Le Radeau de la Méduse, célèbre tableau de Géricault, est condamné à disparaître à cause d'un pigment noir à base de bitume utilisé par le peintre français. Ce pigment n'a jamais séché et s'est répandu dans les couches de la peinture. Beaucoup de tableaux de la même époque en contiennent et vont noircir peu à peu jusqu'à devenir très sombres.
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J'ai été au Vatican la semaine dernière et au musée du Vatican beaucoup de tableaux sont tes sombres, ça m'a fait penser à cette anecdote...
Et si vous regardez bien les personnages ont des chaussettes ou les pieds dans l'eau car le peintre ne savait pas dessiner les pieds !!!
Non ce n'était pas le radeau, de la méduse ce bateau...
Ça peut paraître stupide, mais le mettre a plat ne pourrais pas ralentir la propagation du pigment? (Après on peut faire un système de loupe ou je sais pas quoi pour le voir)
Je crois que c'etait le cas de la Joconde mais je crois aussi qu'il y a des gens pour réparer cela non??corrigé moi si je me trompe
Avez vous déjà remarqué que tous les personnages se trouvant sur le radeau dissimulent leurs pieds ou portent des chaussettes? En effet le peintre ayant beaucoup de mal à dessiner cette partie du corps décida de la cacher !
Il n'y a aucun moyen de l'empêcher ?
Je vous conseil de lire l'histoire du naufrage de la méduse
En gros, la frégate, qui transporte le nouveau gouverneur du Sénégal et sa femme, des scientifiques, un futur explorateur, Gaspard Theodore Mollien, l'écrivaine Charlotte-Adelaide Dard, son père et des colons, a un capitaine (un homme incompétent) qui a eu le poste alors qu'il n'a pas navigué depuis longtemps.
Il va commettre pas mal de bourdes jusqu'au 2 juillet 1816, la frégate va s'échouer à 60 km des côtes de l'actuelle Mauritanie.
Après plusieurs tentatives ils n'arrivent pas à le remettre à flot, l'équipage construit un radeau de 20x7m récupérant des morceaux de bois des mâts afin d'y entreposer du matériel afin d'alléger la frégate.
Mais une tempête arrive et les officiers décident d'abandonner le navire.
Le 4 juillet, les officiers et les passagers de marque s'installent dans les 6 canots de sauvetage et remorquent le reste de l'équipage (151 ou 152 personnes dont 1 femme cantinière) sur le radeau. 14 personnes restent quand même sur la méduse, seulement 3 seront retrouvées en vie le 4 septembre.
Bref, les chaloupes ne tirent plus le radeau (largage volontaire?) qui part à la dérive.
Pendant 13 jours, se passe noyades, bagares, mutineries, cannibalisme... .
Ils seront enfin sauvés (enfin 15 d'entre eux) et rejoindront saint Louis au Sénégal (5 décèderont avant)