En 1990, Coca Cola mena une campagne de promotion laborieuse : MagiCan. Des milliers de prix (dont parfois de l'argent) furent dissimulés dans des canettes, au niveau de l'ouverture avec un mécanisme à ressort. Les canettes gagnantes étaient remplies dans un compartiment par de l'eau chlorée.
Divers problèmes techniques (mécanisme ne fonctionnant pas, compartiment non étanche) conduisirent à la fin de l'opération.
Commentaires préférés (3)
Imprimer un code gagnant sur le revêtement intérieur d'une cannette de soda pose plusieurs problèmes d'innocuité et de sécurité alimentaire. Ça obligerait les consommateurs à couper la cannette pour accéder au code, risquant des blessures avec les bords tranchants de la cannette ouverte.
De plus, le revêtement intérieur d'une cannette (vernis grade alimentaire) doit être, lors du conditionnement, libre de tout contaminant. L'encre utilisée pour l'impression pourrait contaminer la boisson, posant un risque pour la santé.
Cela pourrait nuire à l'image de marque en termes de responsabilité et de souci de la santé des consommateurs.
Tous les commentaires (12)
L'idée n'est pas mauvaise, mais j'ai mieux.
Je ne le dirai pas parce que je suis contre la surconsommation mais je sais comment gonfler les ventes de Coca, où autres.
Hein?
Bon d'accord.
Il suffit de mettre un code au fond de la boite en métal, c'est un peu comme un jeu à gratter... mais faut vider la boîte.
Imprimer un code gagnant sur le revêtement intérieur d'une cannette de soda pose plusieurs problèmes d'innocuité et de sécurité alimentaire. Ça obligerait les consommateurs à couper la cannette pour accéder au code, risquant des blessures avec les bords tranchants de la cannette ouverte.
De plus, le revêtement intérieur d'une cannette (vernis grade alimentaire) doit être, lors du conditionnement, libre de tout contaminant. L'encre utilisée pour l'impression pourrait contaminer la boisson, posant un risque pour la santé.
Cela pourrait nuire à l'image de marque en termes de responsabilité et de souci de la santé des consommateurs.
C'est donc plus un problème humain que technique...