Les femmes astronautes meilleures que les hommes

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Il y a environ 60 ans, un rapport de la NASA établit que les femmes feraient de meilleures astronautes que les hommes. Plus légères, moins consommatrices d'oxygène et moins sujettes aux crises cardiaques, elles étaient aussi mieux armées psychologiquement pour endurer le manque d'espace et la solitude. Depuis, environ un astronaute sur 10 était une femme.

Des candidates avaient passé les mêmes tests que les hommes, montrant globalement de meilleures performances. Evidemment, à l'époque, il n'était pas question que le premier humain dans l'espace fut une femme.


Commentaires préférés (3)

Le problème c'est qu'il faut en contrepartie prévoir une plus grande cuisine, un lave linge, des serpillères...

Les statistiques d'assurance ont également démontré, que les femmes sont bien meilleures pour exercer la profession de chauffeur-livreur. Elles commettent quatre fois moins d'infractions au code la route et quand il y a un accident, les indemnisations sont sensiblement moindres.

Les femmes commencent à être également recherchées dans le travail de grutière. Elles ont, de moyenne, plus de finesse et de précision que les hommes, dans la manoeuvre de charges.
De même, elles commencent également à se faire une place dans la conduction d'autres engins de chantier.

Des femmes se dirigent également vers certaines professions du secteur de la construction, et principalement celles concernant les finitions, où ce n'est pas de la "force brute" qui est recherchée.

Une autre profession, traditionnellement machiste, était celle de cuisinier professionnel.

Il y a tout un éventail de professions manuelles, où une adolescente peut aujourd'hui se faire une place et obtenir un assez bon salaire.
Alors que l'on nous parle de télétravail depuis deux ans, il y a une interminable liste de professions manuelles, où l'intervention sur chantier reste et restera indéfiniment indispensable.
Qu'il s'appelle Antoine ou Léa, il faudra encore, dans trente ou cinquante ans, une personne pour venir réparer un robinet, ou une armoire frigorifique sur place.

Bonjour,
Je tenais à préciser que le sexe de la personne n'explique pas les différents résultats (d'où l'utilisation d'une moyenne).
On est le résultat de notre vécu jours après jours. Il se peut que les parents et la société soient plus indulgents avec les garçons, lorsqu'ils commettent des erreurs...
Les femmes n'ont peut être pas de prédisposition à être plus "fine", simplement elles ont appris à l'être car c'était une qualité requise pour s'exprimer en tant que femme.
Je ne nie pas de différence biologique, entraînant des différences d'adaptation. Juste, la variable sexe est bien trop utilisée aujourd'hui. Tout comme l'utilisation de moyenne, qui ne représente pas grand chose dans ce genre d'études.

Source : doctorant psychologue

Je n'ai pas raison sur le domaine, je souhaite apporter un point de vue plus nuancé

Bonne journée tout le monde


Tous les commentaires (77)

Le problème c'est qu'il faut en contrepartie prévoir une plus grande cuisine, un lave linge, des serpillères...

à noter que les ingénieurs de la NASA avaient très sérieusement étudié le problème du rouge à lèvre pour la première sortie extra-véhiculaire par une femme Astronaute... Comme si une femme avait besoin de rouge à lèvre pour être une femme...

Les Soviétiques s'en fichaient : ils avait déjà envoyé la première femme dans l'espace : Valentina Terechkova.

Source : cette collab de 12 Parsc et Superama.
www.youtube.com/watch?v=f_Ajq_fJrT8

C’est sur que dans l’espace pas besoin d’homme pour porter quelque chose de lourd. Bon après le risque c’est de rayer la navette.

Les statistiques d'assurance ont également démontré, que les femmes sont bien meilleures pour exercer la profession de chauffeur-livreur. Elles commettent quatre fois moins d'infractions au code la route et quand il y a un accident, les indemnisations sont sensiblement moindres.

Les femmes commencent à être également recherchées dans le travail de grutière. Elles ont, de moyenne, plus de finesse et de précision que les hommes, dans la manoeuvre de charges.
De même, elles commencent également à se faire une place dans la conduction d'autres engins de chantier.

Des femmes se dirigent également vers certaines professions du secteur de la construction, et principalement celles concernant les finitions, où ce n'est pas de la "force brute" qui est recherchée.

Une autre profession, traditionnellement machiste, était celle de cuisinier professionnel.

Il y a tout un éventail de professions manuelles, où une adolescente peut aujourd'hui se faire une place et obtenir un assez bon salaire.
Alors que l'on nous parle de télétravail depuis deux ans, il y a une interminable liste de professions manuelles, où l'intervention sur chantier reste et restera indéfiniment indispensable.
Qu'il s'appelle Antoine ou Léa, il faudra encore, dans trente ou cinquante ans, une personne pour venir réparer un robinet, ou une armoire frigorifique sur place.

Bonjour,
Je tenais à préciser que le sexe de la personne n'explique pas les différents résultats (d'où l'utilisation d'une moyenne).
On est le résultat de notre vécu jours après jours. Il se peut que les parents et la société soient plus indulgents avec les garçons, lorsqu'ils commettent des erreurs...
Les femmes n'ont peut être pas de prédisposition à être plus "fine", simplement elles ont appris à l'être car c'était une qualité requise pour s'exprimer en tant que femme.
Je ne nie pas de différence biologique, entraînant des différences d'adaptation. Juste, la variable sexe est bien trop utilisée aujourd'hui. Tout comme l'utilisation de moyenne, qui ne représente pas grand chose dans ce genre d'études.

Source : doctorant psychologue

Je n'ai pas raison sur le domaine, je souhaite apporter un point de vue plus nuancé

Bonne journée tout le monde

a écrit : Les statistiques d'assurance ont également démontré, que les femmes sont bien meilleures pour exercer la profession de chauffeur-livreur. Elles commettent quatre fois moins d'infractions au code la route et quand il y a un accident, les indemnisations sont sensiblement moindres.

Les femmes com
mencent à être également recherchées dans le travail de grutière. Elles ont, de moyenne, plus de finesse et de précision que les hommes, dans la manoeuvre de charges.
De même, elles commencent également à se faire une place dans la conduction d'autres engins de chantier.

Des femmes se dirigent également vers certaines professions du secteur de la construction, et principalement celles concernant les finitions, où ce n'est pas de la "force brute" qui est recherchée.

Une autre profession, traditionnellement machiste, était celle de cuisinier professionnel.

Il y a tout un éventail de professions manuelles, où une adolescente peut aujourd'hui se faire une place et obtenir un assez bon salaire.
Alors que l'on nous parle de télétravail depuis deux ans, il y a une interminable liste de professions manuelles, où l'intervention sur chantier reste et restera indéfiniment indispensable.
Qu'il s'appelle Antoine ou Léa, il faudra encore, dans trente ou cinquante ans, une personne pour venir réparer un robinet, ou une armoire frigorifique sur place.
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Je vais généraliser des faits individuels vécus plusieurs fois mais tant pis.
Cela ira mieux aussi quand certaines générations ne travailleront plus. J’ai certains clients (des architectes par exemple) qui en réunion n’adressent pas la parole à mes collègues féminines et me parlent à moi même si cela ne concerne pas mes projets. Une femme ne peut pas être « calée » sur des questions d’ingénierie immobilière d’après leur réaction et c’est foncièrement énervant.
Et cela arrive souvent avec des « vieux », jamais avec des jeunes. Ce genre de client ne reste d’ailleurs pas souvent des partenaires de travail pour nous.

a écrit : à noter que les ingénieurs de la NASA avaient très sérieusement étudié le problème du rouge à lèvre pour la première sortie extra-véhiculaire par une femme Astronaute... Comme si une femme avait besoin de rouge à lèvre pour être une femme...

Les Soviétiques s'en fichaient : ils avait déjà envoyé la
première femme dans l'espace : Valentina Terechkova.

Source : cette collab de 12 Parsc et Superama.
www.youtube.com/watch?v=f_Ajq_fJrT8
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A savoir que les américains auraient pu être les premiers a envoyer des femmes dans l'espace : Bien que de facto exclu des programmes classiques, nécessitant une une expérience de pilote d'essai (alors interdit aux femmes), il y eu au tout début des années 60 le programme Mercury 13, composé exclusivement de femmes. Mais il y eu beaucoup de pression, notamment de Lyndon Johnson, et le projet fut annulé. peu de temps après, en 1963, Valentina Terechkova devient la première femme a aller dans l'espace. Il a fallu attendre deux décennies pour qu'une autre femme, Svetlana Savitskaïa, reparte dans l'espace, et ce deux fois, devenant également la première femme à effectuer une sortie extra véhiculaire. Sally Ride, en 1983, devient la première étasunienne a aller dans l'espace. En France, on du attendre 1996 pour que Claudie Haigneré puisse aller dans l'espace.

a écrit : Les statistiques d'assurance ont également démontré, que les femmes sont bien meilleures pour exercer la profession de chauffeur-livreur. Elles commettent quatre fois moins d'infractions au code la route et quand il y a un accident, les indemnisations sont sensiblement moindres.

Les femmes com
mencent à être également recherchées dans le travail de grutière. Elles ont, de moyenne, plus de finesse et de précision que les hommes, dans la manoeuvre de charges.
De même, elles commencent également à se faire une place dans la conduction d'autres engins de chantier.

Des femmes se dirigent également vers certaines professions du secteur de la construction, et principalement celles concernant les finitions, où ce n'est pas de la "force brute" qui est recherchée.

Une autre profession, traditionnellement machiste, était celle de cuisinier professionnel.

Il y a tout un éventail de professions manuelles, où une adolescente peut aujourd'hui se faire une place et obtenir un assez bon salaire.
Alors que l'on nous parle de télétravail depuis deux ans, il y a une interminable liste de professions manuelles, où l'intervention sur chantier reste et restera indéfiniment indispensable.
Qu'il s'appelle Antoine ou Léa, il faudra encore, dans trente ou cinquante ans, une personne pour venir réparer un robinet, ou une armoire frigorifique sur place.
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Juste pour compléter (cela ne contredit pas tes propos) sur le métier de chauffeur livreur:
Les femmes ont plus d accidents que les hommes... Mais comme tu le dis ça coûte moins cher
www.largus.fr/amp/actualite-automobile/assurance-auto-prime-malus-sinistresle-match-homme-femme-10594408.html

Message des collectifs:
#droitdelhomme/#machoensursis/#mysogineinsoumis

a écrit : Le problème c'est qu'il faut en contrepartie prévoir une plus grande cuisine, un lave linge, des serpillères... Le plus gros problème est surtout que si on met 4 ou 5 femmes ensemble pendant des mois, une seule reviendra vivante...

a écrit : Les statistiques d'assurance ont également démontré, que les femmes sont bien meilleures pour exercer la profession de chauffeur-livreur. Elles commettent quatre fois moins d'infractions au code la route et quand il y a un accident, les indemnisations sont sensiblement moindres.

Les femmes com
mencent à être également recherchées dans le travail de grutière. Elles ont, de moyenne, plus de finesse et de précision que les hommes, dans la manoeuvre de charges.
De même, elles commencent également à se faire une place dans la conduction d'autres engins de chantier.

Des femmes se dirigent également vers certaines professions du secteur de la construction, et principalement celles concernant les finitions, où ce n'est pas de la "force brute" qui est recherchée.

Une autre profession, traditionnellement machiste, était celle de cuisinier professionnel.

Il y a tout un éventail de professions manuelles, où une adolescente peut aujourd'hui se faire une place et obtenir un assez bon salaire.
Alors que l'on nous parle de télétravail depuis deux ans, il y a une interminable liste de professions manuelles, où l'intervention sur chantier reste et restera indéfiniment indispensable.
Qu'il s'appelle Antoine ou Léa, il faudra encore, dans trente ou cinquante ans, une personne pour venir réparer un robinet, ou une armoire frigorifique sur place.
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Il faut savoir que si l'on met de côté quelques différences physiologiques minimes (telle qu'une plus grande force physique chez les hommes, ou une longévité plus élevée chez les femmes...), la plupart des grandes différences psychologiques et sociologiques qui existent entre les femmes et les hommes sont apprises, acquises.

On apprend par exemple bien plus aux femmes qu'aux hommes à ne pas se faire faire remarquer, à ne pas sortir de la norme. C'est un trait de l'éducation.
On retrouve cette différence même chez les autistes. Ceux-ci ont souvent des intérêts restreints (ou spécifiques), quel que soit leur sexe. Un intérêt restreint est une passion dévorante, obsédante presque, à laquelle on consacre beaucoup de temps et d'énergie donc.
Chez les hommes autistes, on retrouve souvent des intérêts très particuliers, telle qu'une passion pour les béquilles et les prothèses (cas réel) ou les horaires de la ligne Eurostar Paris Garde du Nord - Londres Saint Pancras (cas réel encore).
Alors que les femmes ont tendance à se pencher sur des domaines plus socialement acceptés: passions pour les chats ou un pour un pays spécifique.

On apprend aussi aux hommes à être séquentiels: mener une tâche, une seule, de bout en bout sans se laisser divertir. alors qu'on apprend aux femmes à être multitâches.
J'avais vu, à ce sujet, une expérience de psychologie filmée très intéressante; On place une femme dans un appartement et on lui demande de répondre à toutes les sollicitations qui se présenteront.
D'abord, on lui demande faire chauffer du lait à la casserole. Elle le fait, elle va s'asseoir sur le canapé.
Puis le téléphone sonne (dès que la lait commence à bouillir), elle répond elle demande à son interlocuteur de patienter, et va éteindre le gaz, puis reprend son coup de fil.
On frappe à la porte, elle demande à son interlocuteur de rappeler dans quelques minutes puis va ouvrir la porte? Fin de l'expérience.
Même expérience, mais avec un homme...
Il met le lait à chauffer, ça il sait faire.
Le téléphone sonne, le lait se met à bouillir, il y jette un rapide coup d’œil à cause du bruit mais se replonge dans sa conversation téléphonique et laisse le lait déborder.
On frappe à la porte, il va ouvrir avec le téléphone à la main, il dit qu'il n'a pas le temps car il est au téléphone et claque la porte au nez du type venu frapper.
Fin de l’expérience.

a écrit : Il faut savoir que si l'on met de côté quelques différences physiologiques minimes (telle qu'une plus grande force physique chez les hommes, ou une longévité plus élevée chez les femmes...), la plupart des grandes différences psychologiques et sociologiques qui existent entre les femmes et les hommes sont apprises, acquises.

On apprend par exemple bien plus aux femmes qu'aux hommes à ne pas se faire faire remarquer, à ne pas sortir de la norme. C'est un trait de l'éducation.
On retrouve cette différence même chez les autistes. Ceux-ci ont souvent des intérêts restreints (ou spécifiques), quel que soit leur sexe. Un intérêt restreint est une passion dévorante, obsédante presque, à laquelle on consacre beaucoup de temps et d'énergie donc.
Chez les hommes autistes, on retrouve souvent des intérêts très particuliers, telle qu'une passion pour les béquilles et les prothèses (cas réel) ou les horaires de la ligne Eurostar Paris Garde du Nord - Londres Saint Pancras (cas réel encore).
Alors que les femmes ont tendance à se pencher sur des domaines plus socialement acceptés: passions pour les chats ou un pour un pays spécifique.

On apprend aussi aux hommes à être séquentiels: mener une tâche, une seule, de bout en bout sans se laisser divertir. alors qu'on apprend aux femmes à être multitâches.
J'avais vu, à ce sujet, une expérience de psychologie filmée très intéressante; On place une femme dans un appartement et on lui demande de répondre à toutes les sollicitations qui se présenteront.
D'abord, on lui demande faire chauffer du lait à la casserole. Elle le fait, elle va s'asseoir sur le canapé.
Puis le téléphone sonne (dès que la lait commence à bouillir), elle répond elle demande à son interlocuteur de patienter, et va éteindre le gaz, puis reprend son coup de fil.
On frappe à la porte, elle demande à son interlocuteur de rappeler dans quelques minutes puis va ouvrir la porte? Fin de l'expérience.
Même expérience, mais avec un homme...
Il met le lait à chauffer, ça il sait faire.
Le téléphone sonne, le lait se met à bouillir, il y jette un rapide coup d’œil à cause du bruit mais se replonge dans sa conversation téléphonique et laisse le lait déborder.
On frappe à la porte, il va ouvrir avec le téléphone à la main, il dit qu'il n'a pas le temps car il est au téléphone et claque la porte au nez du type venu frapper.
Fin de l’expérience.
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Quand tu sais que l'instit de mon fils a sorti en début d'année "j'ai 20 garçons pour 6 filles cette année, ça va être très bruyant et agité dans la classe", sans avoir passé une seule journée avec la classe...
Quand tu sais que la nounou de mes fils (nounou que j'adore, soit dit en passant) a sorti qu'une fois la période avec mes 2 garçons et le 3 ème autre garçon, elle n'acceptera que des filles, ou au moins 2 sur 3....
Les a priori sont bien là.
Je suis contente que mes parents m'aient éduquée "comme un garçon". Même si quand j'étais jeune je souffrais qu'on me traite de "garçon manqué", je me rends compte aujourd'hui que j'ai su développer beaucoup d'aptitudes qu'on attribue plutôt aux hommes, EN PLUS des aptitudes attribuées aux femmes. Et ça, c'est chouette.

a écrit : Je vais généraliser des faits individuels vécus plusieurs fois mais tant pis.
Cela ira mieux aussi quand certaines générations ne travailleront plus. J’ai certains clients (des architectes par exemple) qui en réunion n’adressent pas la parole à mes collègues féminines et me parlent à moi même si cela ne concern
e pas mes projets. Une femme ne peut pas être « calée » sur des questions d’ingénierie immobilière d’après leur réaction et c’est foncièrement énervant.
Et cela arrive souvent avec des « vieux », jamais avec des jeunes. Ce genre de client ne reste d’ailleurs pas souvent des partenaires de travail pour nous.
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Même chez les jeunes.

Une amie était mécano moto et avait son propre atelier.
1 jeune et 1 quadra se sont adressés à moi (ils me regardaient...) alors que mon amie était juste à côté de moi.
Et bien sûr c'était 2 cas différents.

a écrit : Je vais généraliser des faits individuels vécus plusieurs fois mais tant pis.
Cela ira mieux aussi quand certaines générations ne travailleront plus. J’ai certains clients (des architectes par exemple) qui en réunion n’adressent pas la parole à mes collègues féminines et me parlent à moi même si cela ne concern
e pas mes projets. Une femme ne peut pas être « calée » sur des questions d’ingénierie immobilière d’après leur réaction et c’est foncièrement énervant.
Et cela arrive souvent avec des « vieux », jamais avec des jeunes. Ce genre de client ne reste d’ailleurs pas souvent des partenaires de travail pour nous.
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De "cas personnel" à "généralisation", ton commentaire est néanmoins bien parlant. Tout à ton honneur de l'avoir écrit !

De "vieux", je m'y connais un peu, bien que ce type de sectarisme ne fait pas partie de mon comportement.
Je suis d'une génération où il était encore de mise, en France, les "écoles de filles" et "écoles de garçons" dans beaucoup de villes. Il m'a fallu attendre le Lycée Professionnel, où cette mixité apparut... Mais avec encore des classes "destinées aux filières pour filles" et idem pour les garçons...
Il y avait là un "moule à casser", qui est apparu en France, dans la décennie des années 80. Fort heureusement !

J'ai vécu pendant plus de trente ans, dans un pays où les changements de la société ont été profonds, et notamment en matière d'immigration.
Est assez parlant, le manque de parité homme-femme, selon la région du monde d'où ils sont issus.
Par contre -et c'est là que le constat devient intéressant - c'est le nombre de couples ayant immigré... Et où la femme demande le divorce, quelques années plus tard.
Elles se rendent rapidement compte, que le modèle "maman au foyer à cuisiner et torcher les gosses et papas entre boulot et bistrot"... ben, ce n'est pas/plus "ça" qu'elles aspirent.
De ce modèle de Femme qui s'émancipe, je pourrais t'en mettre autant que tu veux Rocío, Meliza, Janine....

Briser ce "toit de verre ou de cristal" où une Femme est tout à fait apte à exercer une profession, en égale parité qu'un homme, est une fin qui, de gré ou de force, sera anodin dans le futur.
...n'en déplaise à certains Régimes Traditionalistes/Dictatoriaux qui veulent vaincre, ...sans convaincre.

Un dernier paragraphe: la profession où la disparité salariale (en faveur de la femme) est la plus importante, reste celle de mannequin de haute couture.
Paraître ou être ?

a écrit : De "cas personnel" à "généralisation", ton commentaire est néanmoins bien parlant. Tout à ton honneur de l'avoir écrit !

De "vieux", je m'y connais un peu, bien que ce type de sectarisme ne fait pas partie de mon comportement.
Je suis d'une génération où
il était encore de mise, en France, les "écoles de filles" et "écoles de garçons" dans beaucoup de villes. Il m'a fallu attendre le Lycée Professionnel, où cette mixité apparut... Mais avec encore des classes "destinées aux filières pour filles" et idem pour les garçons...
Il y avait là un "moule à casser", qui est apparu en France, dans la décennie des années 80. Fort heureusement !

J'ai vécu pendant plus de trente ans, dans un pays où les changements de la société ont été profonds, et notamment en matière d'immigration.
Est assez parlant, le manque de parité homme-femme, selon la région du monde d'où ils sont issus.
Par contre -et c'est là que le constat devient intéressant - c'est le nombre de couples ayant immigré... Et où la femme demande le divorce, quelques années plus tard.
Elles se rendent rapidement compte, que le modèle "maman au foyer à cuisiner et torcher les gosses et papas entre boulot et bistrot"... ben, ce n'est pas/plus "ça" qu'elles aspirent.
De ce modèle de Femme qui s'émancipe, je pourrais t'en mettre autant que tu veux Rocío, Meliza, Janine....

Briser ce "toit de verre ou de cristal" où une Femme est tout à fait apte à exercer une profession, en égale parité qu'un homme, est une fin qui, de gré ou de force, sera anodin dans le futur.
...n'en déplaise à certains Régimes Traditionalistes/Dictatoriaux qui veulent vaincre, ...sans convaincre.

Un dernier paragraphe: la profession où la disparité salariale (en faveur de la femme) est la plus importante, reste celle de mannequin de haute couture.
Paraître ou être ?
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Être ou paraître, telle est la question !

J'ai une élève de BTS qui m'a expliqué qu'elle était obligée de réussir et de ne surtout pas finir dans les chantiers mais plutôt dans les bureaux d'études, car elle a été traumatisée à 17 ans sur un chantier par des artisans idiots qui la malmenaient un peu à cause de son genre. Elle m'a dit qu'elle voulait donc être leur chef et qu'elle aurait "les couilles" pour les diriger. Ça m'avait fait sourire, cette histoire de couilles.

En tout cas on voit les choses changer un petit peu dans les classes...beaucoup de jeunes filles "osent" s'orienter vers des métiers "masculins". Reste aussi à orienter des jeunes garçons vers des métiers plutôt "féminins". Genre je n'ai encore jamais croisé d'assistant maternel masculin. Pourtant j'aurais préféré que ce soit un homme qui s'occupe de mes enfants pendant la journée.

a écrit : Être ou paraître, telle est la question !

J'ai une élève de BTS qui m'a expliqué qu'elle était obligée de réussir et de ne surtout pas finir dans les chantiers mais plutôt dans les bureaux d'études, car elle a été traumatisée à 17 ans sur un chantier par des artisans idiots qui la malme
naient un peu à cause de son genre. Elle m'a dit qu'elle voulait donc être leur chef et qu'elle aurait "les couilles" pour les diriger. Ça m'avait fait sourire, cette histoire de couilles.

En tout cas on voit les choses changer un petit peu dans les classes...beaucoup de jeunes filles "osent" s'orienter vers des métiers "masculins". Reste aussi à orienter des jeunes garçons vers des métiers plutôt "féminins". Genre je n'ai encore jamais croisé d'assistant maternel masculin. Pourtant j'aurais préféré que ce soit un homme qui s'occupe de mes enfants pendant la journée.
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Puis la réforme du lycée est venu casser des années de progrès en la matière... avec une chute spectaculaire du nombre de filles étudiant les maths (matière indispensable pour la poursuite de hautes études scientifiques malheureusement beaucoup trop masculines).

a écrit : Être ou paraître, telle est la question !

J'ai une élève de BTS qui m'a expliqué qu'elle était obligée de réussir et de ne surtout pas finir dans les chantiers mais plutôt dans les bureaux d'études, car elle a été traumatisée à 17 ans sur un chantier par des artisans idiots qui la malme
naient un peu à cause de son genre. Elle m'a dit qu'elle voulait donc être leur chef et qu'elle aurait "les couilles" pour les diriger. Ça m'avait fait sourire, cette histoire de couilles.

En tout cas on voit les choses changer un petit peu dans les classes...beaucoup de jeunes filles "osent" s'orienter vers des métiers "masculins". Reste aussi à orienter des jeunes garçons vers des métiers plutôt "féminins". Genre je n'ai encore jamais croisé d'assistant maternel masculin. Pourtant j'aurais préféré que ce soit un homme qui s'occupe de mes enfants pendant la journée.
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Concernant tout ce qui touche à la garde d'enfant, les parents (et notamment les mères) ont un gros problème à confier leurs enfants à des hommes parce-que un homme qui veut garder des enfants est toujours suspect (un pédophile en puissance en sommes).

Quand nous étions jeune ma sœur et moi faisions du baby-sitting. Elle avait des entretiens de 30 minutes quand les miens duraient 1h - 1h30 et ce, même quand elle me recommandait (pour prendre sa suite par exemple).
Et on s'aperçoit vite que ce préjugé est toujours prégnant.

a écrit : Concernant tout ce qui touche à la garde d'enfant, les parents (et notamment les mères) ont un gros problème à confier leurs enfants à des hommes parce-que un homme qui veut garder des enfants est toujours suspect (un pédophile en puissance en sommes).

Quand nous étions jeune ma sœur et moi faisions d
u baby-sitting. Elle avait des entretiens de 30 minutes quand les miens duraient 1h - 1h30 et ce, même quand elle me recommandait (pour prendre sa suite par exemple).
Et on s'aperçoit vite que ce préjugé est toujours prégnant.
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D'ailleurs à cause de ce préjugé, les hommes n'avaient pas le droit d'enseigner à l'école maternelle (d'où son nom), en France, jusque dans les années 1970.

Passer 6 mois dans la station spatiale internationale, le rêve !
6 mois en ne faisant que son travail et rien d’autre, dans un lieu avec une vue unique du monde…
S’il n’y a que des femmes dans l’équipe, quelle paix !
Et en plus, on s’éloigne des gens qui font des commentaires sur les soi-disants défauts « typiquement féminins », ça ressemble franchement au paradis.

a écrit : Passer 6 mois dans la station spatiale internationale, le rêve !
6 mois en ne faisant que son travail et rien d’autre, dans un lieu avec une vue unique du monde…
S’il n’y a que des femmes dans l’équipe, quelle paix !
Et en plus, on s’éloigne des gens qui font des commentaires sur les soi-disants défa
uts « typiquement féminins », ça ressemble franchement au paradis. Afficher tout
Je vais passer pour un misogyne, mais il est très fréquent de voir des équipes 100% féminine de manger le foie régulièrement, et si vous rajouter un mâle au milieu (expérienceS personnelleS de ma femme et moi)...
Pour avoir été aussi col bleu dans des ateliers à très grande majorité masculine, deux attitudes se dégagent des collègues : ceux qui "profitent" des éléments féminins (main au fesse, regards insistants voire lubriques, réflexions déplacées, etc...) et ceux qui considèrent que l'élément féminin n'est pas à sa place dans un tel environnement et font les tâches ingrates à leur place. Rarissimes sont ceux qui les considèrent juste comme une collègue à part entière...

a écrit : Passer 6 mois dans la station spatiale internationale, le rêve !
6 mois en ne faisant que son travail et rien d’autre, dans un lieu avec une vue unique du monde…
S’il n’y a que des femmes dans l’équipe, quelle paix !
Et en plus, on s’éloigne des gens qui font des commentaires sur les soi-disants défa
uts « typiquement féminins », ça ressemble franchement au paradis. Afficher tout
Cooool !!! Nous avons une trolle au sein des lectrices/commentatrices de SCMB !!!... ^^