Passée l'enfance, l'espérance de vie était assez élevée dès le Moyen Âge

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Bien que l’espérance de vie fut basse au Moyen Âge, il n’était pas si rare de rencontrer des septuagénaires. En effet, si la mortalité infantile était élevée, ce qui explique une espérance de vie moyenne basse, l'espérance de vie une fois arrivé à l'âge adulte était relativement élevée. Par exemple, elle était de 64 ans pour un homme issu de l'aristocratie et ayant atteint les 21 ans dans l'Angleterre médiévale du XIIIe au début du XVIIIe siècle.


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a écrit : La maladie, le manque d'hygiène, de confort, pas de medecin , on attendait que ca passe et on survivait ou on mourrait
Les infections etaient mortelles pas d'antibiotiques
Et la vie des enfants avaient pas la meme valeur que maintenant
On pouvait toujours en faire un autre
Il y avai
t pas de contraception
C'est le 20 eme siecle qui a " inventé " que les enfants etaient la prunelle de nos yeux
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Les vaccins aussi. Une bonne part des virus contre lesquels ont est vacciné son plutôt grave pour un adulte mais encore plus pour un nourrisson : rougeole, rubéoles, oreillons, etc...
Toutes les maladies liées à l'eau et aux insectes qui les propagent aussi. D'ailleurs, au Moyen-age, on boit peu d'eau, considéréesouvent comme nocive. On lui préfére le vin (enfin, la plaquette plutôt) et surtout la bière ou le cidre.

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android

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a écrit : La maladie, le manque d'hygiène, de confort, pas de medecin , on attendait que ca passe et on survivait ou on mourrait
Les infections etaient mortelles pas d'antibiotiques
Et la vie des enfants avaient pas la meme valeur que maintenant
On pouvait toujours en faire un autre
Il y avai
t pas de contraception
C'est le 20 eme siecle qui a " inventé " que les enfants etaient la prunelle de nos yeux
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La dernière phrase me fait tiquer un peu: certes le concept d’enfant-roi est une réalité typiquement de la 2ème moitié du 20eme siècle; si effectivement la contraception n’existait pas vraiment au Moyen-age (on connaissait qq astuces pour empêcher une grossesse d’arriver à terme, parfois efficaces, bien souvent nocifs pour l’enfant autant que la maman), les parents avaient quand même de l’affection pour leur progéniture, là encore pas attendu comme de nos jours. Elisabeth Badinter notamment explique très bien cette réalité familiale depuis le MA me semble-t-il!