les chirurgiens de l'époque étaient a mon avis plus proche des bouchers que des médecins ! :p


Tous les commentaires (42)

Barbier chirurgien... Ils existent toujours aujourd'hui puisque je me suis déjà retrouvé le crâne rasé après une oppération...

Les chirurgiens connaissent leurs clients sous toutes leurs coutures.

En même temps les chirurgiens de l'époque étaient a mon avis plus proche des bouchers que des médecins ! :p

Aujourd'hui c'est une des profession les plus sollicités au vu du physique de certains

Posté le

android

(9)

Répondre

D'ailleurs les chirurgiens n'operaient pas eux mêmes, mais dictaient les consignes à des assistants...

D'ailleurs les barbier faisaient de la chirurgie avant que les 'chirurgiens' de l'epoque existent

Posté le

windowsphone

(6)

Répondre

C'est vrai que ça devait plus être de la boucherie qu'autre chose à cette époque.

"Alors monsieur ! Comment je vous arrange les intestins aujourd'hui?"

Posté le

android

(25)

Répondre

Hommage à notre amis Mayennais: Ambroise Paré. Qui a révolutionné la chirurgie et qui a sauvé de nombreuses vie durant les guerres Napoléoniennes.

Posté le

android

(36)

Répondre

Les chirurgiens de l'époque étaient quand mêmes plus des bouchers qu'autre choses...;)

Le barbier-coiffeur-chirurgien se transformait volontiers en boucher-charcutier.

Comme le dit la première source : "En 1215, le IVe concile du Latran interdit explicitement aux prêtres d'exercer la chirurgie." Il faut bien comprendre que ce n'est pas une interdiction du métier de chirurgien. D'ailleurs Saint Louis avait son propre chirurgien. Mais cette interdiction était une règle imposée aux gens d'Eglise de ne plus exercer la chirurgie. Mécaniquement, cette science fut reprise par ceux qui s'occupaient déjà des soins du corps : les barbiers notamment. Cette interdiction faite aux prêtres n'était pas obscurantiste, contrairement à ce qu'on peut d'abord croire. Le métier des prêtres est d'abord de s'occuper des âmes, et non des corps. Mais beaucoup de lettrés étant également clercs, cela revint en fin de compte à déposséder la discipline chirurgicale de la plupart de ses grands praticiens.

a écrit : Hommage à notre amis Mayennais: Ambroise Paré. Qui a révolutionné la chirurgie et qui a sauvé de nombreuses vie durant les guerres Napoléoniennes. Qu'avait il fait? Ce n'est pas lui qui faisait des amputations de manière très rapide pour éviter l'infection?

a écrit : Aujourd'hui c'est une des profession les plus sollicités au vu du physique de certains J'ai une place de libre vendredi si cela vous intéresse toujours.

Être chirurgien à l'époque, ça se résumait surtout à faire des saignées, concocter des solutions imbuvables, et amputer des membres... Sympa...

Posté le

android

(14)

Répondre

Ça devait être barbant d'exercer à cette époque...

Posté le

android

(8)

Répondre

a écrit : Les chirurgiens connaissent leurs clients sous toutes leurs coutures. Et les tailleurs également, il paraît.

Posté le

android

(1)

Répondre

a écrit : Hommage à notre amis Mayennais: Ambroise Paré. Qui a révolutionné la chirurgie et qui a sauvé de nombreuses vie durant les guerres Napoléoniennes. quand j'ais lu ton commentaire , quelque chose m'a fait douté , Ambroise Paré est né en 1510 , donc: il a initié la chirurgie moderne , mais, a jamais participé aux guerres napoléoniennes !
c'est plus claire comme ca !

On peut noter que les prêtres étaient souvent ceux sollicité et que leur remèdes consistaient à allonger le blessé à côté d'une relique d'un saint..
Les barbiers étaient en revanche bien plus expérimentés, notamment pendant la guerre de 100 ans.

Posté le

android

(1)

Répondre