Les ballons de baudruche sont dangereux

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La valeur de 167,82 dB est obtenu avec un micro collé au ballon, éclaté car trop gonflé. en mettant le micro à deux mètres, on tombe à 145,84dB.
De plus, quand on parle de son que l'on entend, on mesure/affiche rarement les décibels brut, on les pondère souvent en fonction de la fréquence, notre sensibilité étant différente selon celles-ci : il y a plusieurs manières de pondérer les décibels, mais l'une des plus commune et qui est utilisé dans cette étude est la pondération A de la norme CEI 61672-1.
Ça peut paraître pointilleux comme remarque, mais en l'occurrence la différence est énorme : on est respectivement à 81,35 et 68,41 dBA.
Pour rappel, les décibels sont logarithmique, et non linéaire : en doublant le son, on ne double pas les nombre de décibels, on en ajoute juste trois.

Si on ne précise pas de quoi on parle (puissance acoustique, pression acoustique, intensité acoustique,....), ni de la distance à laquelle on mesure cette valeur alors cette données ne représente rien.

En tout cas, la source de l'étude reste intéressante. canadianaudiologist.ca/issue/volume-3-issue-6-2016/column/science-matters/

La valeur de 168 dB est une valeur PEAK SPL, c'est à dire le maximum du niveau de pression acoustique. Cette valeur a été mesuré à 0 mètre du microphone. On a fait littéralement éclaté le ballon devant le capteur. Cette valeur maximale est obtenue lorsque le ballon est gonflé jusqu'à la rupture car toute sa surface ondule et crée une énorme perturbation dans l'air autour du ballon.

Bien entendu (sans mauvais jeu de mot), le son d'un ballon qui éclate à quelques mètres de distance d'une oreille est moins fort. A 2 mètre, le son n'est déjà plus qu'à 145 dB (Peak SPL). Mais cela reste effectivement très élevé pour un objet si anodin.

Cela me rappelle les boite de bonbon métallique avec le couvercle qui se "clip" dessus (boite à bonbon sajou). Si vous prenez le couvercle et que vous le "clipper" devant votre oreille ou celle de quelqu'un, vous pouvez créer une surpression très désagréable équivalente à un bruit très fort.

Edit : tu as été plus rapide que moi mais au moins on est d'accord ^^.


Tous les commentaires (24)

La valeur de 167,82 dB est obtenu avec un micro collé au ballon, éclaté car trop gonflé. en mettant le micro à deux mètres, on tombe à 145,84dB.
De plus, quand on parle de son que l'on entend, on mesure/affiche rarement les décibels brut, on les pondère souvent en fonction de la fréquence, notre sensibilité étant différente selon celles-ci : il y a plusieurs manières de pondérer les décibels, mais l'une des plus commune et qui est utilisé dans cette étude est la pondération A de la norme CEI 61672-1.
Ça peut paraître pointilleux comme remarque, mais en l'occurrence la différence est énorme : on est respectivement à 81,35 et 68,41 dBA.
Pour rappel, les décibels sont logarithmique, et non linéaire : en doublant le son, on ne double pas les nombre de décibels, on en ajoute juste trois.

Si on ne précise pas de quoi on parle (puissance acoustique, pression acoustique, intensité acoustique,....), ni de la distance à laquelle on mesure cette valeur alors cette données ne représente rien.

En tout cas, la source de l'étude reste intéressante. canadianaudiologist.ca/issue/volume-3-issue-6-2016/column/science-matters/

La valeur de 168 dB est une valeur PEAK SPL, c'est à dire le maximum du niveau de pression acoustique. Cette valeur a été mesuré à 0 mètre du microphone. On a fait littéralement éclaté le ballon devant le capteur. Cette valeur maximale est obtenue lorsque le ballon est gonflé jusqu'à la rupture car toute sa surface ondule et crée une énorme perturbation dans l'air autour du ballon.

Bien entendu (sans mauvais jeu de mot), le son d'un ballon qui éclate à quelques mètres de distance d'une oreille est moins fort. A 2 mètre, le son n'est déjà plus qu'à 145 dB (Peak SPL). Mais cela reste effectivement très élevé pour un objet si anodin.

Cela me rappelle les boite de bonbon métallique avec le couvercle qui se "clip" dessus (boite à bonbon sajou). Si vous prenez le couvercle et que vous le "clipper" devant votre oreille ou celle de quelqu'un, vous pouvez créer une surpression très désagréable équivalente à un bruit très fort.

Edit : tu as été plus rapide que moi mais au moins on est d'accord ^^.

a écrit : La valeur de 167,82 dB est obtenu avec un micro collé au ballon, éclaté car trop gonflé. en mettant le micro à deux mètres, on tombe à 145,84dB.
De plus, quand on parle de son que l'on entend, on mesure/affiche rarement les décibels brut, on les pondère souvent en fonction de la fréquence, notre sensibilit
é étant différente selon celles-ci : il y a plusieurs manières de pondérer les décibels, mais l'une des plus commune et qui est utilisé dans cette étude est la pondération A de la norme CEI 61672-1.
Ça peut paraître pointilleux comme remarque, mais en l'occurrence la différence est énorme : on est respectivement à 81,35 et 68,41 dBA.
Pour rappel, les décibels sont logarithmique, et non linéaire : en doublant le son, on ne double pas les nombre de décibels, on en ajoute juste trois.
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Les 81,35 dB(A), c'est l'équivalent des 168 dB sur une exposition de 8h.

a écrit : La valeur de 167,82 dB est obtenu avec un micro collé au ballon, éclaté car trop gonflé. en mettant le micro à deux mètres, on tombe à 145,84dB.
De plus, quand on parle de son que l'on entend, on mesure/affiche rarement les décibels brut, on les pondère souvent en fonction de la fréquence, notre sensibilit
é étant différente selon celles-ci : il y a plusieurs manières de pondérer les décibels, mais l'une des plus commune et qui est utilisé dans cette étude est la pondération A de la norme CEI 61672-1.
Ça peut paraître pointilleux comme remarque, mais en l'occurrence la différence est énorme : on est respectivement à 81,35 et 68,41 dBA.
Pour rappel, les décibels sont logarithmique, et non linéaire : en doublant le son, on ne double pas les nombre de décibels, on en ajoute juste trois.
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Tout à fait. Notons tout de même que 145,84dB c’est beaucoup trop - et qu’un enfant fait souvent exploser un ballon à moins de deux mètres. Il est rare cependant de faire exploser un ballon en le gonflant. Les deux autres méthodes (épingle et en l’écrasant) donnent des chiffres encore trop élevés;
mais c’est vrai sans la pondération. Je serais curieux de creuser plus à ce niveau. Au final difficile de se faire une opinion (comme souvent, la réalité n’est pas si simple).

Personne n'envisage d'interdire les ballons de baudruche aux anniversaires?

J’ai pu tirer au fusil de chasse (lors de ball-trap dans ma commune) et éclater quelques dizaines de ballons (parce que je suis un dingue) et mes oreilles ont largement préféré la 2eme expérience.

Le ball-trap la première fois m’a laissé des bourdonnements tout le week-end, donc les autres années j’ai mis mes petits bouchons comme un homme.

a écrit : Personne n'envisage d'interdire les ballons de baudruche aux anniversaires? Alors on peut proposer que les enfants les eclatent a 2 metres de distance minimum. il faut de longues jambes du coup.

a écrit : Les 81,35 dB(A), c'est l'équivalent des 168 dB sur une exposition de 8h. En effet je suis allé un peu vite en besogne, merci pour la correction

a écrit : Tout à fait. Notons tout de même que 145,84dB c’est beaucoup trop - et qu’un enfant fait souvent exploser un ballon à moins de deux mètres. Il est rare cependant de faire exploser un ballon en le gonflant. Les deux autres méthodes (épingle et en l’écrasant) donnent des chiffres encore trop élevés;
mais c’est vrai
sans la pondération. Je serais curieux de creuser plus à ce niveau. Au final difficile de se faire une opinion (comme souvent, la réalité n’est pas si simple). Afficher tout
Un ballon qui éclate possède un spectre sonore qui n'est pas constant à toutes les fréquences mais qui restent avec des écarts faibles. Ainsi les écarts obtenus par rapport à l’énergie émise à 1000 Hz sont de l’ordre de 10 dB dans les basses fréquences et plus ou moins 5 dB dans les hautes fréquences.
On l'utilise d'ailleurs pour faire des mesures acoustiques de temps de réverbération avec une réponse impulsionnelle (éclatement du ballon) mais les acousticiens mettent des casques anti-bruit.

Pour les dommages à l'oreille, il faut distinguer deux choses :
- les dommages de fatigue
- les dommages immédiats.

Les dommages de fatigue surviennent lors d'une exposition de longue durée (musique trop forte, lieu de travail bruyant). Les cellules ciliées de l'oreille qui captent les vibrations sonores s'abiment petit à petit et on perd de l'audition. On considère généralement que la limite est de 80 dB(A) sur 8 heures d'exposition (niveau de pression acoustique continu équivalent pondéré A).

Les dommages immédiats surviennent lors d'une exposition de courte durée et de forte intensité sonore (pétard, ballon qui éclate, explosion, surpression). Ici ce ne sont pas forcément les cellules ciliées qui sont touchées. Il peut y avoir déchirure du tympan ou des lésions des cellules de la cochlée. On considère généralement que la limite est de 135 dB(C) (niveau de pression acoustique instantané pondéré C).

Ici il faudrait plutôt calculer la valeur du niveau de pression acoustique instantané en dB(C) plutôt qu'en dB(A) car on est en présence d'un bruit soudain et de forte intensité acoustique.

a écrit : Les 81,35 dB(A), c'est l'équivalent des 168 dB sur une exposition de 8h. J'ai voulu voir s'il existait une fonction permettant de convertir les dB(A) en dB, mais cru comprendre que la fréquence à son importance car c'est elle qui permet de pondérer le nombre de dB perçus.

Ça m'intéresse car je travailles sur un quai où une ventilation bruyante nous expose à une intensité continue de 66 dB(A) (mesurée avec un sonomètre homologué, mais je n'ai pas la distance à la source car il y a plusieurs ventilateurs). Or, il semblerait que les seuils (comparaisons avec des bruits divers plus ou moins gênants/dangereux) soient exprimés en dB "simple".

a écrit : J'ai voulu voir s'il existait une fonction permettant de convertir les dB(A) en dB, mais cru comprendre que la fréquence à son importance car c'est elle qui permet de pondérer le nombre de dB perçus.

Ça m'intéresse car je travailles sur un quai où une ventilation bruyante nous expose à
une intensité continue de 66 dB(A) (mesurée avec un sonomètre homologué, mais je n'ai pas la distance à la source car il y a plusieurs ventilateurs). Or, il semblerait que les seuils (comparaisons avec des bruits divers plus ou moins gênants/dangereux) soient exprimés en dB "simple". Afficher tout
En effet, la pondération s'applique par octave ou par tiers d'octave car l'oreille humaine est beaucoup moins sensible aux basses fréquences. C'est uniquement valable pour des sons courants allant de 30 à 90 dB.
Au-dessus, le dB(A) a moins de sens car l'impact sur les oreilles est beaucoup plus élevé et on préfère utiliser le dB(C) dont la pondération à hautes et basses fréquence est beaucoup plus faible.
www.nti-audio.com/fr/assistance/savoir-faire/ponderations-de-frequence-pour-les-mesures-de-niveau-sonore

Pour évaluer ton exposition au bruit, il faudrait que tu portes un dosimètre acoustique sur l'ensemble de ta journée qui te calculerait en dB(A) ton exposition sur une période de 8h. Le mieux étant de mesurer ton exposition en dB(A) et les pics de bruit en dB(C). Mais même sur ce sujet c'est compliqué car les différentes législations ne sont pas les mêmes selon les pays.

Les seuils sont parfois exprimés en dB(A).
www.bruitparif.fr/l-echelle-des-decibels/

Par contre les puissances acoustiques des appareils sont toujours exprimés en dB sur les fiches techniques.

a écrit : Un ballon qui éclate possède un spectre sonore qui n'est pas constant à toutes les fréquences mais qui restent avec des écarts faibles. Ainsi les écarts obtenus par rapport à l’énergie émise à 1000 Hz sont de l’ordre de 10 dB dans les basses fréquences et plus ou moins 5 dB dans les hautes fréquences.
On l&
#039;utilise d'ailleurs pour faire des mesures acoustiques de temps de réverbération avec une réponse impulsionnelle (éclatement du ballon) mais les acousticiens mettent des casques anti-bruit.

Pour les dommages à l'oreille, il faut distinguer deux choses :
- les dommages de fatigue
- les dommages immédiats.

Les dommages de fatigue surviennent lors d'une exposition de longue durée (musique trop forte, lieu de travail bruyant). Les cellules ciliées de l'oreille qui captent les vibrations sonores s'abiment petit à petit et on perd de l'audition. On considère généralement que la limite est de 80 dB(A) sur 8 heures d'exposition (niveau de pression acoustique continu équivalent pondéré A).

Les dommages immédiats surviennent lors d'une exposition de courte durée et de forte intensité sonore (pétard, ballon qui éclate, explosion, surpression). Ici ce ne sont pas forcément les cellules ciliées qui sont touchées. Il peut y avoir déchirure du tympan ou des lésions des cellules de la cochlée. On considère généralement que la limite est de 135 dB(C) (niveau de pression acoustique instantané pondéré C).

Ici il faudrait plutôt calculer la valeur du niveau de pression acoustique instantané en dB(C) plutôt qu'en dB(A) car on est en présence d'un bruit soudain et de forte intensité acoustique.
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Ok merci pour ces précisions. Et du coup tu en retires quoi de cette étude ?

a écrit : Ok merci pour ces précisions. Et du coup tu en retires quoi de cette étude ? Je suis tout à fait d'accord avec l'anecdote. Le niveau de bruit crête est certainement un peu en dessous des 145 dB à 2 m à environ 140 dB(C). C'est au-dessus de la préconisation des 135 dB(C) maximum de la règlementation. Il faut faire attention aux ballons de baudruche qui éclatent et notamment à côté des enfants et des nourrissons qui ont les oreilles plus fragiles et en formation.

De manière générale, l'audition et le bruit sont des sujets peu abordés en société. On en prend conscience de plus en plus et notamment dans les nouveaux logements que l'on construit. Les CHSCT font normalement leur travail pour informer et protéger les travailleurs sur les chantiers ou les usines bruyantes. Mais peu de gens se protègent au quotidien, dans les concerts, avec leur écouteurs, etc.

On pourrait également citer certains métiers exposés au bruit mais qui ne sont pas reconnus comme tel comme les enseignants, les personnels de restauration, les cheminots, etc... Le problème principal, c'est que les dégâts sur l'audition sont insidieux et lents (pour des dommages de fatigues) et quand on s'en rend compte c'est trop tard et irréversibles.

Cette anecdote n'aborde pas la question de fond. Le problème, ce n'est pas l'impact acoustique de l'éclatement du ballon. C'est celui des pleurs de l'enfant qui arrivent juste après !

Après tous ces commentaires, je m’étonne que personne ne pense aux ballons qui s’envolent, qui retombent dans la mer, et empoisonne les animaux marins!
On pourrait aussi défaire les nœuds, laisser l’air s’échapper doucement… Mais je vous explique pas la galère !!

a écrit : Je suis tout à fait d'accord avec l'anecdote. Le niveau de bruit crête est certainement un peu en dessous des 145 dB à 2 m à environ 140 dB(C). C'est au-dessus de la préconisation des 135 dB(C) maximum de la règlementation. Il faut faire attention aux ballons de baudruche qui éclatent et notamment à côté des enfants et des nourrissons qui ont les oreilles plus fragiles et en formation.

De manière générale, l'audition et le bruit sont des sujets peu abordés en société. On en prend conscience de plus en plus et notamment dans les nouveaux logements que l'on construit. Les CHSCT font normalement leur travail pour informer et protéger les travailleurs sur les chantiers ou les usines bruyantes. Mais peu de gens se protègent au quotidien, dans les concerts, avec leur écouteurs, etc.

On pourrait également citer certains métiers exposés au bruit mais qui ne sont pas reconnus comme tel comme les enseignants, les personnels de restauration, les cheminots, etc... Le problème principal, c'est que les dégâts sur l'audition sont insidieux et lents (pour des dommages de fatigues) et quand on s'en rend compte c'est trop tard et irréversibles.
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Je confirme pour ton dernier paragraphe. Mon père travaille en cuisine depuis 40 ans et a beaucoup perdu en audition à cause du bruit des hottes aspirante. Et comme tu le precise justement ca se fait très lentement donc impossible a ressentir avant un vrai test auditif qu’on fait en général sur le tard. Le médecin du travail ne le propose même pas d’ailleurs …

a écrit : La valeur de 167,82 dB est obtenu avec un micro collé au ballon, éclaté car trop gonflé. en mettant le micro à deux mètres, on tombe à 145,84dB.
De plus, quand on parle de son que l'on entend, on mesure/affiche rarement les décibels brut, on les pondère souvent en fonction de la fréquence, notre sensibilit
é étant différente selon celles-ci : il y a plusieurs manières de pondérer les décibels, mais l'une des plus commune et qui est utilisé dans cette étude est la pondération A de la norme CEI 61672-1.
Ça peut paraître pointilleux comme remarque, mais en l'occurrence la différence est énorme : on est respectivement à 81,35 et 68,41 dBA.
Pour rappel, les décibels sont logarithmique, et non linéaire : en doublant le son, on ne double pas les nombre de décibels, on en ajoute juste trois.
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en l’occurrence si le ballon eclate quand on le gonfle ce qui arrive souvent, il est littéralement collé à notre visage non ?

a écrit : Après tous ces commentaires, je m’étonne que personne ne pense aux ballons qui s’envolent, qui retombent dans la mer, et empoisonne les animaux marins!
On pourrait aussi défaire les nœuds, laisser l’air s’échapper doucement… Mais je vous explique pas la galère !!
oui mais c’est un autre sujet non ?
^^

a écrit : En effet, la pondération s'applique par octave ou par tiers d'octave car l'oreille humaine est beaucoup moins sensible aux basses fréquences. C'est uniquement valable pour des sons courants allant de 30 à 90 dB.
Au-dessus, le dB(A) a moins de sens car l'impact sur les oreilles est beauco
up plus élevé et on préfère utiliser le dB(C) dont la pondération à hautes et basses fréquence est beaucoup plus faible.
www.nti-audio.com/fr/assistance/savoir-faire/ponderations-de-frequence-pour-les-mesures-de-niveau-sonore

Pour évaluer ton exposition au bruit, il faudrait que tu portes un dosimètre acoustique sur l'ensemble de ta journée qui te calculerait en dB(A) ton exposition sur une période de 8h. Le mieux étant de mesurer ton exposition en dB(A) et les pics de bruit en dB(C). Mais même sur ce sujet c'est compliqué car les différentes législations ne sont pas les mêmes selon les pays.

Les seuils sont parfois exprimés en dB(A).
www.bruitparif.fr/l-echelle-des-decibels/

Par contre les puissances acoustiques des appareils sont toujours exprimés en dB sur les fiches techniques.
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Merci pour ces liens. D'après l'un d'eux, 66 dB(A), c'est pas rien sur 8h/j. Les effets ne sont pas à négliger. J'essaie de sensibiliser mes collègues et la direction sur ces nuisances et leurs effets au quotidien afin de prendre des mesures nécessaires.

Y'a-t-il une différence entre un dosimètre acoustique et un sonomètre programmable enregistrant les données à intervalles réguliers ? Car c'est ce dont je possède.