Ce n'est pas la taille qui compte : le cerveau des hommes est en moyenne 10% plus lourd que celui des femmes (1,350 kg pour les hommes contre 1,200 kg chez les femmes). Cela n'a aucun impact sur les capacités cognitives qui restent identiques entre les sexes.
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Heureusement, sinon nous vivrions sous la dictature des baleines qui seraient en guerre contre les hippopotames et qui auraient conquis la planète Mars
Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), ....
Les différences dont tu parles sont réelles, mais il est largement admis et démontré que ces différences sexuées ne sont pas innées mais sont dues à la plasticité du cerveau, autrement dit ces différences sont le fruit d'un apprentissage ET d'un conditionnement.
On demande par exemple aux filles d'être plus soignées que les hommes donc elles le sont.
On demande davantage aux filles de soigner leur langage (le fameux: "ouh là, ce n'est pas beau dans la bouche d'une fille ça !"), donc elles ont un meilleur contrôle de leurs fonctions langagières.
On confie aux hommes le soin de conduire les groupes (à pied, en voiture, avec ou sans carte...), donc leur mémoire spatiale et leur sens de l'orientation sont plus aiguisés.
On apprend également aussi aux filles à faire plusieurs choses en même temps dès le plus jeune âge, car c'est le propre d'une bonne maîtresse de maison de penser à tout et de tout planifier: la fameuse charge mentale. Mais les hommes en seraient également tout à fait capables si on les conditionnaient à la faire durant l'enfance.
Dès la naissance on conditionne nos enfants, des études ont par exemple démontré que les parents berçaient les bébés garçons, jouaient avec eux, de façon plus dynamiques, avec des mouvements plus brusques et plus rapides qu'avec les bébés filles.
C'est comme si tu nous disais que les chauffeurs de taxis ont une mémoire spatiale supérieure à la moyenne, c'est tout à fait vrai, mais parce qu'ils se trouvés dans l'obligation de développer ces compétences.
Tes remarques peuvent aussi faire écho aux théories racialistes qui affirment que les Afro-Américains ont un QI inférieur aux Blancs d'Amérique. Là encore c'est vrai. Mais les études ont démontré que si l'on s'intéressait à d'autres variables que l'ethnie (comme par exemple le nombre de livres à la maison, l'usage de châtiments corporels durant l'enfance, ou encore le niveau de sécurité de la zone résidentielle), la variable "ethnie" n'a plus d'influence mesurable sur le QI et les résultats scolaires. D'ailleurs les études sur les enfants noirs adoptés vont aussi dans ce sens.
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Heureusement, sinon nous vivrions sous la dictature des baleines qui seraient en guerre contre les hippopotames et qui auraient conquis la planète Mars
Il faut vraiment arrêter avec la sacro-sainte "égalité entre les sexes". Il existe des différences génétiques et phylogénétiques responsables de différences physiques (taille mesurable du cerveau) et cognitives (capacités intellectuelles mesurables). C'est valable entre les sexes, et entre les différentes régions du monde. Par exemple, les femmes présentent des avantages en fluence verbale, en vitesse de perception, en précision et en motricité fine, tandis que les hommes surpassent les femmes en capacités spatiales, de mémoire de travail et mathématiques. S'il s'agit de tendances générales. A vouloir toujours fermer les yeux sur tout, on passe à côté de potentiels exceptionnels. Par exemple, il a été prouvé que pour maximiser l'apprentissage d'une population donnée, l'idéal est de faire des groupes de niveau. Aujourd'hui, on fait tout l'inverse avec les mélanges de niveau, l'inclusion des élèves "difficiles" (même assistés d'une AVS), ....
scientifiques, ce qui est probablement dû à un gros biais social.
Le plus grand nombre de grands mathématiciens hommes est donc un effet de l'éducation genrée et de l'effet Mathilda (parce que la plupart des grandes mathématiciennes ont été totalement effacées de l'histoire).
Je suis d'accord sur le fait qu'il existe des différences hommes-femmes (nettement moins marquées cela dit dans les sociétés avec une meilleure mixité). Cela dit, lorsqu'on réclame la "sacro-sainte égalité entre les sexes", on se réfère en fait à l'égalité de chances, qui elle est loin d'être acquise.
Je suis par contre totalement d'accord avec le fait que le nivellement "tout le monde dans le même moule" est une catastrophe.
Les différences dont tu parles sont réelles, mais il est largement admis et démontré que ces différences sexuées ne sont pas innées mais sont dues à la plasticité du cerveau, autrement dit ces différences sont le fruit d'un apprentissage ET d'un conditionnement.
On demande par exemple aux filles d'être plus soignées que les hommes donc elles le sont.
On demande davantage aux filles de soigner leur langage (le fameux: "ouh là, ce n'est pas beau dans la bouche d'une fille ça !"), donc elles ont un meilleur contrôle de leurs fonctions langagières.
On confie aux hommes le soin de conduire les groupes (à pied, en voiture, avec ou sans carte...), donc leur mémoire spatiale et leur sens de l'orientation sont plus aiguisés.
On apprend également aussi aux filles à faire plusieurs choses en même temps dès le plus jeune âge, car c'est le propre d'une bonne maîtresse de maison de penser à tout et de tout planifier: la fameuse charge mentale. Mais les hommes en seraient également tout à fait capables si on les conditionnaient à la faire durant l'enfance.
Dès la naissance on conditionne nos enfants, des études ont par exemple démontré que les parents berçaient les bébés garçons, jouaient avec eux, de façon plus dynamiques, avec des mouvements plus brusques et plus rapides qu'avec les bébés filles.
C'est comme si tu nous disais que les chauffeurs de taxis ont une mémoire spatiale supérieure à la moyenne, c'est tout à fait vrai, mais parce qu'ils se trouvés dans l'obligation de développer ces compétences.
Tes remarques peuvent aussi faire écho aux théories racialistes qui affirment que les Afro-Américains ont un QI inférieur aux Blancs d'Amérique. Là encore c'est vrai. Mais les études ont démontré que si l'on s'intéressait à d'autres variables que l'ethnie (comme par exemple le nombre de livres à la maison, l'usage de châtiments corporels durant l'enfance, ou encore le niveau de sécurité de la zone résidentielle), la variable "ethnie" n'a plus d'influence mesurable sur le QI et les résultats scolaires. D'ailleurs les études sur les enfants noirs adoptés vont aussi dans ce sens.
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Les différences existe dès la naissance, et sont modelées en fonction d'autres facteurs, dont certains dont du cites.
Concernant l'histoire des races et du QI. Je suis d'accord avec toi, qu'on teste des items bien spécifiques lors des épreuves d'évaluations de QI. Mais pour me faire l'avocat du diable, je peux te citer cette étude montrant que les Afro-américains adoptés par les WASP ont un QI inférieur aux WASP élevés par des WASP. Bien sûr qu'il y a d'énormes biais dans cette étude (traumatisme de l'adoption, condition de grossesse avec possiblement des abus de substance, racisme lors de l'éducation, ...).
Mais je veux simplement dire qu'il y a plein d'arguments qui doivent faire penser que "les capacités cognitives restent égales entre les sexes" est une affirmation non prouvée aujourd'hui (comme son contraire d'ailleurs), et l'affirmer relève de la pure l'idéologie.
"Pourquoi les hommes n'écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières" de Barbara et Allan Pease.
Après, à chacun de se faire son avis...
Je commence à en avoir marre de cette égalité des sexes à tout va...
Le but n'est pas de connaître toutes les variables qui ont une influence sur nos capacités cognitives, c'est bien entendu très complexe, mais simplement de savoir si le sexe a une influence sur celles-ci.
À ce sujet, tu nous dis clairement que les hommes et les femmes ne sont pas cognitivement égaux.
Pourtant dans un autre post tu nous dis qu'affirmer qu'ils sont égaux ou inégaux du point de vue cognitif correspond à une idéologie.
Je me demande donc logiquement: Quelle est donc l'idéologie que tu défends ?
Effectivement, ce n'est pas la taille qui compte puisqu'ici on parle de poids (masse).
Donc sans preuve, la réponse n'existe pas, et cela révèle de l'idéologie.
Je partage que homme et femmes sont bien différents et c'est cela qui est bien...et je ne parle pas de personnes soumises l'une à l'autre mais sur une égalité de droit...Cette différence, combinée a notre reproduction sexué est un défit de tout les jours...alors amusons nous! Par contre je suis pour une discrimination positive envers les femmes ( qui l'acceptent) car de manière générale les femmes sont loin de voir leurs droits respectés.
Toute théorie, tant qu'elle fonctionne, est valide mais est amenée à être remplacée par une théorie qui fonctionnera encore mieux.
Et au contraire, je crois que dire je ne sais pas, personne ne peut savoir, et aucune théorie n'est supérieure à une autre est une idéologie. Et même une idéologie dangereuse qu'on appelle le relativisme: puisque personne ne sait et que le doute est permanent, chacun a le droit légitime de se construire sa vérité, à la manière des complotistes.
Mais dis voir, tu as jeté un coup d’œil au contenu avant de tout balancer ? Parce qu’il y en a parmi ça qui disent qu’il n’y a fonctionnellement aucune différence homme-femme (même si les mécanismes sous-jacents peuvent être différents) donc ça contredit un peu ce qui tu essaie de prouver, non ?
C'est beau la moyenne... Mais je pense que ce poids a l'importance lorsque l'on voit les femmes derrière un volant de voiture...
Vu que les femmes ont moins d'accidents que les hommes il semblerait qu'un cerveau plus lourd mène a plus d'accidents si on suit ta logique ;)