En 2001, un Airbus 330 de la compagnie Air Transat, à destination de Lisbonne, se trouva à court de carburant en plein milieu de son voyage au-dessus de l'océan Atlantique, avec 306 personnes à bord. Les pilotes parvinrent à faire planer l'appareil sur 120 km durant 20 minutes, un record, avant d'atterrir en urgence sur une base militaire aux Açores.
La panne avait été causée par une fuite de carburant non détectée.
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Certes, mais la fiabilité des moteurs a laissé les autorités accorder des trucs assez hallucinants quand même, comme l’ETOPS 207 : vous êtes au-dessus d’un océan, l’un des DEUX moteurs de votre avion tombe en panne, et bien vous devez vous traîner sur l’unique moteur restant jusqu’à l’aéroport le plus proche qui peut être jusqu’à… 207 minutes de vol.
Oui, plus de 3 heures.
Tu a déja fait des avions en papier? Lequel vole plus loin, lequel vole plus vite, lequel reste en l'ai le plus longtemps.
J'ai inventé les bords de stabilisation a 8 ans. En papier ^^
La probabilité de perdre les 2 moteurs est infime (selon une étude de l'ESTACA de 2015, le taux de ce risque est de 0,00000236), donc il est normal que les certifications prennent en compte ce facteur et élargissent les distances franchissables sur un moteur.
Super, je prends l'avion demain, et je suis phobique. Je me coucherai plus stressée :O
Je plaisante, pas taper...
Newton va s'en retourner dans sa tombe.
Je cite "Il y a 1 accident mortel tous les 5 millions de vols." et "L’avion est le moyen de transport le plus sûr au monde devant le train, et loin devant l’autocar, le bateau, la voiture et la moto."
www.lefigaro.fr/voyages/peur-de-l-avion-trois-chiffres-vont-vous-rassurer-20210322
Ok il a pas duré aussi longtemps que le Concorde, et il a eu tellement d’incidents qu’on ne les compte plus, mais c’est lui qui a la médaille, pas l’avion Franco-britannique.
Je t’invite à te renseigner sur la polaire des vitesses et/ou le ballast des planeurs. Une erreur commune est de confondre finesse et taux de chute (qui lui augmente avec la masse), et c’est normal, ce n’est pas intuitif quand tu ne voles pas. Le taux de chute augmente lui bien avec la masse.
En fait, il y a plusieurs cas ou un aéronef plus lourd s’en sort _mieux_ qu’un aéronef plus léger (fort vent de face notamment) mais j’avoue que cela ne s’applique pas vraiment aux avions de ligne.
Je suis partant quand tu veux pour monter dans l’avion plus lourd et toi dans le plus léger. La seule phase où je serai désavantagé est l’atterrissage (ex: choc sur le train dans le cas du vol Air Transat) mais cela se gère sans problème quand tu as encore l’avion qui fonctionne - ce qui n’était pas le cas du TS236.