Peut-on voyager plus vite que la lumière ?

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Il est possible, avec la théorie de la distorsion, de voyager plus vite que la lumière sans dépasser les limites physiques de la théorie d'Einstein. Une sorte de "bulle" munie d'un moteur adéquat pourrait contracter l'espace devant elle et allonger l'espace derrière elle. Le concept, élaboré par le physicien Miguel Alcubierre, est très sérieusement étudié par la NASA au sein du groupe de travail Eagleworks.


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a écrit : Très clair ton schéma. Moi ce que je me demande, c’est avec quoi tu as pu le faire ? Juste un logiciel de retouche photo, The GIMP en l’occurence (gratuit et libre : www.gimp.org/fr/ )

J’ai juste pris une image d’un cadrilage et ensuite un filtre "lentille convexe" pour faire la distorsion. Ensuite j’ai mis les flèches et le texte.

a écrit : C'est pour ça que la lumière qui traverse où est réfléchie par une matière change de couleur si j'ai bien compris? Une histoire de fréquence?

Ptain j'ai du mal à comprendre désolé
La lumière ne change pas de couleur : un laser rouge qui traverse du verre ressort bien rouge, non ?

Les interactions lumière/matière peuvent avoir lieu de plusieurs façons.

De façon générale, les matériaux n’absorbent que des fréquences très spécifiques. Un spectre continu qui traverse un gaz voit donc certaines longueurs d’ondes absorbées. C’est un spectre d’absorption. (tinyurl.com/y55gxoql — ici c’est le spectre d’émission, mais le principe est le même).

La position des raies est spécifique au matériau et leur analyse permet de déterminer quel est ce matériau (sur l’image, on voit « l’empreinte » de chaque élément).
C’est comme ça que fonctionne un spectromètre, ou qu’on peut connaître la composition des étoiles.

Dans le cas du verre (et des milieux transparents), la lumière n’est pas assez énergétique pour être absorbée : aucune "bande sombre" n’apparaît, et toute la lumière est transmise.

Dans les métaux, la présence d’électrons libre change la donne : on n’a plus de "raies d’absorption" (bandes d’absorption très fines) mais des bandes d’absorption très larges qui couvrent pratiquement tout le spectre. Un métal absorbe donc tout le rayonnement électromagnétique (dont la lumière) et les électrons gagnent en énergie (ils chauffe). Pour les semi-conducteurs, les électrons deviennent conducteurs de courant : c’est le fonctionnement d’un panneau solaire (transformer la lumière en courant).

Pour les verres colorés (bleu par exemple), ce n’est pas le verre qui absorbe tout sauf le bleu, mais les pigments.

Certains éléments captent la lumière (bleue par exemple) et réémettent une autre couleur (du rouge par exemple).
C’est le cas des chaussettes ou chemises blanches qui brillent en boîte de nuit sous la lumière noire (qui est juste de la lumière UV) : l’UV est absorbée et du bleu est émis.
C’est aussi le cas pour du Schweppes (la boisson) sous lumière UV : lehollandaisvolant.net/img/IMG_20130825_183220.jpg

Il faut aussi voir que (dans l’explication que j’ai donnée sur le mécanisme de réfraction), que toutes les longueurs d’ondes ne sont pas ralenties de la même façon.
Le bleu/violet (haut du spectre) sont plus ralentis que le rouge ou le jaune (bas du spectre). Des phénomènes relativistes (compression des longueurs, tout ça) font ensuite que les rayons de longueur d’onde différente (allant initialement dans le même sens) sont légèrement déviés : le rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet sont séparés : c’est un arc-en-ciel.
Certains cristaux permettent de séparer les couleurs comme ça : lehollandaisvolant.net/tout/folio/?fol=trichroic-glass# (ici un cristal trichroïque, provenant d’un vidéo projecteur, pour séparer bleu/vert/rouge).


Enfin, pour la couleur de certains métaux (l’or qui est jaune, le cuivre qui est rouge, et l’osmium qui est bleuté), c’est un phénomène très complexe qui entre jeu, mêlant physique quantique et relativité : couleur-science.eu/?d=2f73fe--pourquoi-lor-a-til-cette-couleur-doree

(pardon pour le long comm^^)

a écrit : La lumière ne change pas de couleur : un laser rouge qui traverse du verre ressort bien rouge, non ?

Les interactions lumière/matière peuvent avoir lieu de plusieurs façons.

De façon générale, les matériaux n’absorbent que des fréquences très spécifiques. Un spectre continu qui traverse un
gaz voit donc certaines longueurs d’ondes absorbées. C’est un spectre d’absorption. (tinyurl.com/y55gxoql — ici c’est le spectre d’émission, mais le principe est le même).

La position des raies est spécifique au matériau et leur analyse permet de déterminer quel est ce matériau (sur l’image, on voit « l’empreinte » de chaque élément).
C’est comme ça que fonctionne un spectromètre, ou qu’on peut connaître la composition des étoiles.

Dans le cas du verre (et des milieux transparents), la lumière n’est pas assez énergétique pour être absorbée : aucune "bande sombre" n’apparaît, et toute la lumière est transmise.

Dans les métaux, la présence d’électrons libre change la donne : on n’a plus de "raies d’absorption" (bandes d’absorption très fines) mais des bandes d’absorption très larges qui couvrent pratiquement tout le spectre. Un métal absorbe donc tout le rayonnement électromagnétique (dont la lumière) et les électrons gagnent en énergie (ils chauffe). Pour les semi-conducteurs, les électrons deviennent conducteurs de courant : c’est le fonctionnement d’un panneau solaire (transformer la lumière en courant).

Pour les verres colorés (bleu par exemple), ce n’est pas le verre qui absorbe tout sauf le bleu, mais les pigments.

Certains éléments captent la lumière (bleue par exemple) et réémettent une autre couleur (du rouge par exemple).
C’est le cas des chaussettes ou chemises blanches qui brillent en boîte de nuit sous la lumière noire (qui est juste de la lumière UV) : l’UV est absorbée et du bleu est émis.
C’est aussi le cas pour du Schweppes (la boisson) sous lumière UV : lehollandaisvolant.net/img/IMG_20130825_183220.jpg

Il faut aussi voir que (dans l’explication que j’ai donnée sur le mécanisme de réfraction), que toutes les longueurs d’ondes ne sont pas ralenties de la même façon.
Le bleu/violet (haut du spectre) sont plus ralentis que le rouge ou le jaune (bas du spectre). Des phénomènes relativistes (compression des longueurs, tout ça) font ensuite que les rayons de longueur d’onde différente (allant initialement dans le même sens) sont légèrement déviés : le rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet sont séparés : c’est un arc-en-ciel.
Certains cristaux permettent de séparer les couleurs comme ça : lehollandaisvolant.net/tout/folio/?fol=trichroic-glass# (ici un cristal trichroïque, provenant d’un vidéo projecteur, pour séparer bleu/vert/rouge).


Enfin, pour la couleur de certains métaux (l’or qui est jaune, le cuivre qui est rouge, et l’osmium qui est bleuté), c’est un phénomène très complexe qui entre jeu, mêlant physique quantique et relativité : couleur-science.eu/?d=2f73fe--pourquoi-lor-a-til-cette-couleur-doree

(pardon pour le long comm^^)
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Ne t'excuses pas pour un long post, surtout de cette qualité! Sur un site de partage de savoirs, je préfère des commentaires instructifs comme celui ci aux guerres d'orthographe par exemple!

Au passage, magnifique ce cristal, on dirait qu'il forme un hypercube avec ses reflets!

a écrit : Cela parlera peut etre à certains, mais il me semble que dans un manga cette idée est mise en pratique pour permettre le voyage spatial : un vaisseau avec une paroi avant contractant l'espace et le "ressortant" par l'arrière via une paroi identique pour se propulser.
Je vais chercher dans mes
mangas, mais il me semble que c'était dans les années 2000.
Je regarde ce soir si personne ne trouve ;)
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Il ya eu un autre manga qui en parla bien avant c est le captitain flam fin des années 70 je ne sais plus quel épisode par contre

a écrit : Ça ne me semble pas être deux sujets liés. À part si une des 16 dimensions est une seconde dimension de temps. En même temps, peut-être sont-ce ces dimensions qui manquent aux cordistes dans leurs équations, 4 dimensions de temps et d'espace définies dans 4 dimensions de temps et d'espace !
Mais la théo
rie des cordes s'intéresse plus à "l'état" des particules "quantifiées". Dans un état et tous à la fois sauf lorsqu'elles sont mesurées. Là, elles se fixent dans l'état révélé par la mesure. Les particules de Shrödinger en fait. Il y a un vidéo super bien faite de David Louapre sur la chaîne youtube "sciences étonnantes" à ce sujet pour qui veut se renseigner. Lui même est très sympa et réponds très bien aux questions. Lisez sa thèse sur les mousse de spin et vous ne serez pas déçus ! Afficher tout
Merci pour votre réponse. En l'état, j'avoue qu'elle ne m'est pas d'une grande aide. Mais j'irai volontiers consulter les sources que vous citez !

a écrit : La théorie des cordes n’a pas grand chose à voir avec tout ça, dans le sens qu’on peut très bien s’en passer.
La relativité l’explique très bien toute seule.

Comme le dit Nicomputer ici, la théorie des cordes n’est pas encore prouvée, alors que les phénomènes relativistes, on les observe directement.
Le parfait résumé de ma vie : à côté de la plaque... ^^

a écrit : Et... Non, en pratique il y plusieurs façon d'aller dans le futur (par rapport à l'observateur en question) comme :
- s'approcher d'un trou noir (le temps s'écoulera alors plus vite à l'extérieur, donc quand on s'en éloignera les gens auront plus vieillis que nous (exemple dans
Interstellar)
- Aller une vitesse proche de la vitesse de la lumière, le voyageur veillira alors moins vite que l'observateur resté immobile ( =paradoxe des jumeaux pour plus d'infos)

Par contre aller dans le passé c'est pas la même histoire. Déjà dans un premier temps ça créerait des paradoxes. Mais admettons qu'on réussise à les résoudre avec un modèle quelconque, alors selon moi ça remettrait en cause la deuxième loi de la thermodynamique qui est un principe fondamentale de notre modèle (=augmentation de l'entropie, = irréversibilité des phénomènes physiques, c'est à dire le désordre augmente).
Mais passons outre, si on crée une machine qui nous emmène dans le passé alors :
-On risque fortement d'atterrir au milieu de l'espace --> La terre bouge en permanence, elle n'est pas au même endroit maintenant que quand vous avez commencé à lire ce commentaire.
-Et si on arrive a aller au bonne endroit alors il y avait deja des molécules d'air à notre emplacement. Donc pourquoi les nos molécules gagneraient face à celle de l'air ? Ainsi on serait vaporisé instantanément tout en enfreignant le premier principe de la thermodynamique (=conservation de l'énergie dans un système isolé)

Donc à partir de là on se rend compte que c'est mal barré pour aller dans le passé... Sauf si le passé est en réalité dans notre futur. Ce qui veut dire que l'univers est cyclique, ainsi il se recontracterait pour réformer un big bang identique au premier (Voir un bon épisode de Futurama ou ce principe est montré de manière très drôle) donc aller dans le passé signifierait aller suffisamment loin de le futur ^^
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Je n'ai pas compris en quoi ça remet en cause le principe d'entropie ?

Et lors du Big crunch quid la dimension temporelle que nous appelons le temps ?
Et d'ailleurs combien ya t'il de Dimension (tout types confondus) dans l'univers ?

a écrit : La lumière ne change pas de couleur : un laser rouge qui traverse du verre ressort bien rouge, non ?

Les interactions lumière/matière peuvent avoir lieu de plusieurs façons.

De façon générale, les matériaux n’absorbent que des fréquences très spécifiques. Un spectre continu qui traverse un
gaz voit donc certaines longueurs d’ondes absorbées. C’est un spectre d’absorption. (tinyurl.com/y55gxoql — ici c’est le spectre d’émission, mais le principe est le même).

La position des raies est spécifique au matériau et leur analyse permet de déterminer quel est ce matériau (sur l’image, on voit « l’empreinte » de chaque élément).
C’est comme ça que fonctionne un spectromètre, ou qu’on peut connaître la composition des étoiles.

Dans le cas du verre (et des milieux transparents), la lumière n’est pas assez énergétique pour être absorbée : aucune "bande sombre" n’apparaît, et toute la lumière est transmise.

Dans les métaux, la présence d’électrons libre change la donne : on n’a plus de "raies d’absorption" (bandes d’absorption très fines) mais des bandes d’absorption très larges qui couvrent pratiquement tout le spectre. Un métal absorbe donc tout le rayonnement électromagnétique (dont la lumière) et les électrons gagnent en énergie (ils chauffe). Pour les semi-conducteurs, les électrons deviennent conducteurs de courant : c’est le fonctionnement d’un panneau solaire (transformer la lumière en courant).

Pour les verres colorés (bleu par exemple), ce n’est pas le verre qui absorbe tout sauf le bleu, mais les pigments.

Certains éléments captent la lumière (bleue par exemple) et réémettent une autre couleur (du rouge par exemple).
C’est le cas des chaussettes ou chemises blanches qui brillent en boîte de nuit sous la lumière noire (qui est juste de la lumière UV) : l’UV est absorbée et du bleu est émis.
C’est aussi le cas pour du Schweppes (la boisson) sous lumière UV : lehollandaisvolant.net/img/IMG_20130825_183220.jpg

Il faut aussi voir que (dans l’explication que j’ai donnée sur le mécanisme de réfraction), que toutes les longueurs d’ondes ne sont pas ralenties de la même façon.
Le bleu/violet (haut du spectre) sont plus ralentis que le rouge ou le jaune (bas du spectre). Des phénomènes relativistes (compression des longueurs, tout ça) font ensuite que les rayons de longueur d’onde différente (allant initialement dans le même sens) sont légèrement déviés : le rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo, violet sont séparés : c’est un arc-en-ciel.
Certains cristaux permettent de séparer les couleurs comme ça : lehollandaisvolant.net/tout/folio/?fol=trichroic-glass# (ici un cristal trichroïque, provenant d’un vidéo projecteur, pour séparer bleu/vert/rouge).


Enfin, pour la couleur de certains métaux (l’or qui est jaune, le cuivre qui est rouge, et l’osmium qui est bleuté), c’est un phénomène très complexe qui entre jeu, mêlant physique quantique et relativité : couleur-science.eu/?d=2f73fe--pourquoi-lor-a-til-cette-couleur-doree

(pardon pour le long comm^^)
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Mais non, je te remercie de m'avoir répondu, il est très bien ton com, j'ai presque tout compris ;)

a écrit : Et lors du Big crunch quid la dimension temporelle que nous appelons le temps ?
Et d'ailleurs combien ya t'il de Dimension (tout types confondus) dans l'univers ?
Professeur Hawking? Vous êtes demandé à l'accueil de SCMB.

Ah zut...

a écrit : Professeur Hawking? Vous êtes demandé à l'accueil de SCMB.

Ah zut...
Il viendra pas, il y a des escaliers à l’entrée.

Et pour ceux que ça intéresse et pour revenir un peu à la réalité par rapport à nos discussions sur la distorsion, voici le dernier décollage en date d'Ariane 5 du 5 février :
www.youtube.com/watch?v=YEaZhGIhfzg&feature=youtu.be&fbclid=IwAR1nOIMzd6-ctrf2Q8yHWEd4PJeXQFP0rXBV2w985IpxQ8WKO5t05LH01vk

La fusée est équipée d'un moteur Vulcain qui assure 10% de la poussée au décollage et qui assure la poussée après largage des boosters ou EAP (étage à poudre).
Il est utilisé à des contraintes si élevées que sa durée de vie maximale est de 6 000 secondes et 20 démarrages (marge de sécurité comprise). Il fonctionne avec une turbopompe à oxygène de 3,7 MW et une turbopompe à hydrogène de 12,4 MW soit 21000 chevaux (équivalent à 2 TGV) et consomme 200 L d'oxygène et 600 L d'hydrogène par seconde.
Concernant les EAP qui eux assurent 90% de la poussée au décollage, il s'agit de deux gros "pétards" remplis de poudre de propergol solide qui en brûlant donnent une force de poussée de 5000 à 6000 kN en moyenne. Ces deux pétards, une fois allumés ne peuvent plus être éteints donc à la moindre défaillance, c'est l'explosion.

Ce qu'on voit dans la vidéo, ce sont les tuyères des moteurs à propergol solide des deux boosters ainsi que l'allumage du Vulcain (toujours allumé au sol pour des raisons techniques même s'il ne sert qu'à 10% de la poussée).

On est très loin de la distorsion mais en moins de 100 ans, on est tout de même passé de la calèche à Ariane 5, c'est pas si mal.

a écrit : Professeur Hawking? Vous êtes demandé à l'accueil de SCMB.

Ah zut...
Il y a 4 dimensions universellement reconnues. La physiques quantique (corde) a besoin de 16 pour fonctionner mais on peine à les trouver. La gravitanionnelle quantique a boucles peut en imaginer des centaines mais repliées les unes sur les autres. Mais comme dit Ryan Munroe, "parmis les 4 dimensions connues, je m'estime heureux que ce soit dans celle du temps que je sois inéluctablement entraîné"

a écrit : Où remplie de monstres à sang froid avec la bouche pleine de dents... ^^ Ouais je serais à leur place, j'éviterais de m'approcher d'un lieu rempli de banquiers véreux...

a écrit : Ça me fait penser aux Shadoks qui pour avancer en bateau pomper l’eau de devant pour la mettre à l’arrière... l’inverse ils remplissent des seaux avec l’eau à l’arrière pour la mettre devant

a écrit : Et... Non, en pratique il y plusieurs façon d'aller dans le futur (par rapport à l'observateur en question) comme :
- s'approcher d'un trou noir (le temps s'écoulera alors plus vite à l'extérieur, donc quand on s'en éloignera les gens auront plus vieillis que nous (exemple dans
Interstellar)
- Aller une vitesse proche de la vitesse de la lumière, le voyageur veillira alors moins vite que l'observateur resté immobile ( =paradoxe des jumeaux pour plus d'infos)

Par contre aller dans le passé c'est pas la même histoire. Déjà dans un premier temps ça créerait des paradoxes. Mais admettons qu'on réussise à les résoudre avec un modèle quelconque, alors selon moi ça remettrait en cause la deuxième loi de la thermodynamique qui est un principe fondamentale de notre modèle (=augmentation de l'entropie, = irréversibilité des phénomènes physiques, c'est à dire le désordre augmente).
Mais passons outre, si on crée une machine qui nous emmène dans le passé alors :
-On risque fortement d'atterrir au milieu de l'espace --> La terre bouge en permanence, elle n'est pas au même endroit maintenant que quand vous avez commencé à lire ce commentaire.
-Et si on arrive a aller au bonne endroit alors il y avait deja des molécules d'air à notre emplacement. Donc pourquoi les nos molécules gagneraient face à celle de l'air ? Ainsi on serait vaporisé instantanément tout en enfreignant le premier principe de la thermodynamique (=conservation de l'énergie dans un système isolé)

Donc à partir de là on se rend compte que c'est mal barré pour aller dans le passé... Sauf si le passé est en réalité dans notre futur. Ce qui veut dire que l'univers est cyclique, ainsi il se recontracterait pour réformer un big bang identique au premier (Voir un bon épisode de Futurama ou ce principe est montré de manière très drôle) donc aller dans le passé signifierait aller suffisamment loin de le futur ^^
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Arrête les fictions et commence plutôt à réfléchir avec ta tête ;)

a écrit : Pas vraiment la preuve est que dans star trek ils parlent de Warp, c est à dire que le vaisseau va à x fois la célérité de la lumière... or la notion de distorsion n est pas une notion de vitesse :-) Non en warp le vaisseau est en réalité immobile dans une bulle de distorsion. C'est l'espace qui se déforme et se déplace autours de lui, lui permettant de rallier un point a et un point b plus vite que ne le fait la lumière. C'est strictement ce qui est décrit dans l'anecdote et c'est strictement comme ça que la technologie est décrite dans les différents films, séries et bouquins star trek. ;)

a écrit : Arrête les fictions et commence plutôt à réfléchir avec ta tête ;) Je me suis juste servie de fiction pour illustrer mes propos, et à moins d'être astrophysisien les modèles tu les invente pas. Tu les découvres par ci par là. Un problème avec ça ?

Les navigateurs de la guilde imaginés par Franck Herbert dans Dunes ´´plient’´ l’espace... cela semble se rapprocher de cette théorie ...

a écrit : l’inverse ils remplissent des seaux avec l’eau à l’arrière pour la mettre devant Cela s’appelle renverser la vapeur !