Si l'ail donne mauvaise haleine, il améliore l'odeur corporelle. Une étude tchèque a montré qu'un panel de 82 femmes testeurs préférait l'odeur des aisselles de 42 hommes ayant consommé une dose importante d'ail à celle de personnes n'en ayant pas ingéré. Les chercheurs pensent que les qualités antibactériennes de l'ail expliqueraient cette différence.
Commentaires préférés (3)
Pour info, en France, la rémunération maximale pour participer à des essais cliniques est de 4500 euros par an.
Mais je doute que ces femmes furent payées autant pour renifler des dessous de bras poilus...
Les odeurs corporelles, c'est toute une science.
Si l'odeur de vos frère et sœur vous est insupportable, c'est plutôt normal et sain (en général)....
C'est interprété comme une façon d'éviter l'inceste, qui n'est pas bénéfique sur le plan évolutif.
www.scienceshumaines.com/l-odeur-de-l-affection_fr_2702.html
Ce phénomène peut être facilement source de complexes.
PS Cela veut donc dire par ailleurs l'on peut capturer l'odeur d'un prout...
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Pour info, en France, la rémunération maximale pour participer à des essais cliniques est de 4500 euros par an.
Mais je doute que ces femmes furent payées autant pour renifler des dessous de bras poilus...
Pour avoir déjà consommé beaucoup (trop) d'ail (grillé à la poêle). Je peux vous garantir que les effets indésirables sont multiples:
- transpiration odeur d'ail.
- troubles gastriques.
- rots et flatulences infectes.
Autant dire que j'ai largement fait fuir la gente féminine...alors cette étude...?
J'imagine que la transpiration à l'ail explique les effets antibactériens de l'étude, mais que si on en consomme trop les composés odorants suivent !
Les odeurs corporelles, c'est toute une science.
Si l'odeur de vos frère et sœur vous est insupportable, c'est plutôt normal et sain (en général)....
C'est interprété comme une façon d'éviter l'inceste, qui n'est pas bénéfique sur le plan évolutif.
www.scienceshumaines.com/l-odeur-de-l-affection_fr_2702.html
Ce phénomène peut être facilement source de complexes.
PS Cela veut donc dire par ailleurs l'on peut capturer l'odeur d'un prout...
Il faut en parler à Dracula.
Ce qui me stupéfie :
1 l'idée de faire cette recherche
2 trouver le budget
3 la mettre en œuvre ( des mecs qui croquent les gousses et les filles qui reniflent)
Les Tchèques sont riches, farfelus ou ont de l'humour voire les trois ensemble.
C'est peut-être valable pour les Tchèques mais comme le fait d'apprécier certaines odeurs est culturel, il faudrait refaire cette étude dans d'autres pays avant de conseiller aux gens de manger beaucoup d'ail...
Ce n'est pas le bulbe d'ail qui est apotropaïque mais la fleur d'ail. La fleur d'ail est la tige et la fleur qui sortent de terre si on laisse germer le bulbe. Toutefois, on peut également la consommer cru ou cuite et c'est délicieux. Cela ne donne pas mauvaise haleine mais cela fait fuir les vampires.
Bonjour
Pour rester dans le thème je crois que c’est en Chine ( anecdote du 16/06/15) qu’il existe le métier de renifleur de pets.
Grâce à l’odeur dégagée ils arrivent à te faire un bilan de santé complet. Et en plus ils tournent aux alentours de 50€K par an.
Et nous ici on se fait chier avec des piqûres et autres examens médicaux...
Quid de l’analyse après ingestion de mogette ou d’artichauts?
Déceler des calculs rénaux dans un pet immonde me paraît plutôt hasardeux !
Ayant était dégoûté par l’odeur des gâteaux après avoir travaillé dans une usine (de gâteau) , je me demande ce qu’il en ai pour ces "renifleurs" ...
Parlons d’ail puisque c’est le thème, comme le précise @Nicontrarié, le germe a son importance puisqu’il renferme une grande quantité de souffre et donc responsable de l’odeur en partie
Ce qui est dommage avec ce genre de source c'est qu'on ne sait pas trop ce que ça vaut.
L'ail fait transpirer. Ils ont collecté 12h de transpiration avec des patch mais comment ont ils extrait les échantillons !? Mystère. On pourrait penser qu'une même quantité de bactéries dans un plus grand volume d'eau de transpiration (inodore) suffit à diluer les échantillons et a amener à ces odeurs moins marquées.
Après est-ce que la source de l'effet antibactérien de l'ail peut être transportée par la transpiration et tuer une partie des bactéries de la peau sources des mauvaises odeurs.. mystère encore.
Cela dépends des traditions et coutumes... Ces femmes de ces pays préfèrent l ail que la puanteur des aisselles... Cela ne leur est pas venu a l idée ? En effet... Si l on mange de l ail le matin... Je vous assure que l on sent beaucoup l ail les premiers jours puis la même quantité durant des mois et des mois et on sent un peu moins... Mais on sent toujours un peu (oui une connaissance adore l ail et en mange tous les matin en grande quantité sur des tartines depuis ses années, elle croit fort aux effets de l ail).
Perso je digère très bien l'ail et je transpire très peu(après le dernier qui m a vu courir n'est pas jeune pour citer Coluche encore et on s en fou^^) néanmoins pour avoir connu des personnes ayant ce problème (j'elude volontairement cette cause différente comme le stress: le coeur bats plus vite donc au final le flux sanguin également) j'ai pu lire pas mal d articles sur le sujet.
Ça peut vraiment pourrir une vie ce type de problème bénin, autant profiter du site pour partager le fond du problème ça peut aider (notamment les proches des personnes ayant le problème car l'odeur quand on baigne dedans on s'en rend plus compte... Sauf dégoût comme la personne ayant bossé dans une pâtisserie ici, une sucrerie-intenable pour moi même 5 mn- ou autre car justement elle baigne pas dedans au point que son cerveau n'annihile sa réceptivité en revenant à la "normale" la moitié du temps)
Bref juste complément (sur un super commentaire car il m'a fait m'interroger sur plein de points). Et si un médecin/médical pense que j'ai dit une connerie (synthèse empirique de ce que j ai lu), hésitez pas à me corriger, suis preneur.
Je savais déjà. C'est pourquoi avant de sortir en boîte à l'époque d'avant, je mangeais toujours une dizaine de gousses d'ail, pour toujours avoir les aisselles fraîches.