fleming a écrit : En réalité la propulsion supra-luminique dans Star Trek est cohérente avec la relativité générale. En effet, elle repose sur l'idée de placer le vaisseau dans un bulle d'espace (le sub-espace) et de déplacer cette bulle en contractant l'espace à l'avant et en le dilatant à l'arrière. Or les lois de la physique interdisent à toute chose de se déplacer plus vite que la lumière dans l'espace... mais l'espace lui-même peut aller aussi vite qu'il lui plait.
D'ailleurs, concernant l'expansion de l'univers, des scientifiques pensent qu'il est possible que très très très très loin, l'espace se dilate à plusieurs fois la vitesse la lumière.

Et maintenant si vous voulez halluciner, l'information qui déchire: cette théorie du voyage hyperspatiale qui est tout de même très poussée et est cohérente avec nos connaissance actuelle en astrophysique est déjà présente dès les début de la série (celle avec le capitaine Kirk). Or la série a débutée BIEN AVANT que ces lois soient établies par les physiciens.
=> ultra mega coïncidence... ou alors les scénariste viennent du futur... ou alors ce sont des aliens qui avaient déjà des connaissances plus avancées que les notre en astrophysique -> Je vous laisse choisir votre solution préférée ;) Afficher tout Il me semble que la nasa travaille plutôt sur un un propulseur à effet Mach (MET) qui est un dispositif qui utilise le principe de Mach et qui utilise les fluctuations de l'effet Mach et de l'effet Woodward. D'autres projets utilisent quasiment le même principe comme l'EMdrive (moteur sans carburant).
Pour vulgariser à l'extrême, l'idée du MET est de propulser un engin sans que celui-ci ait à éjecter de quantité de mouvement. Cela peut paraitre contre-intuitif et même contraire au principe de conservation de la quantité de mouvement. Normalement, lorsque je suis dans l'espace, si je lance un objet dans un sens alors je me déplacerais à la même vitesse dans le sens opposé.
L'idée ici n'est pas de créer de quantité de mouvement mais d'utiliser les quantités de mouvement présentes dans les objets célestes environnants ce qui rend l'idée compatible avec le principe de conservation de mouvement.
En utilisant les variations de masse d'un objet (dans l'espace-temps) et en le faisant osciller entre sa masse minimale et sa masse maximale, on pourrait théoriquement réussir à utiliser ce principe comme moteur pour un engin spatial.

Source wiki:
Woodward explique de la façon suivante comment une oscillation de la masse d'un corps peut être utilisée pour produire une poussée :

« En faisant fluctuer la masse d'un objet on peut, du moins en principe, l'utiliser pour produire une force stationnaire sur l'objet, et ainsi générer une force propulsive sans avoir à éjecter du propergol. Il suffit simplement de pousser l'objet lorsqu'il est plus lourd, et de l'attirer lorsqu'il est plus léger.
La force de réaction pendant les deux parties du cycle ne sera alors pas la même en raison de la fluctuation de masse, de telle sorte qu'une force positive sera produite en moyenne temporelle. Cela peut ressembler à une violation de la conservation de la quantité de mouvement. Mais l'invariance Lorentzienne de la théorie garantit qu'aucune loi de conservation n'est violée. La conservation locale de la quantité de mouvement est préservée par le flux d'impulsion dans le champ de gravitation qui est échangé avec l'essentiel de la matière distante de l'univers ».

TybsXckZ a écrit : Il me semble que la nasa travaille plutôt sur un un propulseur à effet Mach (MET) qui est un dispositif qui utilise le principe de Mach et qui utilise les fluctuations de l'effet Mach et de l'effet Woodward. D'autres projets utilisent quasiment le même principe comme l'EMdrive (moteur sans carburant).
Pour vulgariser à l'extrême, l'idée du MET est de propulser un engin sans que celui-ci ait à éjecter de quantité de mouvement. Cela peut paraitre contre-intuitif et même contraire au principe de conservation de la quantité de mouvement. Normalement, lorsque je suis dans l'espace, si je lance un objet dans un sens alors je me déplacerais à la même vitesse dans le sens opposé.
L'idée ici n'est pas de créer de quantité de mouvement mais d'utiliser les quantités de mouvement présentes dans les objets célestes environnants ce qui rend l'idée compatible avec le principe de conservation de mouvement.
En utilisant les variations de masse d'un objet (dans l'espace-temps) et en le faisant osciller entre sa masse minimale et sa masse maximale, on pourrait théoriquement réussir à utiliser ce principe comme moteur pour un engin spatial.

Source wiki:
Woodward explique de la façon suivante comment une oscillation de la masse d'un corps peut être utilisée pour produire une poussée :

« En faisant fluctuer la masse d'un objet on peut, du moins en principe, l'utiliser pour produire une force stationnaire sur l'objet, et ainsi générer une force propulsive sans avoir à éjecter du propergol. Il suffit simplement de pousser l'objet lorsqu'il est plus lourd, et de l'attirer lorsqu'il est plus léger.
La force de réaction pendant les deux parties du cycle ne sera alors pas la même en raison de la fluctuation de masse, de telle sorte qu'une force positive sera produite en moyenne temporelle. Cela peut ressembler à une violation de la conservation de la quantité de mouvement. Mais l'invariance Lorentzienne de la théorie garantit qu'aucune loi de conservation n'est violée. La conservation locale de la quantité de mouvement est préservée par le flux d'impulsion dans le champ de gravitation qui est échangé avec l'essentiel de la matière distante de l'univers ». Afficher tout J'ai pas dit que c'est une voix de recherche réel. Seulement que le principe théorique proposé dans la série est étrangement cohérente avec les connaissances scientifiques acquises biens plus tard

Aldark a écrit : Très proche de la vitesse de la lumière, puisque en Théorie rien ne peut l'atteindre Ce qui a une masse ne peut, jusqu'à preuve du contraire, ni l'égaler ni la dépasser.
Anagramme : « la vitesse de la lumière » -> « limite les rêves au-delà »

Cf les ondes gravitationnelles