Le pilote japonais Saburo Sakai reçut une rafale de balles lors de la bataille de Guadalcanal en 1942. Une balle traversa son cerveau, le rendit aveugle d’un œil et le paralysa du côté gauche. Il put néanmoins parcourir plus de 1000 km pour rentrer à sa base.

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En fait ce n'est pas du tout une question de sacrifice ou de performances (enfin pas tout à fait). Le manque de protection vient de la préférence des pilotes japonais à manœuvrer dans un mouchoir de poche et pour rendre un avion plus maniable, pas de secret, il faut l'alléger. Le résultat fut des avions certes ultra manoeuvrables et dominant totalement ceux des alliés en combat tournoyant mais mal protégés, mal armés et relativement vite dépassés sur tous les plans, hormis donc la manoeuvrabilité.
De plus les japonais n'avaient pas intérêt à sacrifier leurs pilotes, très doués mais très peu nombreux. Les kamikazes interviendront d'ailleurs assez tard.
Euh, j'y connais rien en aviation, mais protéger un appareil, ou son pilote c'est pareil non?. Je veux dire que tu privilégies l'avion ou plutôt le pilote, tu vas faire le même type de protection/adaptations à ta stratégie de combat: si le pilote meurt, ton appareil est mort. Si l'appareil meurt, ton pilote est mort ?!
Ou y a une subtilité à laquelle j'ai pas pensé ?(ce n'est par ironique, j'y connais que dalle en coucou)
Cette anecdote a déjà été publié le 11 février 2014!