La première LED fut utilisée pour le nez d'un renne

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La première utilisation de l'éclairage LED fut le nez luminescent de Rudolphe dans le film en stop motion "Rudolphe le renne au nez rouge". En 1962, Nick Holonyak Jr, alors consultant chez General Electric, mit au point la première LED visible (rouge), qui fut utilisée l'année suivante dans le film.


Commentaires préférés (3)

Apparemment c’est un grand classique là bas, rediffusé tous les ans et très connu. Nous c’est le Père Noël est une ordure Aha. Deux salles deux ambiances ^^
Cela dit nous aussi on y trouve une utilisation magique des led grâce au jeu Simon qu’utilise madame Musquin dans l’ascenseur coincé…

Les LED sont des sources lumineuses à base de semi-conducteur, donc sans chauffer une filament, ni exciter un gaz.
Le phénomène est électrique et quantique : la tension appliquer à un semi-conducteur va mettre des électrons de valence dans la bande de conduction. Comme son nom l’indique, la bande de conduction permet la conduction électrique. Une "bande" ici réfère à un niveau d’énergie.

Dans les conducteurs, ces deux niveaux se chevauchent et le courant passe toujours. Dans les isolants, ces deux bandes sont distantes et un électron ne peut pas devenir conducteur. Dans un semi-conducteur, les deux bandes sont distances d’un gap qu’une petite tension (tension de seuil de la diode) permet de franchir pour rendre la diode conductrice.

Quand un électron est ainsi excité dans la bade de conduction, il peut redescendre et dans ce processus, il émet un photon, donc de la lumière.
La couleur de la lumière va dépendre de la largeur (en terme d’énergie) du gap entre les bandes de conduction et de valence.

Cette largeur dépend elle-même de la nature du cristal semi-conducteur.
Dans le arséniure-phosphure de gallium, la lumière émise est rouge.

Si on veut une couleur particulière, il faut donc trouver le bon semi-conducteur. Et ça, c’est une recherche très difficile.

À tel point que la découverte de la LED bleue de forte intensité en 1993 (à base d’arséniure de gallium) a débloqué un prix Nobel à ses découvreurs.

On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.
C’est le cas aujourd‘hui : les LED bleues sont partout et les écrans OLED utilisent des minuscules led de couleur R/G/B pour faire des écrans.

Bref, tout ça pour dire que faire des LED colorées c’est pas simple et que si vous voyez une LED bleue (ou blanche) aujourd’hui, sachez qu’il y a des prix Nobel dérrière leur découverte !

(PS : pour les amateurs de pointeurs laser, on constate que certaines couleurs sont beaucoup plus chères que d’autres. Le bleu est désormais bon marché, mais le jaune est lui encore très cher, car le semi-conducteur et la diode LASER qu’elle comporte est très difficile à produire. Comptez 5€ pour un laser vert ou rouge, 10€ pour un bleu, mais 500€ pour un jaune !)

a écrit : Les LED sont des sources lumineuses à base de semi-conducteur, donc sans chauffer une filament, ni exciter un gaz.
Le phénomène est électrique et quantique : la tension appliquer à un semi-conducteur va mettre des électrons de valence dans la bande de conduction. Comme son nom l’indique, la bande de conduction pe
rmet la conduction électrique. Une "bande" ici réfère à un niveau d’énergie.

Dans les conducteurs, ces deux niveaux se chevauchent et le courant passe toujours. Dans les isolants, ces deux bandes sont distantes et un électron ne peut pas devenir conducteur. Dans un semi-conducteur, les deux bandes sont distances d’un gap qu’une petite tension (tension de seuil de la diode) permet de franchir pour rendre la diode conductrice.

Quand un électron est ainsi excité dans la bade de conduction, il peut redescendre et dans ce processus, il émet un photon, donc de la lumière.
La couleur de la lumière va dépendre de la largeur (en terme d’énergie) du gap entre les bandes de conduction et de valence.

Cette largeur dépend elle-même de la nature du cristal semi-conducteur.
Dans le arséniure-phosphure de gallium, la lumière émise est rouge.

Si on veut une couleur particulière, il faut donc trouver le bon semi-conducteur. Et ça, c’est une recherche très difficile.

À tel point que la découverte de la LED bleue de forte intensité en 1993 (à base d’arséniure de gallium) a débloqué un prix Nobel à ses découvreurs.

On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.
C’est le cas aujourd‘hui : les LED bleues sont partout et les écrans OLED utilisent des minuscules led de couleur R/G/B pour faire des écrans.

Bref, tout ça pour dire que faire des LED colorées c’est pas simple et que si vous voyez une LED bleue (ou blanche) aujourd’hui, sachez qu’il y a des prix Nobel dérrière leur découverte !

(PS : pour les amateurs de pointeurs laser, on constate que certaines couleurs sont beaucoup plus chères que d’autres. Le bleu est désormais bon marché, mais le jaune est lui encore très cher, car le semi-conducteur et la diode LASER qu’elle comporte est très difficile à produire. Comptez 5€ pour un laser vert ou rouge, 10€ pour un bleu, mais 500€ pour un jaune !)
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Les diodes bleues sont même tellement partout que les opticiens proposent systématiquement des verres qui filtrent la lumière bleue pour équiper les lunettes de correction (et proposent des lunettes qui filtrent la lumière bleue même à ceux qui n'ont pas besoin de correction) afin d'éviter qu'il y ait trop de lumière bleue qui atteigne notre rétine car la lumière bleue est la plus énergétique et nos yeux, au fil de l'évolution, se sont adaptés à la lumière blanche du soleil et pas à une composition qui contient trop de bleu. La lumière bleue peut perturber le sommeil, fatiguer nos yeux et même les abimer à la longue. Ceci concerne les écrans d'ordinateur et de téléphone, mais aussi les ampoules pour l'éclairage.


Tous les commentaires (12)

Apparemment c’est un grand classique là bas, rediffusé tous les ans et très connu. Nous c’est le Père Noël est une ordure Aha. Deux salles deux ambiances ^^
Cela dit nous aussi on y trouve une utilisation magique des led grâce au jeu Simon qu’utilise madame Musquin dans l’ascenseur coincé…

a écrit : Apparemment c’est un grand classique là bas, rediffusé tous les ans et très connu. Nous c’est le Père Noël est une ordure Aha. Deux salles deux ambiances ^^
Cela dit nous aussi on y trouve une utilisation magique des led grâce au jeu Simon qu’utilise madame Musquin dans l’ascenseur coincé…
J’allais compléter ton commentaire en indiquant que Felix a le nez rouge lui aussi mais ce n’est pas le cas, je viens de vérifier les photos.
En tout cas belle référence, tu m’as bien fait rire avec Madame Musquin (fallait le trouver ce nom, du grand Poiré).

a écrit : Apparemment c’est un grand classique là bas, rediffusé tous les ans et très connu. Nous c’est le Père Noël est une ordure Aha. Deux salles deux ambiances ^^
Cela dit nous aussi on y trouve une utilisation magique des led grâce au jeu Simon qu’utilise madame Musquin dans l’ascenseur coincé…
Il me semble que sur Simon ce sont des ampoules classiques, la couleur étant faite par le plastique des touches.
Les leds autre que rouge sont arrivées bien plus tard car complexes à concevoir avec les moyens de l'époque.

Les LED sont des sources lumineuses à base de semi-conducteur, donc sans chauffer une filament, ni exciter un gaz.
Le phénomène est électrique et quantique : la tension appliquer à un semi-conducteur va mettre des électrons de valence dans la bande de conduction. Comme son nom l’indique, la bande de conduction permet la conduction électrique. Une "bande" ici réfère à un niveau d’énergie.

Dans les conducteurs, ces deux niveaux se chevauchent et le courant passe toujours. Dans les isolants, ces deux bandes sont distantes et un électron ne peut pas devenir conducteur. Dans un semi-conducteur, les deux bandes sont distances d’un gap qu’une petite tension (tension de seuil de la diode) permet de franchir pour rendre la diode conductrice.

Quand un électron est ainsi excité dans la bade de conduction, il peut redescendre et dans ce processus, il émet un photon, donc de la lumière.
La couleur de la lumière va dépendre de la largeur (en terme d’énergie) du gap entre les bandes de conduction et de valence.

Cette largeur dépend elle-même de la nature du cristal semi-conducteur.
Dans le arséniure-phosphure de gallium, la lumière émise est rouge.

Si on veut une couleur particulière, il faut donc trouver le bon semi-conducteur. Et ça, c’est une recherche très difficile.

À tel point que la découverte de la LED bleue de forte intensité en 1993 (à base d’arséniure de gallium) a débloqué un prix Nobel à ses découvreurs.

On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.
C’est le cas aujourd‘hui : les LED bleues sont partout et les écrans OLED utilisent des minuscules led de couleur R/G/B pour faire des écrans.

Bref, tout ça pour dire que faire des LED colorées c’est pas simple et que si vous voyez une LED bleue (ou blanche) aujourd’hui, sachez qu’il y a des prix Nobel dérrière leur découverte !

(PS : pour les amateurs de pointeurs laser, on constate que certaines couleurs sont beaucoup plus chères que d’autres. Le bleu est désormais bon marché, mais le jaune est lui encore très cher, car le semi-conducteur et la diode LASER qu’elle comporte est très difficile à produire. Comptez 5€ pour un laser vert ou rouge, 10€ pour un bleu, mais 500€ pour un jaune !)

a écrit : Les LED sont des sources lumineuses à base de semi-conducteur, donc sans chauffer une filament, ni exciter un gaz.
Le phénomène est électrique et quantique : la tension appliquer à un semi-conducteur va mettre des électrons de valence dans la bande de conduction. Comme son nom l’indique, la bande de conduction pe
rmet la conduction électrique. Une "bande" ici réfère à un niveau d’énergie.

Dans les conducteurs, ces deux niveaux se chevauchent et le courant passe toujours. Dans les isolants, ces deux bandes sont distantes et un électron ne peut pas devenir conducteur. Dans un semi-conducteur, les deux bandes sont distances d’un gap qu’une petite tension (tension de seuil de la diode) permet de franchir pour rendre la diode conductrice.

Quand un électron est ainsi excité dans la bade de conduction, il peut redescendre et dans ce processus, il émet un photon, donc de la lumière.
La couleur de la lumière va dépendre de la largeur (en terme d’énergie) du gap entre les bandes de conduction et de valence.

Cette largeur dépend elle-même de la nature du cristal semi-conducteur.
Dans le arséniure-phosphure de gallium, la lumière émise est rouge.

Si on veut une couleur particulière, il faut donc trouver le bon semi-conducteur. Et ça, c’est une recherche très difficile.

À tel point que la découverte de la LED bleue de forte intensité en 1993 (à base d’arséniure de gallium) a débloqué un prix Nobel à ses découvreurs.

On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.
C’est le cas aujourd‘hui : les LED bleues sont partout et les écrans OLED utilisent des minuscules led de couleur R/G/B pour faire des écrans.

Bref, tout ça pour dire que faire des LED colorées c’est pas simple et que si vous voyez une LED bleue (ou blanche) aujourd’hui, sachez qu’il y a des prix Nobel dérrière leur découverte !

(PS : pour les amateurs de pointeurs laser, on constate que certaines couleurs sont beaucoup plus chères que d’autres. Le bleu est désormais bon marché, mais le jaune est lui encore très cher, car le semi-conducteur et la diode LASER qu’elle comporte est très difficile à produire. Comptez 5€ pour un laser vert ou rouge, 10€ pour un bleu, mais 500€ pour un jaune !)
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>On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.

Couleurs de base, en synthèse additive
fr.m.wikipedia.org/wiki/Synth%C3%A8se_additive

Par opposition aux couleurs de base en synthèse soustractive qui sont le cyan, jaune et magenta, utilisé dans le monde de l'impression
fr.m.wikipedia.org/wiki/Synth%C3%A8se_soustractive

a écrit : Les LED sont des sources lumineuses à base de semi-conducteur, donc sans chauffer une filament, ni exciter un gaz.
Le phénomène est électrique et quantique : la tension appliquer à un semi-conducteur va mettre des électrons de valence dans la bande de conduction. Comme son nom l’indique, la bande de conduction pe
rmet la conduction électrique. Une "bande" ici réfère à un niveau d’énergie.

Dans les conducteurs, ces deux niveaux se chevauchent et le courant passe toujours. Dans les isolants, ces deux bandes sont distantes et un électron ne peut pas devenir conducteur. Dans un semi-conducteur, les deux bandes sont distances d’un gap qu’une petite tension (tension de seuil de la diode) permet de franchir pour rendre la diode conductrice.

Quand un électron est ainsi excité dans la bade de conduction, il peut redescendre et dans ce processus, il émet un photon, donc de la lumière.
La couleur de la lumière va dépendre de la largeur (en terme d’énergie) du gap entre les bandes de conduction et de valence.

Cette largeur dépend elle-même de la nature du cristal semi-conducteur.
Dans le arséniure-phosphure de gallium, la lumière émise est rouge.

Si on veut une couleur particulière, il faut donc trouver le bon semi-conducteur. Et ça, c’est une recherche très difficile.

À tel point que la découverte de la LED bleue de forte intensité en 1993 (à base d’arséniure de gallium) a débloqué un prix Nobel à ses découvreurs.

On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.
C’est le cas aujourd‘hui : les LED bleues sont partout et les écrans OLED utilisent des minuscules led de couleur R/G/B pour faire des écrans.

Bref, tout ça pour dire que faire des LED colorées c’est pas simple et que si vous voyez une LED bleue (ou blanche) aujourd’hui, sachez qu’il y a des prix Nobel dérrière leur découverte !

(PS : pour les amateurs de pointeurs laser, on constate que certaines couleurs sont beaucoup plus chères que d’autres. Le bleu est désormais bon marché, mais le jaune est lui encore très cher, car le semi-conducteur et la diode LASER qu’elle comporte est très difficile à produire. Comptez 5€ pour un laser vert ou rouge, 10€ pour un bleu, mais 500€ pour un jaune !)
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Les diodes bleues sont même tellement partout que les opticiens proposent systématiquement des verres qui filtrent la lumière bleue pour équiper les lunettes de correction (et proposent des lunettes qui filtrent la lumière bleue même à ceux qui n'ont pas besoin de correction) afin d'éviter qu'il y ait trop de lumière bleue qui atteigne notre rétine car la lumière bleue est la plus énergétique et nos yeux, au fil de l'évolution, se sont adaptés à la lumière blanche du soleil et pas à une composition qui contient trop de bleu. La lumière bleue peut perturber le sommeil, fatiguer nos yeux et même les abimer à la longue. Ceci concerne les écrans d'ordinateur et de téléphone, mais aussi les ampoules pour l'éclairage.

a écrit : Les LED sont des sources lumineuses à base de semi-conducteur, donc sans chauffer une filament, ni exciter un gaz.
Le phénomène est électrique et quantique : la tension appliquer à un semi-conducteur va mettre des électrons de valence dans la bande de conduction. Comme son nom l’indique, la bande de conduction pe
rmet la conduction électrique. Une "bande" ici réfère à un niveau d’énergie.

Dans les conducteurs, ces deux niveaux se chevauchent et le courant passe toujours. Dans les isolants, ces deux bandes sont distantes et un électron ne peut pas devenir conducteur. Dans un semi-conducteur, les deux bandes sont distances d’un gap qu’une petite tension (tension de seuil de la diode) permet de franchir pour rendre la diode conductrice.

Quand un électron est ainsi excité dans la bade de conduction, il peut redescendre et dans ce processus, il émet un photon, donc de la lumière.
La couleur de la lumière va dépendre de la largeur (en terme d’énergie) du gap entre les bandes de conduction et de valence.

Cette largeur dépend elle-même de la nature du cristal semi-conducteur.
Dans le arséniure-phosphure de gallium, la lumière émise est rouge.

Si on veut une couleur particulière, il faut donc trouver le bon semi-conducteur. Et ça, c’est une recherche très difficile.

À tel point que la découverte de la LED bleue de forte intensité en 1993 (à base d’arséniure de gallium) a débloqué un prix Nobel à ses découvreurs.

On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.
C’est le cas aujourd‘hui : les LED bleues sont partout et les écrans OLED utilisent des minuscules led de couleur R/G/B pour faire des écrans.

Bref, tout ça pour dire que faire des LED colorées c’est pas simple et que si vous voyez une LED bleue (ou blanche) aujourd’hui, sachez qu’il y a des prix Nobel dérrière leur découverte !

(PS : pour les amateurs de pointeurs laser, on constate que certaines couleurs sont beaucoup plus chères que d’autres. Le bleu est désormais bon marché, mais le jaune est lui encore très cher, car le semi-conducteur et la diode LASER qu’elle comporte est très difficile à produire. Comptez 5€ pour un laser vert ou rouge, 10€ pour un bleu, mais 500€ pour un jaune !)
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Merci bcp pour ce riche commentaire !!

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a écrit : >On avait déjà le rouge et le vert, à l’époque, mais le bleu aurait permis d’avoir les trois couleurs de base, et donc de pouvoir faire du RGB.

Couleurs de base, en synthèse additive
fr.m.wikipedia.org/wiki/Synth%C3%A8se_additive

Par opposition aux couleurs de base en syn
thèse soustractive qui sont le cyan, jaune et magenta, utilisé dans le monde de l'impression
fr.m.wikipedia.org/wiki/Synth%C3%A8se_soustractive
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Pas que l'impression. Les peintres aussi par exemple.

a écrit : et la LED blanche, elle marche comment?
Mr-Hollandais?
C'est pourtant simple :) tu prends une LED bleue et tu transformes une partie du bleu pour le remplacer par du jaune et tu obtiens du blanc.

a écrit : C'est pourtant simple :) tu prends une LED bleue et tu transformes une partie du bleu pour le remplacer par du jaune et tu obtiens du blanc. Le problème c'est que je vois toutes les couleurs, j'hésite à appeler la police pour crime d'ultraviolets à chaque fois que j'ouvre les zyeux...

a écrit : Le problème c'est que je vois toutes les couleurs, j'hésite à appeler la police pour crime d'ultraviolets à chaque fois que j'ouvre les zyeux... Je ne parlais pas de remplacer le curaçao par du pastis évidemment !