Le coq au vin est un plat traditionnel français originaire d'Auvergne. Selon la légende, lors de la bataille de Gergovie, Vercingétorix envoya un coq à César pour le narguer. Pour se venger, César invita Vercingétorix à manger ce coq, servi mijoté. Le coq au vin était né.
Si Vercingétorix envoya un coq à César, c'est parce que cet animal est symbole de combativité, agressivité, hargne, vaillance ou encore orgueil. Qualités que revendiquaient les Gaulois... et qu'ont reprises les Français en faisant du coq un de leurs emblèmes.
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L'anecdote parle bien de légende et tu donne toi même la définition de ce mot, d'un coté tu apporte des sources, et de l'autre tu embarque le sujet sur un débat philosophique sur la sémantique. Quand t'as décidé d'avoir raison, tu peux montrer une formidable capacité à aiguiller une discussion sur le terrain que tu a choisi quand d'un autre coté tu est capable d'objectivité, c'est très déstabilisant, et surtout très chiant.
CELA DIT, la merde a du goût au moins ;)
et de quatre! ^^
Un terrible dilemme s'est présenté à César pour la cuisson! La vengeance est un plat qui se mange froid mais le coq au vin lui se mange chaud!
Surtout que mon esprit de contradiction me fait souvent défendre des causes auquel je ne crois pas. J’aime plus le débat que les idées. C’est effectivement un gros défaut.
La vérité est établie jusqu’à preuve du contraire, aucune vérité n’est définitive...
Bref l’Histoire n’est pas une légende.
On pourrait citer des exemples à la pelle : n’ayant pas assisté à la seconde guerre mondiale dois-je douter du massacre des juifs,tziganes, handicapés etc ? Après tout l’opinion de ces populations a dû modifier la perception des gens.
Maintenant si ca t'amuse de faire ça, tant mieux pour toi, mais ce n'est pas le bon endroit pour mettre le nez des gens dans leur caca pour le plaisir. Pour ça il y a FB.
Bon plus sérieusement, ce que je voulais dire c’est qu’avant le siècle dernier où on a pas mal de documentation, nos chers historiens se basent surtout sur des récits et on est bien obligé de les prendre comme une « vérité ». Toutes les illustres autobiographies genre la guerre des gaules de cesar ou les récits des tombeaux pharaoniques sont avant tout des histoires et non l’Histoire. Il apparaît alors difficile de démêler ce qui révèle du fait historique de la légende. Bien entendu on a d’autres preuves et on fait des recoupements mais il faut avouer qu’on marche sur des œufs pour certaines périodes de l’histoire et parfois même on se plante.
Garder à l’esprit qu’on a eu énormément de données qui nous ont permis d’être sûrs de beaucoup de choses...