L'eau de mer contient 35 grammes de sel par kilogramme d'eau de mer en moyenne, ce qui fait approximativement 48 millions de milliards de tonnes de sel en tout. Si l'on étalait ce sel à la surface des terres émergées, on obtiendrait une couche de plus de 166 mètres de hauteur, avec 320 tonnes de sel par m².
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La source? Ca fait belle lurette qu'elle est tarie. Et si elle ne l'est pas, ca va pas tarder. Z'inquiétez pas, on y travaille...
Je t'agresse pas hein, mais là, je sens que tu voulais dire quelquchose d'important, probablement la même chose que j'ai dit, mais va falloir faire un peu de rangement, là, parce que c'est un peu le bordel. :)
Il pleut, l'eau s'infiltre, la pression monte dans les nappes phréatiques, l'excès de pression se décharge en surface dans ce qu'on appelle communément des sources. Les nappes phréatiques sont les sources des sources. Tu tapes l'eau à la source des sources par pompage, y a plus d'excès de pression, l'eau monte plus, les sources de surface se tarissent.
P.S. un forage avec une pompe, c'est pas une source, c'est un forage avec une pompe.
Une nappe libre (dont tu parles) est coiffée d'une zone poreuse non saturée (zone vadose) qui se charge d'eau au gré des précipitations et se vide par ruissellement ou pompage de la nappe qu'elle coiffe. Les zones basses (la nappe phréatique, saturée d'eau) subissent la pression de l'eau de la zone vadose. Au sein de la zone vadose la pression peut-être telle qu'une portion de l'eau initialement libre de ruisseler se lie à la roche poreuse et s'immobilise sous une pression allant jusqu'à 10.000 bars pouvant amener la densité de l'eau à 1.5.
Et pour ce qui est des nappes captives prisonnières sous une couche imperméable, elles sont définitivement sous pression et peuvent donner naissance à des sources artésiennes d'où l'eau jaillit naturellement.
Quand à l'eau minérale, elle vient d'une seule source mais n'est pas captée à la source, mais par forage et pompage.
Tu voulais dire quoi, déjà? Que je comprends pas les mots? T'est gonflé, mec, mais pas au gaz de la source
-Secouez-moi, sinon, la pulpe, elle reste en bas.