Les tempêtes de poussières sur Mars peuvent être massives

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En 2001, la planète Mars a complètement changé d'apparence. Durant des mois, une tempête de poussière globale a balayé la surface de la planète rouge, ce qui a perturbé les observations en cours. Ces tempêtes sont aussi un problème pour les robots sur Mars dont les panneaux solaires peuvent s'encrasser.


Commentaires préférés (3)

Par "panneau solaire", entendre "panneau photovoltaïque"

L'encrassement (ou empoussièrement) des panneaux photovoltaiques, peut se traduire par une baisse de production électrique d'un ordre variant entre 5 et 15%, ....voire plus, quand l'installation est salie par des déjections d'oiseaux.

Comme il est évidemment impossible d'envoyer un humain sur Mars, afin de procéder au nettoyage du panneau photovoltaïque.... Soit il faut attendre, au petit bonheur la chance, qu'un vortex de vent martien, chasse cette poussière. (C'est déjà arrivé)....
Soit on innove !
Je vous laisse découvrir cette technique insolite, ici:
www.cieletespace.fr/actualites/la-sonde-insight-nettoie-ses-panneaux-solaires-sur-mars#:~:text=Avec%20la%20pelle%20de%20son,de%20poussi%C3%A8re%20dans%20le%20vent.

Revenons sur Terre.
Vu que la technique des balais rotors n'a finalement pas été une bonne idée -Merci @Tybs, pour l'info - le fameux MIT nous a récemment proposé une solution basée sur les propriétés de l'électricité statique.
www-revolution--energetique-com.cdn.ampproject.org/v/s/www.revolution-energetique.com/des-chercheurs-ont-mis-au-point-une-nouvelle-technique-pour-nettoyer-les-panneaux-solaires-sans-eau/amp/?amp_gsa=1&amp_js_v=a9&usqp=mq331AQKKAFQArABIIACAw%3D%3D#amp_tf=De%20%251%24s&aoh=16557268694245&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.revolution-energetique.com%2Fdes-chercheurs-ont-mis-au-point-une-nouvelle-technique-pour-nettoyer-les-panneaux-solaires-sans-eau%2F

a écrit : Par "panneau solaire", entendre "panneau photovoltaïque"

L'encrassement (ou empoussièrement) des panneaux photovoltaiques, peut se traduire par une baisse de production électrique d'un ordre variant entre 5 et 15%, ....voire plus, quand l'installation est salie par des
déjections d'oiseaux.

Comme il est évidemment impossible d'envoyer un humain sur Mars, afin de procéder au nettoyage du panneau photovoltaïque.... Soit il faut attendre, au petit bonheur la chance, qu'un vortex de vent martien, chasse cette poussière. (C'est déjà arrivé)....
Soit on innove !
Je vous laisse découvrir cette technique insolite, ici:
www.cieletespace.fr/actualites/la-sonde-insight-nettoie-ses-panneaux-solaires-sur-mars#:~:text=Avec%20la%20pelle%20de%20son,de%20poussi%C3%A8re%20dans%20le%20vent.

Revenons sur Terre.
Vu que la technique des balais rotors n'a finalement pas été une bonne idée -Merci @Tybs, pour l'info - le fameux MIT nous a récemment proposé une solution basée sur les propriétés de l'électricité statique.
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Il me semblait qu'on privilégiait l'énergie nucléaire pour nos rovers maintenant.
Ce ne sont pas de "vraies centrales nucléaires" bien entendu. Mais du plutonium enrichi qu'on laisse chauffer et qui permet de produire de l'électricité.

Cela dit, l'énergie solaire, c'est de l'énergie nucléaire qui voyage ^^.

a écrit : Demandons à @Nico de nous en dire plus.
La Conquête Spatiale et l'Astronomie sont son dada.

@Nico ?
Laisse de côté cette caisse à outils !....
Au clavier !
C'est une tronço que j'avais dans les mains^^ mais avec plaisir.

C'est vrai, on privilégie les réacteurs à radioisotopes maintenant mais parce que les rovers sont trop gros pour embarquer assez de panneaux solaire qui pèseraient des centaines de kilos (économies oblige) et qui seraient bien trop fragiles vu leur taille.
Par contre, ce sont bel et bien des "centrales" nucléaires, c'est juste qu'elles ne produisent pas d'énergie par une réaction nucléaire en chaine mais via la désintégration naturelle des éléments et par une différence de température entre deux éléments.
Je ne saurai pas dire comment ca marche, si ca vous intéresse, cherchez "effet Seebeck" sur gogol.

L'avantage de ces réacteurs, ils produisent très longtemps et n'ont pas besoin de maintenance (et accessoirement ils ne risquent pas d'exploser^^), l'inconvénient, ils produisent peu d'énergie et de moins en moins de puissance avec le temps.
Les sondes voyager fonctionnent encore grâce à ces engins depuis 45 ans, mais elles sont vraiment sur la fin.


Tous les commentaires (27)

Par "panneau solaire", entendre "panneau photovoltaïque"

L'encrassement (ou empoussièrement) des panneaux photovoltaiques, peut se traduire par une baisse de production électrique d'un ordre variant entre 5 et 15%, ....voire plus, quand l'installation est salie par des déjections d'oiseaux.

Comme il est évidemment impossible d'envoyer un humain sur Mars, afin de procéder au nettoyage du panneau photovoltaïque.... Soit il faut attendre, au petit bonheur la chance, qu'un vortex de vent martien, chasse cette poussière. (C'est déjà arrivé)....
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a écrit : Par "panneau solaire", entendre "panneau photovoltaïque"

L'encrassement (ou empoussièrement) des panneaux photovoltaiques, peut se traduire par une baisse de production électrique d'un ordre variant entre 5 et 15%, ....voire plus, quand l'installation est salie par des
déjections d'oiseaux.

Comme il est évidemment impossible d'envoyer un humain sur Mars, afin de procéder au nettoyage du panneau photovoltaïque.... Soit il faut attendre, au petit bonheur la chance, qu'un vortex de vent martien, chasse cette poussière. (C'est déjà arrivé)....
Soit on innove !
Je vous laisse découvrir cette technique insolite, ici:
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Revenons sur Terre.
Vu que la technique des balais rotors n'a finalement pas été une bonne idée -Merci @Tybs, pour l'info - le fameux MIT nous a récemment proposé une solution basée sur les propriétés de l'électricité statique.
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Il me semblait qu'on privilégiait l'énergie nucléaire pour nos rovers maintenant.
Ce ne sont pas de "vraies centrales nucléaires" bien entendu. Mais du plutonium enrichi qu'on laisse chauffer et qui permet de produire de l'électricité.

Cela dit, l'énergie solaire, c'est de l'énergie nucléaire qui voyage ^^.

a écrit : Il me semblait qu'on privilégiait l'énergie nucléaire pour nos rovers maintenant.
Ce ne sont pas de "vraies centrales nucléaires" bien entendu. Mais du plutonium enrichi qu'on laisse chauffer et qui permet de produire de l'électricité.

Cela dit, l'énergie solaire, c'est de l'énergie nucléaire qui voyage ^^.
Demandons à @Nico de nous en dire plus.
La Conquête Spatiale et l'Astronomie sont son dada.

@Nico ?
Laisse de côté cette caisse à outils !....
Au clavier !

a écrit : Demandons à @Nico de nous en dire plus.
La Conquête Spatiale et l'Astronomie sont son dada.

@Nico ?
Laisse de côté cette caisse à outils !....
Au clavier !
C'est une tronço que j'avais dans les mains^^ mais avec plaisir.

C'est vrai, on privilégie les réacteurs à radioisotopes maintenant mais parce que les rovers sont trop gros pour embarquer assez de panneaux solaire qui pèseraient des centaines de kilos (économies oblige) et qui seraient bien trop fragiles vu leur taille.
Par contre, ce sont bel et bien des "centrales" nucléaires, c'est juste qu'elles ne produisent pas d'énergie par une réaction nucléaire en chaine mais via la désintégration naturelle des éléments et par une différence de température entre deux éléments.
Je ne saurai pas dire comment ca marche, si ca vous intéresse, cherchez "effet Seebeck" sur gogol.

L'avantage de ces réacteurs, ils produisent très longtemps et n'ont pas besoin de maintenance (et accessoirement ils ne risquent pas d'exploser^^), l'inconvénient, ils produisent peu d'énergie et de moins en moins de puissance avec le temps.
Les sondes voyager fonctionnent encore grâce à ces engins depuis 45 ans, mais elles sont vraiment sur la fin.

a écrit : C'est une tronço que j'avais dans les mains^^ mais avec plaisir.

C'est vrai, on privilégie les réacteurs à radioisotopes maintenant mais parce que les rovers sont trop gros pour embarquer assez de panneaux solaire qui pèseraient des centaines de kilos (économies oblige) et qui seraient bien
trop fragiles vu leur taille.
Par contre, ce sont bel et bien des "centrales" nucléaires, c'est juste qu'elles ne produisent pas d'énergie par une réaction nucléaire en chaine mais via la désintégration naturelle des éléments et par une différence de température entre deux éléments.
Je ne saurai pas dire comment ca marche, si ca vous intéresse, cherchez "effet Seebeck" sur gogol.

L'avantage de ces réacteurs, ils produisent très longtemps et n'ont pas besoin de maintenance (et accessoirement ils ne risquent pas d'exploser^^), l'inconvénient, ils produisent peu d'énergie et de moins en moins de puissance avec le temps.
Les sondes voyager fonctionnent encore grâce à ces engins depuis 45 ans, mais elles sont vraiment sur la fin.
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...et le plaisir de lire un très bon commentaire !
Merci @Nico.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Effet_Seebeck

Il y a quelques liens Net, laissant entendre que l'effet Seebeck (et l'effet Peltier) pourraient avoir une application dans le solaire/photovoltaïque.

@Le Hollandais volant peut-il nous en dire plus ?...

a écrit : C'est une tronço que j'avais dans les mains^^ mais avec plaisir.

C'est vrai, on privilégie les réacteurs à radioisotopes maintenant mais parce que les rovers sont trop gros pour embarquer assez de panneaux solaire qui pèseraient des centaines de kilos (économies oblige) et qui seraient bien
trop fragiles vu leur taille.
Par contre, ce sont bel et bien des "centrales" nucléaires, c'est juste qu'elles ne produisent pas d'énergie par une réaction nucléaire en chaine mais via la désintégration naturelle des éléments et par une différence de température entre deux éléments.
Je ne saurai pas dire comment ca marche, si ca vous intéresse, cherchez "effet Seebeck" sur gogol.

L'avantage de ces réacteurs, ils produisent très longtemps et n'ont pas besoin de maintenance (et accessoirement ils ne risquent pas d'exploser^^), l'inconvénient, ils produisent peu d'énergie et de moins en moins de puissance avec le temps.
Les sondes voyager fonctionnent encore grâce à ces engins depuis 45 ans, mais elles sont vraiment sur la fin.
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@epoxy Puis sans panneau solaire, les problèmes de déjections d'oiseaux sont aussi résolus.

a écrit : @epoxy Puis sans panneau solaire, les problèmes de déjections d'oiseaux sont aussi résolus. En même temps, des déjections d'oiseau sur Mars... ;)

a écrit : Par "panneau solaire", entendre "panneau photovoltaïque"

L'encrassement (ou empoussièrement) des panneaux photovoltaiques, peut se traduire par une baisse de production électrique d'un ordre variant entre 5 et 15%, ....voire plus, quand l'installation est salie par des
déjections d'oiseaux.

Comme il est évidemment impossible d'envoyer un humain sur Mars, afin de procéder au nettoyage du panneau photovoltaïque.... Soit il faut attendre, au petit bonheur la chance, qu'un vortex de vent martien, chasse cette poussière. (C'est déjà arrivé)....
Soit on innove !
Je vous laisse découvrir cette technique insolite, ici:
www.cieletespace.fr/actualites/la-sonde-insight-nettoie-ses-panneaux-solaires-sur-mars#:~:text=Avec%20la%20pelle%20de%20son,de%20poussi%C3%A8re%20dans%20le%20vent.

Revenons sur Terre.
Vu que la technique des balais rotors n'a finalement pas été une bonne idée -Merci @Tybs, pour l'info - le fameux MIT nous a récemment proposé une solution basée sur les propriétés de l'électricité statique.
www-revolution--energetique-com.cdn.ampproject.org/v/s/www.revolution-energetique.com/des-chercheurs-ont-mis-au-point-une-nouvelle-technique-pour-nettoyer-les-panneaux-solaires-sans-eau/amp/?amp_gsa=1&amp_js_v=a9&usqp=mq331AQKKAFQArABIIACAw%3D%3D#amp_tf=De%20%251%24s&aoh=16557268694245&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.revolution-energetique.com%2Fdes-chercheurs-ont-mis-au-point-une-nouvelle-technique-pour-nettoyer-les-panneaux-solaires-sans-eau%2F
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L'atmosphère martienne n'ayant que des traces d'eau, ce concept pourrait-il être efficace sur Mars ?

a écrit : ...et le plaisir de lire un très bon commentaire !
Merci @Nico.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Effet_Seebeck

Il y a quelques liens Net, laissant entendre que l'effet Seebeck (et l'effet Peltier) pourraient avoir une application dans le solaire/photovoltaïque.

@Le H
ollandais volant peut-il nous en dire plus ?... Afficher tout
Je peu répondre sur l’effet Seebeck en photovoltaïque :
La chaleur est l’ennemie du panneau PV car son rendement diminue avec la température. Or, le panneau est exposé au soleil (encore heureux!) donc il chauffe.

L’idée est donc de pouvoir utiliser la chaleur pour produire de l’électricité par effet Seebeck (comme un rover), ce qui a) donne directement un peu de courant et b) amer luire la performance du panneau PV.
Une sorte de système 2-en-1 ou dans le même panneau on utilise la lumière et la chaleur (puristes ne criez pas, j’ai simplifié, je sais que les 2 sont là même chose).

Reste principalement le problème du coût qui est encore élevé.

a écrit : L'atmosphère martienne n'ayant que des traces d'eau, ce concept pourrait-il être efficace sur Mars ? C’est le principe déjà utilisé sur Mars.

a écrit : Sur quel(s) rover(s) ? J’avoue ne pas savoir non plus. Je sais simplement que la poussière de Mars est collante et abrasive. Donc la brosse ou la soufflette à air comprimé ne serviraient à rien. Il me semblait que c’était plutôt statu quo à la NASA en laissant les panneaux s’encrasser et en espérant que le rendement ne diminue pas trop dans l’ordre de grandeur de la longueur de la mission. Un équipement en plus de nettoyage, c’est du poids et du poids c’est de l’argent et des risques supplémentaires.

Il faudrait chercher du côté des Chinois qui ont doté le rover Zhurong de PV à revêtement électrostatique qui empêche la poussière de coller. Suffit de « retourner » le panneau pour le nettoyer.

Il ne faut pas oublier non plus que la glace carbonique est aussi un danger pour les PV, il n’y a pas que la poussière.

www.futura-sciences.com/alternative/amp/actualite/96629/

a écrit : En même temps, des déjections d'oiseau sur Mars... ;) Oui, c'était un trait d'humour de @aldrak.

Cependant, je me suis posé la question farfelue de savoir si un oiseau pouvait voler sur Mars, vu que la pression atmosphérique y est, de moyenne, 170 fois moindre.

a écrit : Oui, c'était un trait d'humour de @aldrak.

Cependant, je me suis posé la question farfelue de savoir si un oiseau pouvait voler sur Mars, vu que la pression atmosphérique y est, de moyenne, 170 fois moindre.
Puisqu'un Ingenuity le peut, pourquoi pas un oiseau aux ailes immenses et légères (et un masque à oxygène ^^)

a écrit : Puisqu'un Ingenuity le peut, pourquoi pas un oiseau aux ailes immenses et légères (et un masque à oxygène ^^) L'Ingenuity évolue néanmoins dans des conditions bien distinctes que celles existant sur Terre.
Selon Wikipedia, elles sont similaires à celles régnant à 25 000 mètres d'altitude.
La gravité sur Mars, est + ou- trois fois moindre. Ceci fait que son poids est bien plus léger.
Cependant, la densité de l'air Martien, oblige également au rotor de l'Ingenuity à devoir avoir une rotation/minute bien supérieure: au moins dix fois plus que sur Terre.

Dans le cas d'un oiseau -indépendamment de son apport en oxygène et en nourriture- je ne sais même pas si les performances de battement d'ailes du colibri, serait suffisant pour lui permettre de décoller.
Le record appartient au colibri aux huppes d'or, à 90 battements/minute. De plus, il ne pèse que ...2 grammes.

L’atmosphère martienne est très faible (0,6 kPa, contre 101 kPa sur Terre), et les vents maximum qu’on peut y ressentir, c’est comme un faible souffle sur la main.

Par contre les poussières sont vraiment très très fines, vu qu’il n’y a pas d’eau ni de pluie pour les agglutiner sous forme de boues sur le sol.
Elle entre absolument partout et dans tous les rouages, ce qui est un problème pour les rovers martiens.

Par contre, on est très loin des tempêtes de sable martiennes comme dans les films. Ça c’est de la pure fiction.

a écrit : Sur quel(s) rover(s) ? Curiosity(2011) et Persévérance(2020, les deux plus récents, ils font environ la taille d'une voiture citadine genre Twingo et ont une masse à peu près équivalente)
En premier, il y a eu Pathfinder (1997, la taille d'un four micro-ondes), puis Spirit et Opportunity en doublon (2004, la taille d'un lave vaisselle, les trois premiers fonctionnaient au solaire)

BAKWA faut bien comparer à un bidule qu'on connais sur Terre!
En terrains de foot, on planche sur Enterprise... ^^

a écrit : L'Ingenuity évolue néanmoins dans des conditions bien distinctes que celles existant sur Terre.
Selon Wikipedia, elles sont similaires à celles régnant à 25 000 mètres d'altitude.
La gravité sur Mars, est + ou- trois fois moindre. Ceci fait que son poids est bien plus léger.
Cependant,
la densité de l'air Martien, oblige également au rotor de l'Ingenuity à devoir avoir une rotation/minute bien supérieure: au moins dix fois plus que sur Terre.

Dans le cas d'un oiseau -indépendamment de son apport en oxygène et en nourriture- je ne sais même pas si les performances de battement d'ailes du colibri, serait suffisant pour lui permettre de décoller.
Le record appartient au colibri aux huppes d'or, à 90 battements/minute. De plus, il ne pèse que ...2 grammes.
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C'est probablement la solution, des nuées de microdrones ultralégers, quelques dizaines de grammes et nombreux (donc pas cher et que si y'en a un qui tombe en panne, il en reste plein) pour voler sur Mars, le souci en vrai, ce n'est pas de concevoir une machine où d'imaginer un oiseau capable de le faire, c'est l'énergie qu'il faut dépenser pour voler là bas.
L'ingenuity est, en premier lieu, un test, pour prouver que c'est faisable bien qu'on en ait profité pour qu'il serve à autre chose que voler, comme prendre des photos et guider les pilotes de Persévérance pour trouver plus facilement des coins intéressants à gratter.
La suite au prochain numéro. :)

Je suis persuadé que le prochain rover sera une vraie plateforme à drones, le meilleur moyen de couvrir plus de terrain, parce que ce qu'on cherche sur Mars est très difficile à trouver et les rovers se trainent comme des escargots sous alimentés. ^^

a écrit : L’atmosphère martienne est très faible (0,6 kPa, contre 101 kPa sur Terre), et les vents maximum qu’on peut y ressentir, c’est comme un faible souffle sur la main.

Par contre les poussières sont vraiment très très fines, vu qu’il n’y a pas d’eau ni de pluie pour les agglutiner sous forme de boues sur le
sol.
Elle entre absolument partout et dans tous les rouages, ce qui est un problème pour les rovers martiens.

Par contre, on est très loin des tempêtes de sable martiennes comme dans les films. Ça c’est de la pure fiction.
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C'est vrai, on est très loin des tempêtes terrestres qui cassent tout et renversent des voitures, la poussière, presque nanométrique s'infiltre partout, dans le moindre circuit, dans le moindre servomoteur... un vrai problème qu'il faudra résoudre. Mais les rovers permettent de développer les technologies pour y résister.
On peut faire l'amalgame avec nos ordinateurs, qu'ils soient portables où fixe, les saletés entrent dedans, et il faut nettoyer, sauf que la bas, c'est bien pire...

a écrit : C'est probablement la solution, des nuées de microdrones ultralégers, quelques dizaines de grammes et nombreux (donc pas cher et que si y'en a un qui tombe en panne, il en reste plein) pour voler sur Mars, le souci en vrai, ce n'est pas de concevoir une machine où d'imaginer un oiseau capable de le faire, c'est l'énergie qu'il faut dépenser pour voler là bas.
L'ingenuity est, en premier lieu, un test, pour prouver que c'est faisable bien qu'on en ait profité pour qu'il serve à autre chose que voler, comme prendre des photos et guider les pilotes de Persévérance pour trouver plus facilement des coins intéressants à gratter.
La suite au prochain numéro. :)

Je suis persuadé que le prochain rover sera une vraie plateforme à drones, le meilleur moyen de couvrir plus de terrain, parce que ce qu'on cherche sur Mars est très difficile à trouver et les rovers se trainent comme des escargots sous alimentés. ^^
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Peut-être que reproduire le vol de certains insectes (le papillon ou la libellule, par exemple) serait plus économe en énergie.
Sauf que l'adapter en ingénierie, n'est pas une tâche facile....
Et je ne doute pas que la NASA n'y ait pas pensé.

L'idéal, en matière d'énergie serait un moteur de propulsion à base de gaz carbonique (CO2). L'atmosphère Martienne en est composée à 96%. Sauf que ceci n'existe pas encore, même si certains y songent.
www-neozone-org.cdn.ampproject.org/v/s/www.neozone.org/innovation/des-chercheurs-veulent-transformer-du-co2-en-carburant-liquide-zero-emission-pour-les-avions/amp/?amp_gsa=1&amp_js_v=a9&usqp=mq331AQKKAFQArABIIACAw%3D%3D#amp_tf=Source%C2%A0%3A%20%251%24s&aoh=16558468844646&csi=1&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.neozone.org%2Finnovation%2Fdes-chercheurs-veulent-transformer-du-co2-en-carburant-liquide-zero-emission-pour-les-avions%2F