Hélicoptère et autorotation

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Un hélicoptère ayant une panne moteur en vol ne s'écrase pas pour autant systématiquement : il peut se poser en ce que l'on appelle autorotation. En effet, lors de la chute, l'air fait tourner les pâles, ce qui donne une portance suffisante à l'appareil pour atterrir rapidement. Cette technique est apprise aux pilotes d'hélicoptères pour parer aux situations d'urgence.

Le pilote effectue d'abord un piqué afin que les pâles prennent de la vitesse puis cabre l'appareil lors de l'atterrissage afin de freiner le rotor et permettre un atterrissage pas trop brutal. Toutefois, elle nécessite d'être à une altitude minimale d'environ 100 mètres pour effectuer la manoeuvre.


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a écrit : Un hélicoptère russe il me semble avait travaillé sur un projet de cabine éjectable si quelqun à plus d'infos Cest le ka-50 ( une 10aine dexemplaires ). Lors de l'ejection, les pales sont d'abord ejecter du rotor avant lexpulsion du pilote

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iphone

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Bjr
Il ne faut pas oublier de mettre du pied à droite pour maintenir l'appareil en ligne droite sinon c'est tourbillon.
Panne :
Pas en bas
Pied a droite
Contrôle des tour
Recherche de zone de posée libre d'obstacles
Selon l'altitude on peut virer à droite ou gauche voir faire un 360 degrés pour rester dans un zone plus en dessous de l'appareil
À l'approche du sol et la les exercices permettent de savoir juger, on tire sur le manche vers soi et en même temps on tire sur le pas et on joue avec les pieds pour rester dans l'axe
On revient à plat avec le manche et en jouant avec les pieds et le pas on se pose soit sur place ou en glissant, cela dépeint de l'état du terrain
Puis on remercie dieu et son instructeur...

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iphone

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a écrit : Mais le rotor arrière lui ne peut plus assurer la stabilité de l'appareil ? Il devrais commencer a tourner sur lui même ?? non car le rotor de queue et le rotor principal sont relié par une gearbox, alors si le principal tourne, celui de queue tournera aussi

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android

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a écrit : Je suis pilote professionnel d'helico.

La premiere chose a rectifier est qu'effectivement les pales du rotor principal ne continuent pas de tourner grace a leurs inertie mais grace aux zones autorotative sur une zone de la pale qui va creer une composant de forces vers l'avant de la pale et
donc continuer de faire tourner le rotor principal. Il y a egalement une zone appellée anti-autorotative moins importante qui va freiner le rotor et donc le stabiliser si le rotor est bien regler a une certaine vitesse de rotation donné.

L'anticouple lui continue effectivement de tourner puisque relié par boites de transmission a l'arriere. Mais il ne sert plus a grd chose durant la descente du moins, puisque plus de couple de renversement contre lequel lutter car plus de moteur.

L'autorotation est possible grace a un systeme de roue libre dont le pilote verifie l'efficacité avant chaque décollage en diminuant rapidement les gaz au sol et en verifiant ainsi la désynchronisation effective des tours rotor et moteur.

D'autre part la technique d'autorotation a ete demontrée que pour un certain diagramme hauteur/vitesse que le pilote se doit de respecter au mieux au decollage comme a l'atterrissage c'est pourquoi contrairement a une idee repandu l'helicoptere suit la piste ou le taxiway en prenant de la vitesse sur un aeroport et ne decolle pas a la verticale comme on voit dans les films.

Pour rentrer en autorotation le pilote a une seconde pour reagir et baisser le pas general ce qui va permettre de diminuer la resistance des pales et rentrer dans la configuration decrite plus haut
Il veillera ainsi a maintenir les tours rotors dans le vert, de prendre une vitesse adaptée 65kt en r22 et 70kt en r44 puis de trouver un point de posé.
Il executera alors ce qu'on appelle le flare en mettant du cyclique en arriere afin de diminuer la forte vitesse verticale 1850ft min en r22 et horizontale. Puis remise a plat et soutien au pas general jusqu'arrivé sur le sol en glissant avant que les tour ne s'effondrent.

Apres il faut savoir que l'entrainement a l'autorotation ne se fait que pour les monomoteurs.

Et qu'a ma connaissance il n'y a jamais eu de panne moteur chez robinson par exemple ( givrage carbu, et d'autres problemes oui ) mais donc pas du a un defaut direct du moteur qui entraine l'arret

Et que la plupart des accidents d'helico sont dus a une faute du pilote ( comme dans le reste de l'aeronautique d'ailleur ) et non a un probleme de fiabilité de l'helico. Et beaucoup ont lieu en instruction notament lors de simulation de panne.

Voila ^^
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grâce aux "constructeurs de l'extrême" j'ai appris que les hélicoptères ultra performant comme ceux utilisés dans les sauvetages en mer ou montagne ont toutes les pièces du moteur doublées, en cas de panne de la première l'autre prend le relais (si mes souvenirs me font pas défaut). C'est ainsi pour tous ou seulement les plus performants?

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android

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a écrit : Mais le rotor arrière lui ne peut plus assurer la stabilité de l'appareil ? Il devrais commencer a tourner sur lui même ?? Le rotor principal est en quelque sorte relié au retor de queue donc aucun risque

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android

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@D3voreur, Le rotor arrière est mécaniquement relié au principal; quand l'appareil pique pour faire prendre de la vitesse au rotor principale, le rotor arrière est lui aussi accélèré

J'aimerai qd même pas être dans l avion .

a écrit : Y a pas de siège éjectable??? ; ) Ahah surement mais vaut mieux prevoir le parachute qui va avec ;)

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android

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a écrit : @ D3voreur, le RAC (Rotor Anti-Couple) et le rotor principal sont "liés", si l'un tourne, l'autre tourne également, donc en cas de panne "moteur" aucun risque que l'hélicoptère ne tourne sur lui-même... Quand il y a une autorotation, le rotor anti-couple se met au neutre, car il n' y a plus de couple, ou treeeeeees minime, dû à la trainée du rotor et du contact entre les piece. Le rotor tournr donc dans le vide, mais peut toujours être controlé par le pilote( gauche-droite) ;)

a écrit : Je suis pilote professionnel d'helico.

La premiere chose a rectifier est qu'effectivement les pales du rotor principal ne continuent pas de tourner grace a leurs inertie mais grace aux zones autorotative sur une zone de la pale qui va creer une composant de forces vers l'avant de la pale et
donc continuer de faire tourner le rotor principal. Il y a egalement une zone appellée anti-autorotative moins importante qui va freiner le rotor et donc le stabiliser si le rotor est bien regler a une certaine vitesse de rotation donné.

L'anticouple lui continue effectivement de tourner puisque relié par boites de transmission a l'arriere. Mais il ne sert plus a grd chose durant la descente du moins, puisque plus de couple de renversement contre lequel lutter car plus de moteur.

L'autorotation est possible grace a un systeme de roue libre dont le pilote verifie l'efficacité avant chaque décollage en diminuant rapidement les gaz au sol et en verifiant ainsi la désynchronisation effective des tours rotor et moteur.

D'autre part la technique d'autorotation a ete demontrée que pour un certain diagramme hauteur/vitesse que le pilote se doit de respecter au mieux au decollage comme a l'atterrissage c'est pourquoi contrairement a une idee repandu l'helicoptere suit la piste ou le taxiway en prenant de la vitesse sur un aeroport et ne decolle pas a la verticale comme on voit dans les films.

Pour rentrer en autorotation le pilote a une seconde pour reagir et baisser le pas general ce qui va permettre de diminuer la resistance des pales et rentrer dans la configuration decrite plus haut
Il veillera ainsi a maintenir les tours rotors dans le vert, de prendre une vitesse adaptée 65kt en r22 et 70kt en r44 puis de trouver un point de posé.
Il executera alors ce qu'on appelle le flare en mettant du cyclique en arriere afin de diminuer la forte vitesse verticale 1850ft min en r22 et horizontale. Puis remise a plat et soutien au pas general jusqu'arrivé sur le sol en glissant avant que les tour ne s'effondrent.

Apres il faut savoir que l'entrainement a l'autorotation ne se fait que pour les monomoteurs.

Et qu'a ma connaissance il n'y a jamais eu de panne moteur chez robinson par exemple ( givrage carbu, et d'autres problemes oui ) mais donc pas du a un defaut direct du moteur qui entraine l'arret

Et que la plupart des accidents d'helico sont dus a une faute du pilote ( comme dans le reste de l'aeronautique d'ailleur ) et non a un probleme de fiabilité de l'helico. Et beaucoup ont lieu en instruction notament lors de simulation de panne.

Voila ^^
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Je sais pas si c'est juste moi ou si ce que t'as marqué est incompréhensible à moins d'avoir un bac +5 en aéronautique...

a écrit : @ D3voreur, le RAC (Rotor Anti-Couple) et le rotor principal sont "liés", si l'un tourne, l'autre tourne également, donc en cas de panne "moteur" aucun risque que l'hélicoptère ne tourne sur lui-même... Ouai,j'avoue les films américains c'est des grosses conneries !

a écrit : Y a pas de siège éjectable??? ; ) Franchement se serait une dépense en trop parce que l'hélicoptère est l'un des véhicule ayant le moins d'accident (rectifier moi si je me trompe)

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android

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a écrit : Y a pas de siège éjectable??? ; ) Si il y a un siège éjectable ,tu auras un carpaccio de pilote en cas d ejection ,à moin que sa se fasse sur le côté ...

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a écrit : J'aimerai qd même pas être dans l avion . C'est un hélicoptère

Exact le frère d'un ami a passé le concours de pilote d'hélicoptère dans l'armée. Et pendant les cours de pilotage le moniteur lui arrete carrement tout. Mais il ma dit qu'on tombe "assez" vite. Mais il ne ressente qu'une legere secousse. Car les appareils sont vachement bien amortis entre le siege et les pieds de l'appareil. Mais ca doit faire peur la première fois où le moniteur dis bon allez on coupe tout poses toi :)

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a écrit : Je suis pilote professionnel d'helico.

La premiere chose a rectifier est qu'effectivement les pales du rotor principal ne continuent pas de tourner grace a leurs inertie mais grace aux zones autorotative sur une zone de la pale qui va creer une composant de forces vers l'avant de la pale et
donc continuer de faire tourner le rotor principal. Il y a egalement une zone appellée anti-autorotative moins importante qui va freiner le rotor et donc le stabiliser si le rotor est bien regler a une certaine vitesse de rotation donné.

L'anticouple lui continue effectivement de tourner puisque relié par boites de transmission a l'arriere. Mais il ne sert plus a grd chose durant la descente du moins, puisque plus de couple de renversement contre lequel lutter car plus de moteur.

L'autorotation est possible grace a un systeme de roue libre dont le pilote verifie l'efficacité avant chaque décollage en diminuant rapidement les gaz au sol et en verifiant ainsi la désynchronisation effective des tours rotor et moteur.

D'autre part la technique d'autorotation a ete demontrée que pour un certain diagramme hauteur/vitesse que le pilote se doit de respecter au mieux au decollage comme a l'atterrissage c'est pourquoi contrairement a une idee repandu l'helicoptere suit la piste ou le taxiway en prenant de la vitesse sur un aeroport et ne decolle pas a la verticale comme on voit dans les films.

Pour rentrer en autorotation le pilote a une seconde pour reagir et baisser le pas general ce qui va permettre de diminuer la resistance des pales et rentrer dans la configuration decrite plus haut
Il veillera ainsi a maintenir les tours rotors dans le vert, de prendre une vitesse adaptée 65kt en r22 et 70kt en r44 puis de trouver un point de posé.
Il executera alors ce qu'on appelle le flare en mettant du cyclique en arriere afin de diminuer la forte vitesse verticale 1850ft min en r22 et horizontale. Puis remise a plat et soutien au pas general jusqu'arrivé sur le sol en glissant avant que les tour ne s'effondrent.

Apres il faut savoir que l'entrainement a l'autorotation ne se fait que pour les monomoteurs.

Et qu'a ma connaissance il n'y a jamais eu de panne moteur chez robinson par exemple ( givrage carbu, et d'autres problemes oui ) mais donc pas du a un defaut direct du moteur qui entraine l'arret

Et que la plupart des accidents d'helico sont dus a une faute du pilote ( comme dans le reste de l'aeronautique d'ailleur ) et non a un probleme de fiabilité de l'helico. Et beaucoup ont lieu en instruction notament lors de simulation de panne.

Voila ^^
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Ah ouai toi tu sais de quoi tu parles...tu as carrément la notice d'utilisation dans la tête toi!^^

C'est à l'invention de Raúl Pateras Pescara, le rotor debraillable que l'on doit ça. Cette technique à un nom que j'ai oublié. Lors d'une panne on debraille le rotor et celui étant libéré de ces contraintes peut donc tourner pendant la chute de l'hélicoptère et ralentir ça chute.

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a écrit : Si il y a un siège éjectable ,tu auras un carpaccio de pilote en cas d ejection ,à moin que sa se fasse sur le côté ... Il existe des sièges éjectable dans certains hélicoptère. Fait une recherche sur SCMB, tape hélicoptère et c'est la deuxième ou troisième anecdote.

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