Justin Lin, le réalisateur du troisième opus de "Fast and Furious", dont l'action se déroule à Tokyo, n'a jamais obtenu l'autorisation de tourner sur le célèbre carrefour de Shibuya. Le studio engagea à son insu un figurant qui se fit passer pour lui lorsque la police se présenta le jour du tournage. Le figurant passa une nuit en prison à la place du réalisateur et les scènes furent bel et bien tournées.
Commentaires préférés (3)
Dans le même genre, il y a la course poursuite dans french connection. Ces anecdotes sont intéressantes mais posent des questions.
Le réalisateur enfreint la loi mais peu au final conservé les images et se faire de l'argent dessus. Au final, pourquoi faire des lois et pourquoi les respecter ?
C'est gonflé, j'adore! :)
J'avais compris que c'était à l'insu du figurant qui ne savait pas qu'il serait arrêté, mais, après lecture d'une source, c'est à l'insu du réalisateur : le studio Universal avait anticipé les problèmes qui allaient se produire sur le tournage et avait engagé à cet effet, à l'insu du réalisateur, une personne qui devait se présenter comme étant le réalisateur si la police venait l'arrêter, pour que le vrai réalisateur ne soit pas inquiété !
D'autre part, dans cette source, le réalisateur raconte que le tournage a été possible parce que la police japonaise est tellement polie qu'il leur a fallu 10 minutes pour procéder à l'interruption du tournage, ce qui a laissé au réalisateur le temps de faire ses prises de vue.
Le figurant qui devait se faire passer pour le réalisateur a donc surtout évité au réalisateur de passer une nuit en prison, ce n'est pas ce qui a permis le tournage.
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Oula… Il faudrait peut-être revoir la formulation de l’anecdote qui est un peu bancale. Si on compte aussi le mot manquant dans l’anecdote sur les guttations, c’est une petite journée. Vous avez fait la fête hier soir ? Allez, ça ira mieux demain.
C'est l'acteur qui etait banni, ou simplement une autorisation administrative de tournage dans ce lieu ?
Dans le même genre, il y a la course poursuite dans french connection. Ces anecdotes sont intéressantes mais posent des questions.
Le réalisateur enfreint la loi mais peu au final conservé les images et se faire de l'argent dessus. Au final, pourquoi faire des lois et pourquoi les respecter ?
C'est gonflé, j'adore! :)
J'avais compris que c'était à l'insu du figurant qui ne savait pas qu'il serait arrêté, mais, après lecture d'une source, c'est à l'insu du réalisateur : le studio Universal avait anticipé les problèmes qui allaient se produire sur le tournage et avait engagé à cet effet, à l'insu du réalisateur, une personne qui devait se présenter comme étant le réalisateur si la police venait l'arrêter, pour que le vrai réalisateur ne soit pas inquiété !
D'autre part, dans cette source, le réalisateur raconte que le tournage a été possible parce que la police japonaise est tellement polie qu'il leur a fallu 10 minutes pour procéder à l'interruption du tournage, ce qui a laissé au réalisateur le temps de faire ses prises de vue.
Le figurant qui devait se faire passer pour le réalisateur a donc surtout évité au réalisateur de passer une nuit en prison, ce n'est pas ce qui a permis le tournage.
Je vous recommande de visionner le court métrage de Claude Lelouch « C’était un rendez-vous » tourné dans les rues de Paris sans aucune autorisation et en se moquant du code de la route et de toutes les règles de sécurité !
Un mec qui fait le kéké sur sa meule à 190 sur le périph et qui le poste sur YouTube a droit à une descente de police, avec garde à vue, permis qui saute, confiscation du bolide et prune géante
Un cinéaste qui fait pareil, mais en passant par UGC se ramasse palme, trophée et César
Selon que vous soyez puissant ou misérable...
www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=gallica.bnf.fr%2Fessentiels%2Ffontaine%2Ffables%2Fanimaux-malades-peste
Je n'arrive pas à remettre la main dessus mais cette anecdote existe déjà. Si jamais quelqu'un arrive à la déterrer