En France, on évite de servir une bière avec trop de mousse, mais en République Tchèque, cela peut être l'inverse. On peut en effet y boire un "Mlíko" ("lait" en français), un verre qui ne contient quasiment que de la mousse, qui doit être la plus épaisse et la plus crémeuse possible.
Pour faire un "Mlíko", la bière est servie en ouvrant le robinet à moitié seulement.
Commentaires préférés (3)
Il faut faire très attention, car la mousse tache !
Et oui !!! Nous sommes partout...
Ok!!! ==============>[ ] Clac !
En France, la mousse qui chapeaute la bière est appelée "faux-col" (par analogie avec le faux col blanc des curés). L'art de son service réside dans le remplissage du verre à la mesure (vanne ouverte au taquet, bec contre la paroi du verre) avant de le couvrir de quelques centimètres de mousse (bec au-dessus du contenant vanne mi ouverte). Cela demande une petite dextérité qui distingue le bon barman du néophyte.
Lorsqu'il s'agit d'une autre boisson, le faux col désigne la partie vide du contenant une fois rempli par le barman. Un verre rempli sans faux col (à marée haute) est donc un verre rempli à ras-bord.
Pour en revenir à la bière, lorsque le verre qu'elle remplit est exempt de mousse, il est possible de créer ce faux col en touillant vivement la boisson pour la doté d'un petit col qui la rend plus présentable - quand on me commandait x bière de telle type et que je me trompais sur la commande (quantité ou type) et me retrouvais avec un verre sur les bras, je le réservais a côté de la tireuse et pouvais le servir une poignée de minutes en suivant en me rendant ainsi présentable. Petite technique de mon auvergnat de patron de l'époque ;D
Le plus difficile au début étant de ne pas servir un verre au trois quart rempli de mousse - ce qui arrive quand on ne sait pas bien servir (ou que la pression de la tireuse est mal réglée, ou que les verres sont mal lavés/essuyés - les aspérités favorisant l'apparition des bulles).
Souvenirs ému de mes années derrière les comptoirs :)
Tous les commentaires (32)
Il faut faire très attention, car la mousse tache !
Un vrai barman saura qu'une biere se sert au minimum avec quelques centimètres de mousse. Cela permet d'empecher l'oxydation qui finit par donner un vieux gout dégueu à la bière.
Après ça sert à rien si on boit sa bière en 5 min.
Je ne comprendrai jamais comment on peut aimer l’amertume, que ce soit dans les alcools ou dans certains aliments. Si quelqu’un peut m’expliquer ?
Et oui !!! Nous sommes partout...
Ok!!! ==============>[ ] Clac !
En France, la mousse qui chapeaute la bière est appelée "faux-col" (par analogie avec le faux col blanc des curés). L'art de son service réside dans le remplissage du verre à la mesure (vanne ouverte au taquet, bec contre la paroi du verre) avant de le couvrir de quelques centimètres de mousse (bec au-dessus du contenant vanne mi ouverte). Cela demande une petite dextérité qui distingue le bon barman du néophyte.
Lorsqu'il s'agit d'une autre boisson, le faux col désigne la partie vide du contenant une fois rempli par le barman. Un verre rempli sans faux col (à marée haute) est donc un verre rempli à ras-bord.
Pour en revenir à la bière, lorsque le verre qu'elle remplit est exempt de mousse, il est possible de créer ce faux col en touillant vivement la boisson pour la doté d'un petit col qui la rend plus présentable - quand on me commandait x bière de telle type et que je me trompais sur la commande (quantité ou type) et me retrouvais avec un verre sur les bras, je le réservais a côté de la tireuse et pouvais le servir une poignée de minutes en suivant en me rendant ainsi présentable. Petite technique de mon auvergnat de patron de l'époque ;D
Le plus difficile au début étant de ne pas servir un verre au trois quart rempli de mousse - ce qui arrive quand on ne sait pas bien servir (ou que la pression de la tireuse est mal réglée, ou que les verres sont mal lavés/essuyés - les aspérités favorisant l'apparition des bulles).
Souvenirs ému de mes années derrière les comptoirs :)
Tu n’aimes pas l’amertume, explique nous pourquoi.
Et c'est la pression sociale qui fait qu'on en reprend jusqu'à s' accoutumer.
Combien sommes nous, ici, à penser à la délicieuse chèvre ?
fr.m.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A8vre_(boisson)
youtu.be/y1czclq8ztI
Au départ je me posais la même question à propos de l'amertume (de la bière). J'ai commencé par du panaché puis de la bière aromatisé (despé etc....). Puis au bal ou au travail ou après un déménagement il y avait que de la ''bière de chantier'' HK ou Piles diverses....
On finit par s y habituer. Sans dire pression social on fini par s y habituer/accoutumer.
Pareil pour la café, au travail tout le monde en buvait. Je mettais 2 sucres pour boire. Je ne comprenais pas comment on pouvait le boire sans sucre. Et une fois qu on a franchi le pas... Le retour en arrière est impossible. Le sucre dans le café je le sens tout de suite et c'est imbuvable!
Après pour le câpre. Ça ce mange avec parcimonie mais j avoue que ce n est pas mon fort. Et l endive avec une bonne sauce yaourt vinaigre ça passe aussi.
Pour le piment même procédé... pression social? Ça part avec des défis lorsqu on est jeune pour mettre de la sauce piment sur la pizza, puis à croquer dans le pili pili ou piment de Cayenne. Et on finit par adorer ça.
Maintenant je mets du Tabasco même sur les pâtes, j ai fini par adorr le ''piquant''.
Comme dirait Eric et Ramzy: ''nous ne voyons pas d autres explications''
Personnellement j'aime les 'jolies' amertumes. J'ai commencé le café très jeune (6ans) et j'adore ça. Mais je bois uniquement les bons arabica (le robusta est ignoble pour moi, et je n'en bois que par politesse ou si je n'ai que ça sous la main et que je suis en manque de caféine --> sinon migraine...).
Globalement je trouve qu'il y a plus de nuances gustatives dans l'amertume que dans les autres goûts. Ce qui fait qu'on peut très bien tomber sur des trucs immangeables (souvenir d'un cake aux oranges et aux carottes à vomir) que sur des merveilleux (la simple huile d'olive de ce midi avait une amertume excellente !).
Heureusement qu'on sait passer outre la première impression ou sensation.