Pas de gâteau d'anniversaire au Moyen-Age

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a écrit : Ce n'est pas pour rien si les historiens qualifient cette période de l'histoire comme noire. L'ignorance de ces gens est un néant intellectuel, un trou noir. D'ailleurs le siècle des Lumières qui suivie fût appelé ainsi pour établir un paradoxe entre le savoir des philosophes et l'ignorance du Moyen-Âge. On parle de période sombre de l'histoire quand on manque de documents écrits de l'époque. Dans le cas du Moyen-Âge, cela en concerne environ la moitié.
Pour ce qui est du reste... Les philosophes et grands penseurs ne sont pas subitement apparus vers les Lumières, tu sais. Et j'ai du mal à me figurer des ignorants d'un "néant intellectuel", comme tu le prétends avec beaucoup d'imagination, construire des cathédrales, créer les universités et débattre sur Aristote ou Platon, comme le faisaient les érudits de l'époque...

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Mais n'importe quoi ! Il y a même des fêtes d'anniversaire dans la Bible. Les premières années, on offrait des icônes du saint patron ayant la taille de l'enfant le jour de son anniversaire. Il y a juste que l'Église n'approuvait pas les rites magiques qui étaient liés à cette date.

a écrit : Mais n'importe quoi ! Il y a même des fêtes d'anniversaire dans la Bible. Les premières années, on offrait des icônes du saint patron ayant la taille de l'enfant le jour de son anniversaire. Il y a juste que l'Église n'approuvait pas les rites magiques qui étaient liés à cette date. Tu as juste reformulé le contenu de l'anecdote à ta sauce, relis bien ;).

L'anecdote ne dit pas que ça n'est pas dans la Bible, mais que l'Eglise y était opposée.

a écrit : Tu as juste reformulé le contenu de l'anecdote à ta sauce, relis bien ;).

L'anecdote ne dit pas que ça n'est pas dans la Bible, mais que l'Eglise y était opposée.
Ouais... L'anecdote dit aussi "au Moyen-Âge", soit, si on l'interprète littéralement, une période de mille ans...

a écrit : Ouais... L'anecdote dit aussi "au Moyen-Âge", soit, si on l'interprète littéralement, une période de mille ans... Et donc ?

a écrit : Et donc ? Et donc, selon l'époque du Moyen-Âge à laquelle gglatrouille fait référence, il est tout à fait possible que l'Église n'y ait pas été opposée à ce moment.

a écrit : Et donc, selon l'époque du Moyen-Âge à laquelle gglatrouille fait référence, il est tout à fait possible que l'Église n'y ait pas été opposée à ce moment. C'est ton hypothèse, c'est possible, mais à ce moment, évite de dire que c'est faux sans rien apporter d'autre : pourquoi ne pas enrichir les commentaires avec des informations qui permettent d'appuyer ce que tu dis ?

L'anecdote apporte des sources pour appuyer le contenu de l'anecdote, les as-tu consultées ?

a écrit : C'est ton hypothèse, c'est possible, mais à ce moment, évite de dire que c'est faux sans rien apporter d'autre : pourquoi ne pas enrichir les commentaires avec des informations qui permettent d'appuyer ce que tu dis ?

L'anecdote apporte des sources pour appuyer le contenu de l'anecdote, les as-tu consultées ?
Que c'est faux? J'ai l'impression que tu reformules mon commentaire à ta sauce... Si j'ai réagi, c'est bien parce que gglatrouille semblait respecter l'anecdote sur le fond et y apporter un complément, et tu le reprenais sur la forme.

J'ai en effet consulté les sources écrites, et, si j'ai bien trouvé les références à l'Église en général, je n'ai pas vu la spécification des traditions païennes "aux yeux du Pape".
Remarque de plus que, selon les sources écrites, l'Église n'approuvait pas cette pratique, mais il n'est pas dit qu'elle l'avait interdite.
La limitation de caractères en est-elle la cause, ou est-ce mentionné dans la source orale?

a écrit : Que c'est faux? J'ai l'impression que tu reformules mon commentaire à ta sauce... Si j'ai réagi, c'est bien parce que gglatrouille semblait respecter l'anecdote sur le fond et y apporter un complément, et tu le reprenais sur la forme.

J'ai en effet consulté les sources éc
rites, et, si j'ai bien trouvé les références à l'Église en général, je n'ai pas vu la spécification des traditions païennes "aux yeux du Pape".
Remarque de plus que, selon les sources écrites, l'Église n'approuvait pas cette pratique, mais il n'est pas dit qu'elle l'avait interdite.
La limitation de caractères en est-elle la cause, ou est-ce mentionné dans la source orale?
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J'ai fait l'erreur de ne pas vérifier que c'était bien glatrouille qui me répondait, c'est une erreur et je m'en excuse.

La teneur de mon commentaire initial était de lui rappeler que ce qu'il corrigeait était pourtant conforme à l'anecdote.

Concernant la période du Moyen Âge, l'anecdote mentionne cette période, les sources sont aussi assez larges sur l'intervalle, mais je n'ai pas compris que l'anecdote désignait la période complète, simplement que cela s'est passé durant le Moyen Âge.

De mon point de vue, la référence au Pape est utilisée comme figure stylistique, comme personnification de l'Eglise, pour éviter la répétition. Et je ne peux pas croire que l'Eglise ait réprouvé les anniversaires sans l'aval du Pape ;).

a écrit : Tout comme Noël, il me semble. A la base le 25 décembre était une fête païenne marquant le solstice d'hiver. L'Eglise a décider de choisir cette date pour imposer sa culture et effacer des esprits cette fête. D'ailleurs, il me semble que Jésus n'est même pas né le 25 mais quelques jours avant. En fait, on ne sait pas exactement lorsqu'il est né... Si je me souvient bien de mes cours de cathé (ça remonte) elle est mentionné nulle part et donc le 25 décembre à été désigné par défaut pour pouvoir commencer la nouvelle année avec la naissance du Christ. Si je ne dit pas de bêtises bien sure.