Un simulateur pour la Lune façon parc d'attraction

Proposé par
le
dans

Commentaires préférés (3)

Le simulateur s'appelait LOLA pour "Lunar Orbit and Lunar Approach".

Les astronautes étaient placés dans des modules autour de la maquette et voyait la lune à travers des caméras et des fenêtres. Cela permettait d'appréhender la surface lunaire à l'équivalent de 322 km d'altitude (la lune faisant 6 mètres de diamètre). Il pouvait ainsi s'entraîner à visualiser les zones d'atterrissage pour le module.
Cela permettait également de s'entrainer à l'approche lunaire en visant le mieux possible la zone d'atterrissage.

Finalement, le simulateur n'a pas vraiment servi car le module était contrôlé par ordinateur. En cas de panne, un astronaute aurait toutefois pu logiquement reprendre le contrôle de l'appareil et le poser sans dommage.

a écrit : Tu as déjà fais mieux ;)

Sinon, oui, il l'est vraiment,septique.
Tu n'as pas compris la plaisanterie, c'était une manière plaisante de te faire remarquer que si cette personne n'est pas une fosse pleine de microbes, il faut écrire sceptique, avec un c comme dans scepticisme. Septique veut dire que c'est plein de microbes.


Tous les commentaires (14)

Même si cette réplique est bien imitée, je me demande à quoi servaient ces entraînements, parce que les astronautes ont quand même bien dû remarquer en arrivant dessus, que la Lune est beaucoup plus grosse en vrai (et qu'il n'y a pas cette fenêtre carrée).

a écrit : Même si cette réplique est bien imitée, je me demande à quoi servaient ces entraînements, parce que les astronautes ont quand même bien dû remarquer en arrivant dessus, que la Lune est beaucoup plus grosse en vrai (et qu'il n'y a pas cette fenêtre carrée). Peut être s'entrainer à une injection orbitale?

Après pour se poser, y'avait un autre simulateur:

Ça n'a servi à rien a part donner des repères visuelles à quelqu'un tournant autour à différentes altitudes.

a écrit : Même si cette réplique est bien imitée, je me demande à quoi servaient ces entraînements, parce que les astronautes ont quand même bien dû remarquer en arrivant dessus, que la Lune est beaucoup plus grosse en vrai (et qu'il n'y a pas cette fenêtre carrée). J'ai mal regardé : ce n'est pas une fenêtre dans la maquette mais une photo, probablement de la vraie surface de la lune, et cette personne tient cette photo à la main devant la maquette pour comparer la taille des cratères avec son compas. (et les cratères aussi sont beaucoup plus gros en réalité : cette maquette est une reproduction du sol lunaire à une échelle très réduite).

Le simulateur s'appelait LOLA pour "Lunar Orbit and Lunar Approach".

Les astronautes étaient placés dans des modules autour de la maquette et voyait la lune à travers des caméras et des fenêtres. Cela permettait d'appréhender la surface lunaire à l'équivalent de 322 km d'altitude (la lune faisant 6 mètres de diamètre). Il pouvait ainsi s'entraîner à visualiser les zones d'atterrissage pour le module.
Cela permettait également de s'entrainer à l'approche lunaire en visant le mieux possible la zone d'atterrissage.

Finalement, le simulateur n'a pas vraiment servi car le module était contrôlé par ordinateur. En cas de panne, un astronaute aurait toutefois pu logiquement reprendre le contrôle de l'appareil et le poser sans dommage.

Photos de la lune prise par l'observatoire du pic du midi pour le compte de la nasa.

a écrit : Ah merci pour ce lien. Je cherchais ce film car je veux le montrer à un septique... ;) Tu es sûr que cette personne septique l'est vraiment ou c'est une fosse septique ?

a écrit : Tu es sûr que cette personne septique l'est vraiment ou c'est une fosse septique ? Tu as déjà fais mieux ;)

Sinon, oui, il l'est vraiment,septique.

a écrit : Tu as déjà fais mieux ;)

Sinon, oui, il l'est vraiment,septique.
Tu n'as pas compris la plaisanterie, c'était une manière plaisante de te faire remarquer que si cette personne n'est pas une fosse pleine de microbes, il faut écrire sceptique, avec un c comme dans scepticisme. Septique veut dire que c'est plein de microbes.

a écrit : Le simulateur s'appelait LOLA pour "Lunar Orbit and Lunar Approach".

Les astronautes étaient placés dans des modules autour de la maquette et voyait la lune à travers des caméras et des fenêtres. Cela permettait d'appréhender la surface lunaire à l'équivalent de 322 km d'al
titude (la lune faisant 6 mètres de diamètre). Il pouvait ainsi s'entraîner à visualiser les zones d'atterrissage pour le module.
Cela permettait également de s'entrainer à l'approche lunaire en visant le mieux possible la zone d'atterrissage.

Finalement, le simulateur n'a pas vraiment servi car le module était contrôlé par ordinateur. En cas de panne, un astronaute aurait toutefois pu logiquement reprendre le contrôle de l'appareil et le poser sans dommage.
Afficher tout
Oui mais si l'ordinateur tombait en panne, il fallait bien que l'astronaute sache comment piloter le bidule en cas d'urgence, tu crois pas?

Au passage, le LEM a été posé "à la main" car JUSTEMENT l'ordinateur allait faire poser l'atterrisseur dans un champ de cailloux et c'est l'humain qui a décidé de reprendre le contrôle manuel, pour Apollo 11..

Désastre évité à 30 secondes de carburant restant.

Heureusement que des simulations ont été faites avant...

-PUTAIN!!! Comment ca marche, ce truc???

a écrit : Oui mais si l'ordinateur tombait en panne, il fallait bien que l'astronaute sache comment piloter le bidule en cas d'urgence, tu crois pas?

Au passage, le LEM a été posé "à la main" car JUSTEMENT l'ordinateur allait faire poser l'atterrisseur dans un champ de cailloux et
c'est l'humain qui a décidé de reprendre le contrôle manuel, pour Apollo 11..

Désastre évité à 30 secondes de carburant restant.

Heureusement que des simulations ont été faites avant...

-PUTAIN!!! Comment ca marche, ce truc???
Afficher tout
En fait, l'analyse post-mission montrera qu'il restait environ 50 secondes de carburant. Des gargouillements plus importants que prévu du propergol ont découvert une sonde laissant croire à l'ordinateur qu'il en restait moins qu'en réalité. Ce problème, comme tant d'autres, fût corrigé pour les missions suivantes.

a écrit : Oui mais si l'ordinateur tombait en panne, il fallait bien que l'astronaute sache comment piloter le bidule en cas d'urgence, tu crois pas?

Au passage, le LEM a été posé "à la main" car JUSTEMENT l'ordinateur allait faire poser l'atterrisseur dans un champ de cailloux et
c'est l'humain qui a décidé de reprendre le contrôle manuel, pour Apollo 11..

Désastre évité à 30 secondes de carburant restant.

Heureusement que des simulations ont été faites avant...

-PUTAIN!!! Comment ca marche, ce truc???
Afficher tout
Oui c’est que ce que je dis justement.