Le bordel de campagne était un équipement militaire

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Pendant tout le XXe siècle, les unités de l'armée française avaient à leur disposition des "BMC" (bordels militaires de campagne), des maisons closes plus ou moins bien organisées installées directement dans les camps. Ils furent particulièrement utilisés en Indochine et en Algérie. Le dernier BMC situé sur un territoire français fut celui de Kourou en Guyane. Il fut fermé en 1995 à la suite d'une plainte d'un proxénète brésilien pour « concurrence déloyale ».

A Djibouti, la Légion étrangère en possédait encore un en 2003.


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a écrit : Marthe Richard n'avait rien compris non plus puisque qu'elle a fermé les maisons closes (et elle est d'ailleurs restée célèbre pour ce tour de force sinon on aurait oublié son nom depuis longtemps). Pour information, elle a expliqué dans ses vieux jours que c'était une erreur et qu'elle avait été instrumentalisé par des politiques.

a écrit : Marthe Richard n'avait rien compris non plus puisque qu'elle a fermé les maisons closes (et elle est d'ailleurs restée célèbre pour ce tour de force sinon on aurait oublié son nom depuis longtemps). Nous n’irons plus au bois, les lauriers sont coupés ;)

a écrit : L adresse suivante


82 Rue Notre Dame de Nazareth
maps.app.goo.gl/JJrysD6j36wx1T9T6

Est face au 73 qui etiat le siège de l organisation qui gérait les bmc français... Ça a l air très bourgeois
Les responsables militaires traitent avec le « Milieu » (crime organisé) pour qu'il leur fournisse des prostituées[2]. L'« Association des maîtres et maîtresses d'hôtels meublés de France et des colonies », régie par la loi du 1er juillet 1901, sise au 73, rue de Nazareth à Paris 3e, joue un rôle presque officiel de coordination. En fait, ce sont les proxénètes et les « placeurs » qui jouent le rôle organisationnel