Israel Keyes était un tueur sans victime préférée

Proposé par
Invité
le

Israel Keyes fut un tueur en série atypique car il n'avait pas de type de victimes préférées. Très précautionneux, il n'avait jamais de lien avec ses victimes, ne tuait jamais dans la même zone géographique, et pouvait prévoir 2 ans à l'avance un meurtre en y enterrant un "kit de meurtre" (gants, sacs, pelles etc.) pouvant lui servir ultérieurement.

Il fut finalement attrapé par négligence, ayant utilisé la carte bancaire d'une victime.


Tous les commentaires (104)

a écrit : et donc ? Quel est le rapport entre les années 40 et les années 70 ? Aucun, je voulais juste pas te laisser être le seul à faire des observations aléatoires. Même si la tienne était fausse en plus.

Posté le

android

(1)

Répondre

a écrit : Pris sa propre bombe lacrymo dans la bouche??? je ne comprends pas. Elle a mal visé, l'autre la lui a prise et lui a lancée?

Pour le combat je suis d'accord, mais moi j'en suis incapable, je l'ai déjà dit plus haut, ma force actuelle, c'est la prudence, et au pire, le sprint. Je su
is pas du genre à mettre un coup, je suis du genre à, un peu comme un chat coincé, faire le plus de dégats possible (viser les yeux, le cou, le plexus solaire)

Se battre, ça s'apprend. Et je ne l'ai jamais appris. Et ça, c'est dangereux. QUand je suis seul quelquepart, je me sens comme un animal dans la nature, tout peut arriver, méfiance poussée à l’extrême, au moindre bruit, je flippe! ^^
Afficher tout
Son agresseur lui a arraché sa bombe lacrymo et...lui en a vidé une partie dans la bouche.
Moi non plus, me battre, c’est pas trop mon truc.
Une fois, j’ai eu de la chance (encore :)). Je sortais de boite, seule et très énervée pour une raison X qui m’avait fait quitter ma bande de copains restée en bas. Je me retrouve en talons et jupe courte, seule sur une place déserte, face à cinq loulous déjà bien attaqués, qui commencent à m’encercler et à s’approcher avec des rires bien gras, la bière à la main. « T’es toute seule ma bichette? Allez, viens avec nous; tu vas bien t’amuser! » J’étais déjà tellement vraiment très très en colère que je me suis mise direct en position de combat. « Oh oui, c’est ça les gars! Venez vous battre! Je suis déjà bien énervée; j’ai besoin de casser la gueule à quelqu’un ! ça va bien me défouler! » sur un ton très très féroce. Eh ben, ils avaient beau être cinq, ils ont tous reculé. « Wow! » Et ils m’ont laissé passer. Le bluff, ça marche parfois. En vérité, je faisais pas du tout le poids.

a écrit : Vous êtes célibataire, Fra76 ? :-) Plus depuis quelques années :).

a écrit : Son agresseur lui a arraché sa bombe lacrymo et...lui en a vidé une partie dans la bouche.
Moi non plus, me battre, c’est pas trop mon truc.
Une fois, j’ai eu de la chance (encore :)). Je sortais de boite, seule et très énervée pour une raison X qui m’avait fait quitter ma bande de copains restée en bas.
Je me retrouve en talons et jupe courte, seule sur une place déserte, face à cinq loulous déjà bien attaqués, qui commencent à m’encercler et à s’approcher avec des rires bien gras, la bière à la main. « T’es toute seule ma bichette? Allez, viens avec nous; tu vas bien t’amuser! » J’étais déjà tellement vraiment très très en colère que je me suis mise direct en position de combat. « Oh oui, c’est ça les gars! Venez vous battre! Je suis déjà bien énervée; j’ai besoin de casser la gueule à quelqu’un ! ça va bien me défouler! » sur un ton très très féroce. Eh ben, ils avaient beau être cinq, ils ont tous reculé. « Wow! » Et ils m’ont laissé passer. Le bluff, ça marche parfois. En vérité, je faisais pas du tout le poids. Afficher tout
C'était pas du bluff, ça m'est arrivé aussi ça, et pourtant j'étais pas en jupe courte (faut dire que ma sale gueule barbue, ça aide...)
J'étais coincé dans une entrée d'immeuble par 4 gars, je les ai bien regardé et dans ma tête c'était: Soit! S'il faut se battre, je suis prêt.

Dans ma tête, comme dans la tienne, à ce moment, c'était: Venez, j'vous prends tous et j'vous massacre! Je perdrai probablement le combat mais sachez, messieurs, que vous n'en sortirez pas indemne!
Mode "Sauvage": ON. C'est l'idée, la détermination à protéger son existence, le mode "survie" qui se déclenche, ça se contrôle pas, mais les petites frappes le ressentent.

Pour le coup de la bombe lacrymo, je ne sais que dire. Il faudrait apprendre à s'en servir, prendre un petit cours de défense. Perso je pense que, si cela m'arrivait il est fort probable qu'il m'arrive la même chose, que je me fasse désarmer et retourner la bombe contre moi, car je ne sais pas m'en servir.

En tout cas ton témoignage est poignant, et me conforte dans mon idée: Restons sur nos gardes, ne pas relâcher sa vigilance quand on est dehors. JAMAIS!

Un jour, peut être, notre civilisation sera adulte, on pourra se balader sans avoir peur, mais pour le moment... beeeh, on ne sait jamais ce qui peut se passer.

Ca me rapelle une autre histoire, on étais jeunes, un groupe de potes, et deux nanas nous ont demandé de les raccompagner à leur hôtel, et nous, jeunes crétins, on leur réponds: Meuhnon ca craint pas ici! et elles nous répondent; Il est 2h du mat, y'a pas de réverbères dans votre bled paumé... ptain vous êtres débiles où quoi?
Alors on les a raccompagnées, et on se sentais fiers d'être des "protecteurs" pas bien fut-fut, mais chevaleresques! ^^

Vu son prénom c’est cocasse qu’il se soit fait attraper pour utilisation de cb...
Oui j’aime ce genre d’humour

a écrit : J'ai vécu une situation similaire où je me suis senti "proie". Un instant pas long, mais pas agréable du tout, avec un truc qui m'a choqué : lorsque j'ai réalisé ce qpar quoi je venais de passer je m'étais surpris à me sentir reconaissant envers cette personne, qui au final ne m'avait rien fait. Et la surprise aussi de se dire qu'en fait, dans ces situations, on ne fait rien du tout, on n'est pas comme d'habitude à se dire "ah si ca m'arrive je ferais si et ca" Vraiment horrible ! Afficher tout Racontes stp!

Posté le

android

(0)

Répondre

a écrit : Racontes stp! Rien d'extraordinaire, une agression au couteau en bas de ma barre hlm, les gars voulaient me faire les poches, j'avais 14 ans et pas un sou, ils sont repartis avec mes tickets de tombola que je devais vendre.
Pendant la minute que ca a duré, le type au couteau avait dans le regard de la détermination et je sentais qu'il recherchait du cran pour aller jusqu'au bout, je voyais qu'il se disait : faut que je le fasse sinon je vais passer pour un e lopette. D'où le sentiment d'etre un gibier, une proie. Finalement son pote l'a dissuadé d'aller plus loin et quand ils sont partis, j'étais carrément reconnaissant qu'il ai renoncé à m'égorger, j'avais de la sympathie pour ma vie sauve et de la sympathie pour son pote qui a mis fin à tout ca, en fait j'exagere a peine mais tu m'aurais demandé de les s***r pour les remercier j'aurais preque dit oui. Syndrome de Stockholm a la vitesse de l'éclair.
A aucune moment j'ai pensé à me débattre et pendant des années je me disais purée t'aurais faire ci ou ca et en fait tu fais rien car t'es choqué
A la fin, je pleurais surtout car je me voyais déjà dire à mes parent squ'ils allaient devoir rembourser les tickets et qu'il y en avait pour 100frs.

a écrit : Aucun, je voulais juste pas te laisser être le seul à faire des observations aléatoires. Même si la tienne était fausse en plus. non, tu voulais juste faire de la lèche, comme d'habitude

a écrit : Rien d'extraordinaire, une agression au couteau en bas de ma barre hlm, les gars voulaient me faire les poches, j'avais 14 ans et pas un sou, ils sont repartis avec mes tickets de tombola que je devais vendre.
Pendant la minute que ca a duré, le type au couteau avait dans le regard de la détermination
et je sentais qu'il recherchait du cran pour aller jusqu'au bout, je voyais qu'il se disait : faut que je le fasse sinon je vais passer pour un e lopette. D'où le sentiment d'etre un gibier, une proie. Finalement son pote l'a dissuadé d'aller plus loin et quand ils sont partis, j'étais carrément reconnaissant qu'il ai renoncé à m'égorger, j'avais de la sympathie pour ma vie sauve et de la sympathie pour son pote qui a mis fin à tout ca, en fait j'exagere a peine mais tu m'aurais demandé de les s***r pour les remercier j'aurais preque dit oui. Syndrome de Stockholm a la vitesse de l'éclair.
A aucune moment j'ai pensé à me débattre et pendant des années je me disais purée t'aurais faire ci ou ca et en fait tu fais rien car t'es choqué
A la fin, je pleurais surtout car je me voyais déjà dire à mes parent squ'ils allaient devoir rembourser les tickets et qu'il y en avait pour 100frs.
Afficher tout
oui mais, demande à Orpheus, ce qui t'est arrivé n'était pas dans les années 40, donc çà ne compte pas. A la rigueur, tu auras droit éventuellement à l'indifférence générale. Tu sais bien que le plus gros danger qui nous menace, ce n'est pas l'insécurité grandissante au pied de ces HLM en nombre grandissant, non, le plus gros danger c'est le retour du fascisme, qu'on vous dit

a écrit : oui mais, demande à Orpheus, ce qui t'est arrivé n'était pas dans les années 40, donc çà ne compte pas. A la rigueur, tu auras droit éventuellement à l'indifférence générale. Tu sais bien que le plus gros danger qui nous menace, ce n'est pas l'insécurité grandissante au pied de ces HLM en nombre grandissant, non, le plus gros danger c'est le retour du fascisme, qu'on vous dit Afficher tout Dans son cas, je pense pas que ce soit un probleme d'insecurité de la cité, c'était y a plus de 30 ans, la cité ou je vivais était plutôt tranquille et meme si j'ai vu des trucs de fou en bas de chez moi des fois, je pense que ca a du arriver meme dans des quartiers mieux que le mien.
Le type était connu dans la cité, je pense que c'est plus une histoire de choix, le gars avait la possiblité de faire autre chose mais il a fait le bandit.
Je suis quasi sur qu'il fait parti des morts expats dans les rangs de l'EI car il avait dit une fois a un de ses potes (un black) que si sa religion lui disait de couper sa gorge(du pote) il le ferait dessuite. Le gars avait un sérieux probleme, il parlait qu'on lui disait qu'il y aurait un jour une guerre de religion et tout. Donc je pense qu'on a plus de soucis a se faire pour lui, il a du ypasser en syrie...
Sinon, j'ai compris vraiment tres tard que j'etais pas passé loin, mon cerveau avait pas totalement imprimé les dangers a coté desquels j'"tais passé et c'est dans les années 2000 avec une aide sociale que j'ai pu passer l'éponge.

Ca ressemble beaucoup au pitch de la série Unbelievable (basé sur une histoire vraie), sauf qu'il s'agit d'un violeur en série.

a écrit : Rien d'extraordinaire, une agression au couteau en bas de ma barre hlm, les gars voulaient me faire les poches, j'avais 14 ans et pas un sou, ils sont repartis avec mes tickets de tombola que je devais vendre.
Pendant la minute que ca a duré, le type au couteau avait dans le regard de la détermination
et je sentais qu'il recherchait du cran pour aller jusqu'au bout, je voyais qu'il se disait : faut que je le fasse sinon je vais passer pour un e lopette. D'où le sentiment d'etre un gibier, une proie. Finalement son pote l'a dissuadé d'aller plus loin et quand ils sont partis, j'étais carrément reconnaissant qu'il ai renoncé à m'égorger, j'avais de la sympathie pour ma vie sauve et de la sympathie pour son pote qui a mis fin à tout ca, en fait j'exagere a peine mais tu m'aurais demandé de les s***r pour les remercier j'aurais preque dit oui. Syndrome de Stockholm a la vitesse de l'éclair.
A aucune moment j'ai pensé à me débattre et pendant des années je me disais purée t'aurais faire ci ou ca et en fait tu fais rien car t'es choqué
A la fin, je pleurais surtout car je me voyais déjà dire à mes parent squ'ils allaient devoir rembourser les tickets et qu'il y en avait pour 100frs.
Afficher tout
Dur, mais ce qui est intéressant dans ton histoire, c'est que tu ais senti que ce type n'avait pas envie de faire ce qu'il t'a fait, c'est hallucinant, toi en victime, mais finalement, lui aussi... c'est vraiment triste!

Je me dis toujours que l'humain, au fond de lui, en règle générale, n'est pas méchant de nature, et ton histoire me conforte dans cette idée.

a écrit : Dur, mais ce qui est intéressant dans ton histoire, c'est que tu ais senti que ce type n'avait pas envie de faire ce qu'il t'a fait, c'est hallucinant, toi en victime, mais finalement, lui aussi... c'est vraiment triste!

Je me dis toujours que l'humain, au fond de lui, en
règle générale, n'est pas méchant de nature, et ton histoire me conforte dans cette idée. Afficher tout
Ouais enfin, zigouiller quelqu'un sans raison si ce n'est celle de ne pas passer pour un lache aupres de ses potes, je pense pas que ce soit être aussi une victime. De quelques systeme que ce soit, si ce n'est un bon gros egoisme ou un besoin d'appartenance exacerbé (dans ce cas là, ça releve aussi du nombrilisme)

Surtout que dans l'histoire, j'ai surtout l'impression que meesgosh est encore là grace au pote du mec...

a écrit : C'était pas du bluff, ça m'est arrivé aussi ça, et pourtant j'étais pas en jupe courte (faut dire que ma sale gueule barbue, ça aide...)
J'étais coincé dans une entrée d'immeuble par 4 gars, je les ai bien regardé et dans ma tête c'était: Soit! S'il faut se battre, je suis prêt.


Dans ma tête, comme dans la tienne, à ce moment, c'était: Venez, j'vous prends tous et j'vous massacre! Je perdrai probablement le combat mais sachez, messieurs, que vous n'en sortirez pas indemne!
Mode "Sauvage": ON. C'est l'idée, la détermination à protéger son existence, le mode "survie" qui se déclenche, ça se contrôle pas, mais les petites frappes le ressentent.

Pour le coup de la bombe lacrymo, je ne sais que dire. Il faudrait apprendre à s'en servir, prendre un petit cours de défense. Perso je pense que, si cela m'arrivait il est fort probable qu'il m'arrive la même chose, que je me fasse désarmer et retourner la bombe contre moi, car je ne sais pas m'en servir.

En tout cas ton témoignage est poignant, et me conforte dans mon idée: Restons sur nos gardes, ne pas relâcher sa vigilance quand on est dehors. JAMAIS!

Un jour, peut être, notre civilisation sera adulte, on pourra se balader sans avoir peur, mais pour le moment... beeeh, on ne sait jamais ce qui peut se passer.

Ca me rapelle une autre histoire, on étais jeunes, un groupe de potes, et deux nanas nous ont demandé de les raccompagner à leur hôtel, et nous, jeunes crétins, on leur réponds: Meuhnon ca craint pas ici! et elles nous répondent; Il est 2h du mat, y'a pas de réverbères dans votre bled paumé... ptain vous êtres débiles où quoi?
Alors on les a raccompagnées, et on se sentais fiers d'être des "protecteurs" pas bien fut-fut, mais chevaleresques! ^^
Afficher tout
Tu as parfaitement raison; j’étais réellement prête à en découdre à ce moment-là. Et les gars l’ont senti. Comme c’étaient de petites frappes qui faisaient là dans l’impro, ça leur a tout de suite donné mal à la tête, cette perspective d’y perdre des plumes. Et ils ont préféré lâcher l’affaire.
Bien sûr, si une attitude combative décourage souvent les petits joueurs, elle ne fonctionne pas avec les tueurs ou violeurs en série, qui peuvent trouver le challenge plus excitant encore au contraire.
Comment s’est finie ta confrontation avec les quatre loulous qui t’avaient coincé? Pas trop mal, j’espère.

De la lèche à qui au juste ?

C'est faire de la lèche que de se moquer de ton discours complètement naze à base de "c'était mieux à des époques que j'ai pas connues"?

Si tu penses vraiment que dans les années 70 on pouvait se balader partout en toute sécurité c'est qu'on t'a menti ou que t'es profondément ignorant sur les affaires parfois plus sordides que celles qu'on a maintenant qui avaient lieu dans tes chères années 70.

Posté le

android

(1)

Répondre

a écrit : oui mais, demande à Orpheus, ce qui t'est arrivé n'était pas dans les années 40, donc çà ne compte pas. A la rigueur, tu auras droit éventuellement à l'indifférence générale. Tu sais bien que le plus gros danger qui nous menace, ce n'est pas l'insécurité grandissante au pied de ces HLM en nombre grandissant, non, le plus gros danger c'est le retour du fascisme, qu'on vous dit Afficher tout Ah ben voilà, fallait être plus clair. Tu crois que la France c'était le pays de merveilles quand on était entre blancs. Dis les choses directement comme ça je pourrai rigoler de tes conneries de meilleur coeur.

Posté le

android

(1)

Répondre

a écrit : Dur, mais ce qui est intéressant dans ton histoire, c'est que tu ais senti que ce type n'avait pas envie de faire ce qu'il t'a fait, c'est hallucinant, toi en victime, mais finalement, lui aussi... c'est vraiment triste!

Je me dis toujours que l'humain, au fond de lui, en
règle générale, n'est pas méchant de nature, et ton histoire me conforte dans cette idée. Afficher tout
eeuh je dirais pas que c'est une victime, il a pas eu les couilles de le faire heureusement pour moi d'ailleurs, mais j'a i bien senti quand il a posé le couteau sur la gorge que pour lui c'était maintenant ou jamais. Comme dis leolio je crois pas que sans son pote je serais encore là et de toutes facons comme j'ai dit avant, a mon avis il est passé a l'acte un jour c'est sur, c'était pas mon tour j'ai eu la chance d'etre le 1er. Il était connu dans le quartier pour ca!. des gens comme ca y en a plein

a écrit : Ouais enfin, zigouiller quelqu'un sans raison si ce n'est celle de ne pas passer pour un lache aupres de ses potes, je pense pas que ce soit être aussi une victime. De quelques systeme que ce soit, si ce n'est un bon gros egoisme ou un besoin d'appartenance exacerbé (dans ce cas là, ça releve aussi du nombrilisme)

Surtout que dans l'histoire, j'ai surtout l'impression que meesgosh est encore là grace au pote du mec...
Afficher tout
Houlala désolé, je ne voulais pas trouver des excuses à l'action de ces gens, j'essaie juste d'analyser ce qui s'est passé...

J'ai été dans une bande de voyous aussi et je sais qu'on peut facilement se faire entraîner par le "chef" et faire des conneries pour se faire bien voir du groupe, monter en grade... c'est très con, c'est sauvage, mais ça existe encore dans notre espèce!

Le pire dans tout ça c'est que les victimes n'osent souvent pas se défendre, la pression psychologique peut être paralysante, où déclencher une violence défensive inouïe (et là on accuse la victime de violence)

Notre monde n'est pas parfait, mais il y a quelquechose de certain; un bon coup de pied dans les couilles, ça calme, mais ça s'improvise pas.

a écrit : Tu as parfaitement raison; j’étais réellement prête à en découdre à ce moment-là. Et les gars l’ont senti. Comme c’étaient de petites frappes qui faisaient là dans l’impro, ça leur a tout de suite donné mal à la tête, cette perspective d’y perdre des plumes. Et ils ont préféré lâcher l’affaire.
Bien sûr, si une a
ttitude combative décourage souvent les petits joueurs, elle ne fonctionne pas avec les tueurs ou violeurs en série, qui peuvent trouver le challenge plus excitant encore au contraire.
Comment s’est finie ta confrontation avec les quatre loulous qui t’avaient coincé? Pas trop mal, j’espère.
Afficher tout
RAS, je leur ai fait peur.

Précisons, je les ai regardé chacun dans les yeux, et j'ai attendu qu'ils m'attaque et ils sont partis.

Franchement, j'étais prêt à tout, même à leur crever les yeux avec mes doigts, j'avais tellement peur que tous les verrous sociaux avaient sauté. Pas de limite. Si je dois me battre, ça sera sérieusement.

Et en plus, ça fait de moi quelqu'un de potentiellement dangereux, car il y a du monde qui aime se fritter, "on s'envoie des baffes, c'est rigolo... on fait du rugby, on se rentre dedans... HAHA ^^ ...mais pas moi. Ca me fait pas rire, ça. Tu veux me frapper? Déjà va falloir que tu me rattrape parce que je cours très vite, et si je suis coincé dans un couloir... MOAOOOOOW!! Grrrrr! (oui, comme un chat) ^^

a écrit : Houlala désolé, je ne voulais pas trouver des excuses à l'action de ces gens, j'essaie juste d'analyser ce qui s'est passé...

J'ai été dans une bande de voyous aussi et je sais qu'on peut facilement se faire entraîner par le "chef" et faire des conneries pour se fair
e bien voir du groupe, monter en grade... c'est très con, c'est sauvage, mais ça existe encore dans notre espèce!

Le pire dans tout ça c'est que les victimes n'osent souvent pas se défendre, la pression psychologique peut être paralysante, où déclencher une violence défensive inouïe (et là on accuse la victime de violence)

Notre monde n'est pas parfait, mais il y a quelquechose de certain; un bon coup de pied dans les couilles, ça calme, mais ça s'improvise pas.
Afficher tout
Pas de soucis nico, c'était pas pour te moucher ;)

Mon père me mettait souvent en garde sur "l'effet de bande" et j'avoue que j'ai parfois fait des choses plus jeune que je n'aurais certainement pas faite si j'avais été seul ou mieux accompagné.
Ton raisonnement se tient dans le cas de personnes plutot equilibrées, ce qui n'a pas l'air d'etre le cas dans l'histoire de meegosh car il semble que c'était surtout le pote du dingo qui devait se chier dessus (avec notre ami meegosh bien sur... beaucoup de pantalons ont été souillés ce jour là, désolé fallait que je la fasses :D )

T'imagine tu traine avec un pote qui commence a foutre un couteau sur la gorge du premier type qui passe ?!
Les loups solitaires qu'on les appelle :/