Israel Keyes était un tueur sans victime préférée

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Israel Keyes fut un tueur en série atypique car il n'avait pas de type de victimes préférées. Très précautionneux, il n'avait jamais de lien avec ses victimes, ne tuait jamais dans la même zone géographique, et pouvait prévoir 2 ans à l'avance un meurtre en y enterrant un "kit de meurtre" (gants, sacs, pelles etc.) pouvant lui servir ultérieurement.

Il fut finalement attrapé par négligence, ayant utilisé la carte bancaire d'une victime.


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a écrit : Moi, j’ai flippé au moins trois fois.
La première, sur un parking extérieur, de nuit (pas si tard mais par un noir soir d’hiver sans lune). Un gars est venu coller son visage contre ma vitre, le regard bien déterminé, la mâchoire serrée. Je ne l’avais pas vu venir. Il a tenté d’ouvrir ma porte mais heureusement j
’avais verrouillé par réflexe en montant dans la voiture. J’ai démarré sans chercher à comprendre.
La deuxième, à un feu rouge, à un gros carrefour bien éclairé mais désert, à 4h du matin. Là encore, je n’ai pas vu venir le gars. Je l’ai entendu essayer d’ouvrir ma portière. Je me suis bénie d’avoir choisi l’option verrouillage automatique des portes (suite au premier incident des années auparavant) parce que je ne m’attendais pas du tout à voir un gars aussi près de mon visage, le regard fiévreux, et cette détermination de cinglé, encore une fois. J’ai crié de surprise - et de trouille! Une fois de plus, j’ai démarré aussi sec, feu rouge ou pas feu rouge, je n’en avais rien à carrer.
La troisième fois, j’étais avec quelqu’un que je connaissais assez bien pourtant, mais depuis peu. C’était une personne qui avait vécu des choses vraiment affreuses dans son enfance, et je la voyais plutôt comme une victime. On marchait à la lumière des lampadaires, assez espacés les uns des autres. Soudain, je l’ai regardé à un moment où il ne s’y attendait pas du tout. Et j’ai croisé un regard de prédateur d’une violence inouïe. Ça a duré une fraction de seconde mais je suis parfaitement certaine de ce que j’ai vu. L’instant d’après, il avait retrouvé son visage normal, juste un peu plus tendu que d’habitude. J’ai bifurqué dans une rue passante et suis vite rentrée chez moi. Par la suite, j’ai pris mes distances avec cette personne et m’en suis toujours méfiée, alors même qu’elle avait toujours été adorable et même protectrice avec moi. Je n’avais pas peur d’être violée - il était homosexuel - mais bien d’être tuée.
Alors oui, je suis d’accord, certaines victimes ont eu de la chance :). Et l’occasion fait souvent le larron, pour ce genre de prédateurs.
Quant aux pulsions, je sais bien que Leolio a raison (d’ailleurs, si on était certain de ne pas pouvoir se faire gauler, on ferait sûrement plein de trucs inavouables; la perspective de l’impunité peut être un sacré stimulant) mais s’il m’arrive d’imaginer cérébralement, pour le sport, comment je m’y prendrais pour faire disparaître un corps, jamais je n’ai de fantasme du type « pousser dans le vide un ami » ou « si je voulais, je pourrais t’étrangler d’une seule main », « je pourrais crâmer ce bébé sur la plaque ». Et c’est là que je rejoins un peu Shampoo. Moi je suis plutôt du genre à perdre une heure pour retrouver la personne qui a égaré son portefeuille, à prévenir la caissière qu’elle m’a rendu la monnaie sur 20 et non 10€ (mais je m’en veux après !), à regarder d’un oeil clinique les gens qui font preuve de méchanceté gratuite ou qui détruisent une barrière juste pour détruire quelque chose. Même quand je hais suprêmement une personne, je ne parviens pas à me l’imaginer crevant d’une glissade, c’est plus fort que moi; mon sens moral doit être plus fort que moi. Sur ce plan-là, nous ne sommes certainement pas tous égaux.

Hem. Désolée pour le pavé. Heureusement, il arrive après la bataille; ça ne devrait pas déranger trop de monde ;).
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En fait à vous lire, on est soit noir soit blanc. Ya jamais de gris avec vous alors que le monde n'est qu'une infinité de nuances de gris. Les idées de commission du mal c'est pas incompatible avec les actions de bien hein.

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a écrit : Tu habites à Gotham city? dans les années 70 on pouvait se balader presque partout en France en pleine nuit, s'arrêter sur l'autoroute à 3 h du matin

a écrit : T'énerve pas, ça va aller ! je te remercie pour le "divin" et je remercie nicontrarié pour le "saint" ça fait plaisir d'être reconnu à sa juste valeur bien que
Personnellement je me qualifierais plutôt de bon samaritain.

Toutes ces moqueries mises à part, il est évident
que tout le monde, moi y compris a de temps en temps des pensées déviantes c'est bien pour ça que les confessionnaux ont connu autant de succès.
Comme je l'ai déjà dit ton com en réponse à gabben m'a surpris. Il ne voulais certainement pas dire ce que moi j'ai compris mais en tout cas tout est parti de là.
Donc, ayant déjà fait mon mea culpa je ne vois pas quoi rajouter sinon vous souhaiter une bonne journée.

PS : ton histoire avec ton prof de bio et ses lapins c'est chelou non?
Naaaan je déconne.
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En tout cas, c'est pas la modestie qui t'étouffe! ^^

Naaaan, moi aussi je déconne, je te charrie sur la première partie de ton comm, dsl ;)

a écrit : Chasser le naturel il revient au galop. C'est une question d'équilibre mental et de socialisation. Bien souvent des enfances foireuses, environnement toxique... Non c'est pas normale d'avoir des idées de meurtres de viol etc ... C'est qu'il y'a un pb La première fois que je me suis battu, à 7 ans, contre un CM2 qui n'arrêtait pas de me pourrir la vie, je l'ai choppé par le cou avec une clé de bras, serré de toutes mes forces et tapé sa grosse tête d'abruti contre un mur, je voulais VRAIMENT le tuer (ça a même pas duré trois secondes en tout) puis je l'ai lâché quand la raison est revenue, et je ne me suis plus jamais battu de ma vie.
Bon, il m'a plus jamais embêté mais c'était quand même un peu excessif, quoi! ^^

Des pulsions de meurtre, il faut pas beaucoup pour en avoir, mais bon, ça se canalise, certains n'y arrivent jamais et... enfin bref, c'est en chacun de nous. L'humain est un animal comme les autres!

a écrit : dans les années 70 on pouvait se balader presque partout en France en pleine nuit, s'arrêter sur l'autoroute à 3 h du matin C'est sur, on pouvait, maiiiis....

Tu veux la vérité? les crimes de sang en France ont baissé de 40% depuis 2000, par contre, la grosse délinquance avec violence (style racket avec coups et blessures) a grimpé en flèche. Les gens sont moins dangereux qu'avant, mais ils font plus de conneries, si tu préfère! ^^

a écrit : Gné ?
De quoi tu parles ? De la colère ? De la jalousie ? Tu lis ça où ?
Je travaille dans la justice, et vois passer de sacré loulous, je peux te garantir que la majorité des crimes sont déclenchés par une pulsion (envie de tuer, de violer, de voler...) quelque soit la raison derriere (envie de tuer pour v
oir, envie de violer pour "tirer un coup", envie de voler pour avoir l'objet désiré...)

C'est une simple constatation.

Tu n'es jamais passé dans un magasin en te disant "purée j'aimerais bien avoir ca serieux" et t'imaginer piquer un sprint avec ton truc sous le bras ? Tout le monde y a pensé et ceux qui le font en vrai répondent à la pulsion que les premiers ont réprimés.
S'imaginer prendre du bon temps avec un/une collègue de boulot est normal aussi (tu sais ca s'appelle un "fantasme"), par contre lui coller la main au panier ou faire des avances déplacées est la différence entre la maitrise ou non des pulsions.

Si cela ne t'es jamais arrivé, c'est toi qui est inquiétant...
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Dur de ce retenir de répondre au troll. ^^

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a écrit : Ni robot ni saint, juste pas d'idée de meurtre ou de vol ou de viol, toujours pareil quoi. Salut je me demandais si t'avais jamais eu peur que quelqu'un te fasse du mal ou te vole qqch?

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a écrit : Salut je me demandais si t'avais jamais eu peur que quelqu'un te fasse du mal ou te vole qqch? Je crois qu'il est temps de clore le sujet et passer aux anecdotes du jour. Ce que je peux penser ou ressentir n'a finalement aucune importance.

Mais toi, penses-tu qu'un troll te répondrais aussi poliment malgré ton jugement pour le moins péremptoire.

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a écrit : Autant pr les morceaux de corps dans les sacs poubelle, je l’ai déjà pensé (ou bien les donner à bouffer aux animaux du zoo dans des paquets cadeaux. Ah mince, ça a déjà été fait), autant penser pousser un ami d’une falaise, euuuh non! J’aime mes amis lol! Je pense que l'histoire de pousser quelqu'un, le vrai sentiment derrière c'est la peur.

Je sais pas exactement quoi, est-ce que c'est parce qu'on ne se sent pas soi-même en sécurité donc on s'imagine pousser l'autre avant qu'il ne nous pousse, est-ce qu'on a peur de l'accident et cette pensée est un moyen d'être plus vigilant ?

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a écrit : dans les années 70 on pouvait se balader presque partout en France en pleine nuit, s'arrêter sur l'autoroute à 3 h du matin Mais pas dans les années 40, va savoir pourquoi

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a écrit : Tu habites à Gotham city? Juste Tours :). Une ville plutôt calme niveau violence au demeurant. Mais la nuit, peu importe le terrain, les loups aiment bien chasser le lapin.
Celui dont on discutait reproduction un peu plus haut ~…^.

a écrit : En fait à vous lire, on est soit noir soit blanc. Ya jamais de gris avec vous alors que le monde n'est qu'une infinité de nuances de gris. Les idées de commission du mal c'est pas incompatible avec les actions de bien hein. Ce n’est pas ce que j’ai dit, ou alors je me suis mal exprimée. Je crois aux nuances de gris. Je pense même que l’humanité occupe tout le spectre. En revanche, je suis convaincue qu’on ne naît pas tous du même côté de ce spectre. La noirceur prend plus de place chez certains que d’autres. Je veux dire de façon innée déjà. Par exemple, j’ai un frère qui est né du côté plutôt sombre du spectre. J’ai six ans de plus que lui; je l’ai bien vu grandir. Cette noirceur a toujours été là, dès sa naissance je dirais même. Et il avait beaucoup de mal à contrôler ses pulsions négatives. Lui est du genre à imaginer avec quelle facilité il pourrait étrangler quelqu’un d’une seule main - sa soeur par exemple, en joignant le geste à la parole, de manière plus qu’esquissée. En grandissant, il a appris à contrôler ces pulsions - parfois vraiment très glauques et violentes. Lorsqu’on le voit aujourd’hui et qu’on ne le connaît pas bien, on rencontre quelqu’un d’extrêmement poli, serviable, généreux et faisant preuve d’une grande moralité. On peut avoir des pulsions glauques très spontanées, voire automatiques, et réussir à rester quelqu’un de droit malgré tout dans les actes.
Pour ma part, je suis plutôt née du côté blanc du spectre, et en prenant de l’âge, je tente de m’en éloigner un peu au contraire. Disons que j’essaie de faire moins de zèle lorsqu’on me rend la monnaie :).
Inné, acquis. On ne peut non plus ignorer l’importance du vécu, notamment pendant cette délicate période de construction qu’est l’enfance. Quand on a été torturé, violé, harcelé, injurié, malmené enfant, c’est triste à dire mais très souvent, soit on reproduit sur les autres ce qu’on a vécu (voir le profil de pas mal de tueurs en série), soit on se construit contre ce modèle qu’on veut détruire.
Tout est une question de dosage, de volonté aussi, de libre-arbitre. Le libre-arbitre, c’est quelque chose de formidable. Mais les pulsions, plus ou moins fortes, plus ou moins destructrices ou toxiques, on en hérite de manière inégale, ça j’en suis sûre.

a écrit : Oh ça dérange pas, t'inquiète, j'ai, bien aimé l'analogie à pas rendre la monnaie suite à l'erreur de la caissière (je suis un monstre je l'ai fait^^), tu est quelqu'un de gentil, et vu ton post... et j'en sais quelquechose, quand on a une conscience de gentil, une petite bombe lacrymogène dans la poche, ça peut éviter des ennuis parce que dans la vie, il y a des cactus.


Ca me rappelle un fait, un jour où j'avais un grand couteau de cuisine dans la main, j'avais bu, et où un ami m'a sérieusement dit de le poser, je ne comprenais pas, mais j'ai compris que, techniquement, je pouvais... je lui ai sérieusement demandé: Mais tu crois que je pourrais te faire du mal? Il m'a répondu: on sait jamais, pose ce couteau!

Je l'ai posé en m'excusant, et quelquepart, il avait raison d'être prudent, on ne sait jamais. C'est flippant quoi.
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Le problème de la bombe lacrymo, c’est qu’elle peut se retourner contre toi. J’ai une copine qui s’est pris la sienne dans la bouche.
Non, moi j’ai mes clés. Bien placées entre les doigts, ça peut faire une arme redoutable. Et on a toujours des clés sur soi. Puis, un bon coup de genou au bon endroit, ça marche aussi.

a écrit : Moi, j’ai flippé au moins trois fois.
La première, sur un parking extérieur, de nuit (pas si tard mais par un noir soir d’hiver sans lune). Un gars est venu coller son visage contre ma vitre, le regard bien déterminé, la mâchoire serrée. Je ne l’avais pas vu venir. Il a tenté d’ouvrir ma porte mais heureusement j
’avais verrouillé par réflexe en montant dans la voiture. J’ai démarré sans chercher à comprendre.
La deuxième, à un feu rouge, à un gros carrefour bien éclairé mais désert, à 4h du matin. Là encore, je n’ai pas vu venir le gars. Je l’ai entendu essayer d’ouvrir ma portière. Je me suis bénie d’avoir choisi l’option verrouillage automatique des portes (suite au premier incident des années auparavant) parce que je ne m’attendais pas du tout à voir un gars aussi près de mon visage, le regard fiévreux, et cette détermination de cinglé, encore une fois. J’ai crié de surprise - et de trouille! Une fois de plus, j’ai démarré aussi sec, feu rouge ou pas feu rouge, je n’en avais rien à carrer.
La troisième fois, j’étais avec quelqu’un que je connaissais assez bien pourtant, mais depuis peu. C’était une personne qui avait vécu des choses vraiment affreuses dans son enfance, et je la voyais plutôt comme une victime. On marchait à la lumière des lampadaires, assez espacés les uns des autres. Soudain, je l’ai regardé à un moment où il ne s’y attendait pas du tout. Et j’ai croisé un regard de prédateur d’une violence inouïe. Ça a duré une fraction de seconde mais je suis parfaitement certaine de ce que j’ai vu. L’instant d’après, il avait retrouvé son visage normal, juste un peu plus tendu que d’habitude. J’ai bifurqué dans une rue passante et suis vite rentrée chez moi. Par la suite, j’ai pris mes distances avec cette personne et m’en suis toujours méfiée, alors même qu’elle avait toujours été adorable et même protectrice avec moi. Je n’avais pas peur d’être violée - il était homosexuel - mais bien d’être tuée.
Alors oui, je suis d’accord, certaines victimes ont eu de la chance :). Et l’occasion fait souvent le larron, pour ce genre de prédateurs.
Quant aux pulsions, je sais bien que Leolio a raison (d’ailleurs, si on était certain de ne pas pouvoir se faire gauler, on ferait sûrement plein de trucs inavouables; la perspective de l’impunité peut être un sacré stimulant) mais s’il m’arrive d’imaginer cérébralement, pour le sport, comment je m’y prendrais pour faire disparaître un corps, jamais je n’ai de fantasme du type « pousser dans le vide un ami » ou « si je voulais, je pourrais t’étrangler d’une seule main », « je pourrais crâmer ce bébé sur la plaque ». Et c’est là que je rejoins un peu Shampoo. Moi je suis plutôt du genre à perdre une heure pour retrouver la personne qui a égaré son portefeuille, à prévenir la caissière qu’elle m’a rendu la monnaie sur 20 et non 10€ (mais je m’en veux après !), à regarder d’un oeil clinique les gens qui font preuve de méchanceté gratuite ou qui détruisent une barrière juste pour détruire quelque chose. Même quand je hais suprêmement une personne, je ne parviens pas à me l’imaginer crevant d’une glissade, c’est plus fort que moi; mon sens moral doit être plus fort que moi. Sur ce plan-là, nous ne sommes certainement pas tous égaux.

Hem. Désolée pour le pavé. Heureusement, il arrive après la bataille; ça ne devrait pas déranger trop de monde ;).
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Vous êtes célibataire, Fra76 ? :-)

a écrit : Mais pas dans les années 40, va savoir pourquoi et donc ? Quel est le rapport entre les années 40 et les années 70 ?

a écrit : Mais pas dans les années 40, va savoir pourquoi Parce que dans les années 40 (sans penser à la guerre) l'autodéfense était la règle, un mec qui faisait une connerie grave (braquage avec utilisation de son arme) et qui se prenait un coup de barre de fer dans la gueule par quelqu'un qui a vu la scène, non seulement il allait direct en prison, mais en plus il se faisait casser la gueule une seconde fois en prison.

Aujourd'hui, un mec qui en défend un autre risque gros. La justice nous demande d'être parfaits à tout moment, et de défendre proportionnellement à l'agression sinon...

Tu veux un exemple? Deux mecs se battaient, un troisième est venu tenter de les séparer, il s'est pris une boule de pétanque dans la gueule par un quatrième mec (bourré) qui a été le plus emmerdé? Ben le troisième, mâchoire fracturée en 4, Monsieur Boule-de-pétanque na pas fait de prison parce qu'il a défendu le premier, d'après ses dires, c'est le troisième mec qui a commencé.

QUi a raison? QUi a tors? Celui qui a tord, c'est le mec à la mâchoire en miette, il aurrait du laisser les deux premiers s'entretuer, mais on aurrait pu l'accuser de non assistance à personne en danger?

Alors on fait comment là, on met encore plus de lois débiles où on reprend notre vie en main?

a écrit : Le problème de la bombe lacrymo, c’est qu’elle peut se retourner contre toi. J’ai une copine qui s’est pris la sienne dans la bouche.
Non, moi j’ai mes clés. Bien placées entre les doigts, ça peut faire une arme redoutable. Et on a toujours des clés sur soi. Puis, un bon coup de genou au bon endroit, ça marche aussi.
Pris sa propre bombe lacrymo dans la bouche??? je ne comprends pas. Elle a mal visé, l'autre la lui a prise et lui a lancée?

Pour le combat je suis d'accord, mais moi j'en suis incapable, je l'ai déjà dit plus haut, ma force actuelle, c'est la prudence, et au pire, le sprint. Je suis pas du genre à mettre un coup, je suis du genre à, un peu comme un chat coincé, faire le plus de dégats possible (viser les yeux, le cou, le plexus solaire)

Se battre, ça s'apprend. Et je ne l'ai jamais appris. Et ça, c'est dangereux. QUand je suis seul quelquepart, je me sens comme un animal dans la nature, tout peut arriver, méfiance poussée à l’extrême, au moindre bruit, je flippe! ^^

a écrit : et donc ? Quel est le rapport entre les années 40 et les années 70 ? Le délit de sale-gueule était inclus dans la formation officielle de la police des années 40...

a écrit : dans les années 70 on pouvait se balader presque partout en France en pleine nuit, s'arrêter sur l'autoroute à 3 h du matin Ds les années 70 le monde etait aussi dangereux que aujourd'hui, il y avait pas internet qui inonde notre vie de faits divers, on pensait que les tueurs en serie c'etait juste américain, et la police avait moins de moyens l'adn """ ca existait pas """ emile Louis a tué avec impunité 8 jeunes filles, brigitte dewervre est morte a 17 ans sûrement victime d'un tueur en serie mais en 73 " ""on savait pas se que c'etait "

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