Une des plus grandes mines d'or européenne est près de Carcassonne

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La mine d'or de Salsigne, au nord de Carcassonne, fut la plus grande mine d'or d'Europe au XXe siècle avec 120 tonnes d'or extraites. Aujourd'hui, suite aux inondations d'octobre 2018, les habitants craignent un désastre écologique car l'extraction a libéré 90 000 tonnes d'arsenic.


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a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Dans la même veine, rendons hommage à Portsall dont le littoral fut mazouté et porte encore aujourd'hui les stigmates ou encore la Faute-sur-Mer qui a vu son maire être reconnu responsable des décès des suites de la tempête Xynthia et ce, pour faute grave.

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windowsphone

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a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Dans la même veine, rendons hommage à Portsall dont le littoral fut mazouté et porte encore aujourd'hui les stigmates ou encore la Faute-sur-Mer qui a vu son maire être reconnu responsable des décès des suites de la tempête Xynthia et ce, pour faute grave.

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windowsphone

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a écrit : Le pire serais de trouve une solution viable pour le moment et que dans 50 ou 100 ans on nous sorte que c'était en fait pire que d'avoir laisser comme c'était avec l'arsenic Il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se rompent pas!

a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Tout simplement car dans notre société, les profits sont privés et les pertes publiques.

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a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Malheureusement, l'argent d'aujourd'hui compte plus que les conséquences de demain. Même si des "efforts" (ou, au choix, de la poudre de perlimpimpin - p'tite dédi ;) - ) sont fais, on est loin de l'inquiétude sérieuse des grands groupes quant à l'avenir de notre planète .. ils ne montrent que ce que nous voulons voir .

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a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Tout simplement car l’argent rentre du mardi au samedi! Et quand dimanche arrive, eux, ils sont en week-end. Voir en vacances

a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Car c est pas eux qui payent à la fin!

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a écrit : Ils sont bien mignons tous : élus, associations, habitants, pouvoirs publics... Pendant des années ils se sont "gavés" : des centaines d'emplois, richesse locale, tout le monde en a profité... Ils ont tous fermé les yeux sur ce qui se passait : utilisation de souffre, arsenic, des milliers de tonnes de déchets toxiques ; et aujourd'hui, "ah ben oui, mais là non, tout est pollué"... Fallait peut-être s'en occuper avant, non ? :) Afficher tout Les élus, les associations et les pouvoirs publics ont fait ce qu'il faut, à savoir arrêter l'exploitation malgré 40 tonne d'or encore présent.
Quant à s'en occuper avant, si l'utilisation de l'arsenic était de mise dès le XIXeme siècle on va pas taper sur les responsables modernes du site qui on peut être respecter les normes du moment. La préoccupation écologique n'est pas très ancienne, faut le prendre en compte. On ne peut pas reprocher aux responsables du XIXeme de n'avoir pas respecter les normes du XXeme siècle. Ni à ceux du XXeme siècle de ne pas avoir respecter les normes du XXIeme.

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a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Parce que les décideurs n'habitent pas le coin, tout simplement. Idem pour les "boues rouges" dans les calanques, etc.

a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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La réponse est dans ta question, les industriels ne paient pas, pour que la communauté paie à leur place !

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a écrit : Y'a des noms, comme ça, qui n'incitent pas à la confiance. Si, dans un autre registre, on peut dire que la mise en service du barrage de Malpasset c'est mal passé, et bien là, on peut dire que l'exploitation scandaleuse de cette mine de Salsigne, avec ingérence manifeste des déchets d'années en années envoient de sales signes.

À vouloir se séparer de l'Arsenic dans l'environnement immédiat (à bas coût, sans trop de contraintes) : il en résulte aujourd'hui une pollution des sols durable condamnant l'agriculture et l'élevage dans toutes les communes environnantes, et une contamination de l'eau en surface, et bientôt en profondeur.

Une des sources nous apprend que des incidents inquiétants sont survenus ces derniers temps, dans cette mine pourtant fermée : ici, la rupture d’une digue d’un bassin de décantation ; là, la découverte d’enfouissements sauvages d’arsenic ; en 2011, la survenance d’explosions souterraines spontanées ; en 2013, la pollution d’un canal d’irrigation dont les eaux présentent un taux d’arsenic 450 fois supérieur au seuil de l'OMS...

Les poignées d'euros qu'ont voulut économiser les (in)gérants de cette exploitation minière hier vont se transformer en millions d'euros de difficile réhabilitation pour "limiter la casse".

Selon moi, lorsqu'il est question de choix entre écologie ou économie, la solution la plus économique consiste toujours à être écolo (sur le long terme). D'une manière générale, je ne comprends pas pourquoi les industriels jouent aux radins le lundi, pour que la communauté paye 100x plus cher le dimanche, afin de réparer les conséquences du choix effectué le lundi.
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Bonjour,
Pour répondre à ta question de façon concise, les industriels misent toujours sur un profil à court terme plutôt que sur le long terme (principe du capitalisme). De plus, ce ne sont pas eux qui indemnisent leurs impacts environnementaux mais les pouvoirs publics. À quoi bon dépenser plus de capitaux pour minimiser leurs impacts ?

Passé l'autre jour à la une du JT de France 2 : les enfants de Salsigne, passant des prises de sang à l'hôpital ont été reconnus avec un taux deux fois supérieurs au taux maximum tolérés par un adulte...

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