La pisaure admirable est une bonne mère mais une mauvaise compagne

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La pisaure admirable est une araignée qui doit son nom au soin qu'elle apporte à sa progéniture. Contrairement à ses homologues, elle va les transporter dans un cocon en soie, puis va les poser dans une toile qui servira de nurserie pendant qu'elle les protégera. Elle est moins prévenant avenante avec le mâle, qu'elle dévore généralement après l'accouplement.

Le mâle a développé un stratagème : il lui offre une mouche emballée en guise de cadeau, et pendant que celle-ci mange la mouche, le mâle s'accouple. Parfois la femelle accepte le cadeau et s'enfuit, laissant le mâle légèrement désabusé.


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a écrit : Anecdote entendue hier sur RTL vers 21h, sacré coïncidence ! Il l'a entendu et l'a posté ici c'est bien tant mieux, t'es jaloux ?

a écrit : A aucun moment le commentaire d'oceantrotter n'appelait une réponse aussi hautaine. La courte phrase de TybsXckZ questionne forcement. C'est un peu comme dire que les lions dévorent les lionceaux en omettant de dire qu'il s'agit de lionceaux d'autres lions. Dans la plupart des cas d'animaux dévorant les femelles il ne s'agit pas de "leur" femelle tout simplement. Afficher tout Ta culture générale est épatante!! Je me répète mais je suis vraiment surpris de voir a chaque anecdote des précisions si intéressantes de ta part :)

D'ailleurs dans certains cas le mâle apporte une petite mouche empaquetée très serrée, et s'occupe de la femelle pendant qu'elle deballe son cadeau. Si il a le temps de finir avant que la femelle ne réussisse a déballer, il récupère même le paquet et s'enfuit avec. A noter que la femelle est beaucoup plus grosse que le mâle

a écrit : Il semblerait que cela arrive chez certaines espèces lorsque les femelles sont plus nombreuses que les mâles. Ces derniers choisissent celles avec qui ils veulent s’accoupler et parfois les dévorent si elles ne leur conviennent pas. Peu d’études sont présentes sur le sujet, mais cela pourrait être de la sélection forcée pour avoir la meilleure descendance.
Les fourmis se font tuer ou se suicident bien quand elles ont des malformations ou sont blessées. Il s’agit d’espèces d’animaux où le nombre d’individus n’est pas un problème, car ils se reproduisent vite et beaucoup. Par contre, propager une malformation génétique peut devenir vite catastrophique pour l’espèce. Il s’agit bien entendu d’interpolations de ma part.
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C'est plus une question de taille que de nombre. Si la femelle est plus grande/grosse, comme cela arrivé chez les insectes et les araignées, elle mange le mâle après ou même pendant l'accouplement

a écrit : Ben c'est ce que je disais, c'est spécial le monde des insectes et des araignées. Ce qui est normal pour eux ne l'est pas pour nous. Nous, on tue nos proies avant de les manger, c'est plus pratique, quoi! ^^

Un exemple simple pour appuyer ton commentaire: ces sA.....ies de mouches, elle
s savent qu'elles ont une chance sur deux de mourir en venant me faire ch... mais elles le font quand même parce que pour leur espèce, ça vaut quand même le coup, et celles qui survivent à ma main donneront une génération de mouches plus aptes à venir nous bouffer la sueur sur le dos^^

BREF, il suffit de les observer, les insectes, pour se rendre compte que ce que tu dis est absolument vrai.

L'humain, c'est plus une erreur de la nature qu'autre chose, on a une fâcheuse tendance à ne penser qu'à notre gueule contrairement au règne du vivant, mais bon, on verra bien où ça va nous mener, jusqu'ici, ça va, on survit, quoi!^^
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L’humain n’est pas vraiment une erreur de la nature, même si je vois où tu veux en venir, on a tendance à tout bousiller et saloper dans notre environnement...
Déjà l’espèce humaine est presque indispensable à la survie des autres espèces (et inversement les autres espèces sont indispensables à la nôtre) soit parce qu’on les a domestiqués (bétails, animaux de compagnie) soit parce qu’ils vivent de notre activités/déchets organiques (pigeons/rats par ex) . Même si beaucoup d’espèces se porteraient bien mieux sans nous, d’autres n’auraient pas survécu ou ne pourrait pas survivre longtemps sans nous. Dans un écosystème tout ce qui n’est pas utile ou fiable disparaît, et chaque espèce régule une autre, même si encore une fois, les humains ont tendance à réguler beaucoup trop :)
Par rapport a d’autres animaux ayant bien plus de qualités physiques que nous, notre force a été notre capacité d’adaptation et surtout de réflexion, ce qui nous a permis de sortir de l’état sauvage, bâtir des systèmes de société et des civilisations plus « évoluées » que ceux des fourmis ou des abeilles. Les animaux sauvages, bien que doués de conscience, ne vivent que par instinct, et donc l’instinct les pousses à se nourrir, se reposer et surtout à se reproduire, bien souvent le plus possible et le plus rapidement possible (en fonction des attributs de chacun) pour perpétuer l’espèce. Nous les humains, nous avons un peu encadré tout cela, nous sommes présent déjà sur toutes les parties du globe, et sommes capable de comprendre plus ou moins notre environnement. Alors oui on fait des enfants, mais pas de la même façon et dans la même optique que les autres espèces (même si le but premier est bien la continuité de l’espèce)

a écrit : L’humain n’est pas vraiment une erreur de la nature, même si je vois où tu veux en venir, on a tendance à tout bousiller et saloper dans notre environnement...
Déjà l’espèce humaine est presque indispensable à la survie des autres espèces (et inversement les autres espèces sont indispensables à la nôtre) soit par
ce qu’on les a domestiqués (bétails, animaux de compagnie) soit parce qu’ils vivent de notre activités/déchets organiques (pigeons/rats par ex) . Même si beaucoup d’espèces se porteraient bien mieux sans nous, d’autres n’auraient pas survécu ou ne pourrait pas survivre longtemps sans nous. Dans un écosystème tout ce qui n’est pas utile ou fiable disparaît, et chaque espèce régule une autre, même si encore une fois, les humains ont tendance à réguler beaucoup trop :)
Par rapport a d’autres animaux ayant bien plus de qualités physiques que nous, notre force a été notre capacité d’adaptation et surtout de réflexion, ce qui nous a permis de sortir de l’état sauvage, bâtir des systèmes de société et des civilisations plus « évoluées » que ceux des fourmis ou des abeilles. Les animaux sauvages, bien que doués de conscience, ne vivent que par instinct, et donc l’instinct les pousses à se nourrir, se reposer et surtout à se reproduire, bien souvent le plus possible et le plus rapidement possible (en fonction des attributs de chacun) pour perpétuer l’espèce. Nous les humains, nous avons un peu encadré tout cela, nous sommes présent déjà sur toutes les parties du globe, et sommes capable de comprendre plus ou moins notre environnement. Alors oui on fait des enfants, mais pas de la même façon et dans la même optique que les autres espèces (même si le but premier est bien la continuité de l’espèce)
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Plusieurs observations sur ton commentaire :
— Nous sommes indispensables aux bétails, car nous avons créé ces espèces par sélection forcée. Pas d’humain = pas de bétail à la base.
— Il s’agit, je crois, d’une légende urbaine sur les chats, chiens, rats et pigeons qui ne survivraient pas sans nous. Les chats sauvages se portent très bien, les rongeurs dans les campagnes également. Certains pigeons vivent très bien dans la nature. Les chiens et chats domestiqués évidemment ne survivraient pas, mais ils ont également été créés par l’homme par sélection forcée.
Pas d’humain = plus de nourriture abondante, mais pas forcément d’extinction des rats ou des pigeons
— Dire que notre civilisation est plus évoluée qu’une société de fourmi ou d’abeille se base sur des critères tout à fait humain et pas tellement rationnel. Si l’on considère qu’être une société évoluée c’est faire en sorte que celle-ci perdure dans le temps dans les meilleures conditions possible alors la société humaine est tout sauf évoluée.
— Nous sommes présents partout, certes (et encore on connait très peu le fond des océans), mais dire que nous comprenons parfaitement notre environnement est faux. Il suffit de voir le nombre d’études contradictoires ou biaisées sur l’environnement et les changements climatiques pour s’apercevoir que l’on est très loin de comprendre comment fonctionne notre environnement. Nous connaissons les grands rouages, mais certainement pas l’ensemble des intrications.

a écrit : L’humain n’est pas vraiment une erreur de la nature, même si je vois où tu veux en venir, on a tendance à tout bousiller et saloper dans notre environnement...
Déjà l’espèce humaine est presque indispensable à la survie des autres espèces (et inversement les autres espèces sont indispensables à la nôtre) soit par
ce qu’on les a domestiqués (bétails, animaux de compagnie) soit parce qu’ils vivent de notre activités/déchets organiques (pigeons/rats par ex) . Même si beaucoup d’espèces se porteraient bien mieux sans nous, d’autres n’auraient pas survécu ou ne pourrait pas survivre longtemps sans nous. Dans un écosystème tout ce qui n’est pas utile ou fiable disparaît, et chaque espèce régule une autre, même si encore une fois, les humains ont tendance à réguler beaucoup trop :)
Par rapport a d’autres animaux ayant bien plus de qualités physiques que nous, notre force a été notre capacité d’adaptation et surtout de réflexion, ce qui nous a permis de sortir de l’état sauvage, bâtir des systèmes de société et des civilisations plus « évoluées » que ceux des fourmis ou des abeilles. Les animaux sauvages, bien que doués de conscience, ne vivent que par instinct, et donc l’instinct les pousses à se nourrir, se reposer et surtout à se reproduire, bien souvent le plus possible et le plus rapidement possible (en fonction des attributs de chacun) pour perpétuer l’espèce. Nous les humains, nous avons un peu encadré tout cela, nous sommes présent déjà sur toutes les parties du globe, et sommes capable de comprendre plus ou moins notre environnement. Alors oui on fait des enfants, mais pas de la même façon et dans la même optique que les autres espèces (même si le but premier est bien la continuité de l’espèce)
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Quand je disais que l'humain est -plutôt- une erreur de la nature, c'est par le fait que l'humain est la seule espèce au monde à mettre autant d'efforts pour s'affranchir des règles de la nature.
C'est bien évidement lié à nos facultés mentales assez élevées ainsi qu'à nos civilisations, les règles de la natures nous paraissent insupportables alors on fait tout ce qu'on peut pour les contrer, les animaux souffrent aussi mais ne peuvent pas y faire grand chose.
Le souci, c'est qu'on en fait... TROP! nos villes sont trop grosses, on bouffe trop, on rêve trop, on s'acharne trop à survivre coûte que coûte (l'affaire Lambert, exemple criant) et la nature en souffre, d'où l'erreur.
Et le pire, c'est que même dans la mort nous reffusons souvent les règles de la nature. C'est quoi cette manie de se faire embaumer et enfermer dans un trou en béton étanche? Ca serait pas plus chouette de rendre un peu à la nature de ce qu'on lui a pris en se faisant enterrer sous un arbre (c'est possible m'enfin c'est pas évident et c'est bien plus cher qu'un caveau... moi pas comprendre pourquoi!^^)?

Ah ces humains, toujours à faire l'inverse de ce qu'il faudrait faire! Cela dit, comme le disait O'neil: On fait du mieux qu'on peut (pour devenir la cinquième race). ^^ Notre façon de vivre moderne est très jeune, j'ose espérer qu'un jour on redeviendra ami avec la nature, sans pour autant abandonner le confort et la sécurité que peut nous offrir le progrès technologique.

a écrit : Plusieurs observations sur ton commentaire :
— Nous sommes indispensables aux bétails, car nous avons créé ces espèces par sélection forcée. Pas d’humain = pas de bétail à la base.
— Il s’agit, je crois, d’une légende urbaine sur les chats, chiens, rats et pigeons qui ne survivraient pas sans nous. Les
chats sauvages se portent très bien, les rongeurs dans les campagnes également. Certains pigeons vivent très bien dans la nature. Les chiens et chats domestiqués évidemment ne survivraient pas, mais ils ont également été créés par l’homme par sélection forcée.
Pas d’humain = plus de nourriture abondante, mais pas forcément d’extinction des rats ou des pigeons
— Dire que notre civilisation est plus évoluée qu’une société de fourmi ou d’abeille se base sur des critères tout à fait humain et pas tellement rationnel. Si l’on considère qu’être une société évoluée c’est faire en sorte que celle-ci perdure dans le temps dans les meilleures conditions possible alors la société humaine est tout sauf évoluée.
— Nous sommes présents partout, certes (et encore on connait très peu le fond des océans), mais dire que nous comprenons parfaitement notre environnement est faux. Il suffit de voir le nombre d’études contradictoires ou biaisées sur l’environnement et les changements climatiques pour s’apercevoir que l’on est très loin de comprendre comment fonctionne notre environnement. Nous connaissons les grands rouages, mais certainement pas l’ensemble des intrications.
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Je suis d’accord avec vos deux réponses (la tienne et celle de Nicocomputer), j’aurais du plus détaillé !
Je voulais surtout appuyer sur la reproduction de façon à maintenir l’espèce, et non pas que le bien fondé ou non des sociétés modernes ultra-industrielles et individualiste. Par société évoluée j’entendais surtout les choses genre rayon laser, informatique, sécurité sociale etc, tu as compris ou je voulais en venir ;)
Pour le bétail et les animaux de j’ai dis que leur survie dépendait de nous à cause de la domestication, il est certainement trop tard pour revenir en arrière, si l’humain disparaissait alors une grande partie de ces animaux aussi, trop peu habité à la vie sauvage, et aux prédateurs. Il y a bien sûr des rats, chiens, chats, volatiles et autres a l’état sauvage qui se portent à merveille. Mais la nature régule tout, j’ai utilisé le mauvais terme en parlant de survie, j’aurai du dire que leur prolifération ( donc reproduction, donc continuité et expansion de l’espèce) est favorisé par l’espèce humaine.
Je ne pense juste pas que l’humain soit une erreur de la nature, il en résulte logiquement, et le « progrès » fait parti de l’évolution. Chaque espèce est adapté à son environnement, mais l’humain plus particulièrement parce qu’il est capable d’aller bien au delà de ce qu’il devrait pouvoir supporter (on a pas colonisé les océans ou l’espace mais on est capable d’y aller/il y a des humains vivant sous tous les types de climat même les plus extrêmes) et c’est ce que je signifiait quand je parlais de comprendre son environnement.
Ce qui diffère les humains d’autres espèces c’est que les espèces se reproduisent et s’organisent dans le but ultime de continuer et expandre l’espèce au maximum, ce que d’autres espèces vont réguler en essayant d’expandre la leur, et ainsi de suite.
Chez l’humain c’est différent, même si c’est la majorité des cas, tout le monde ne veut pas fonder une famille et donc perpétuer son espèce parce qu’il ne se sent pas animé par cette volonté. Dans les sociétés modernes et occidentales (car les mœurs de société diffèrent) nous ne nous servons plus des enfants comme d’une main d’œuvre possible, on soigne les malades et les handicapés, non pas comme les fourmis, on fait des enfants par « amour » dans la plupart des cas et non dans le seul but de se reproduire. Un enfant c’est également une charge de temps et d’argent. L’être humain ne se reproduit plus tellement par nécessité (même si il y’a au fond un tas de facteurs instinctifs et sensorielles qui explique les sentiments etc)

a écrit : Ben non justement. Si la sélection naturelle a sélectionné ce système c'est qu'il est suffisamment performant. Tu crois pouvoir battre des millions d'années d'évolution en te documentant et en réfléchissant pendant 5 minutes ? (Ou peut-être tu n'y as consacré que quelques secondes ?). Les araignées étaient sur Terre bien avant l'homme alors elles n'ont pas besoin de conseils pour savoir comment perpétuer l'espèce. Afficher tout Je passe sur la deuxième partie de ton com, j'ai vu que tu t'étais fait bien réprimander déjà ^^

Mais j'avais une omission à faire sur ton affirmation. Est-ce qu'une pratique développée par une espèce est forcément un avantage évolutif ? Je ne suis pas si sûr que le lien soit systématique.
Est-ce qu'il n'y aurait pas des comportements, attributs, ou organes qui soient.. juste un truc exprimé par un gène qui s'est propagé rapidement chez une espèce sans que cela ne perturbe sa survie ?
(Je pose les questions naïvement mais ça ne sort pas de nulle part : il me semble avoir déjà entendu ça dans les vidéos sur l'évolution dans le cours de Richard Monvoisin à l'université de Grenoble, visionnable sur youtube en tapant ces mots clés normalement. Cours ayant le nom Zététique et autodéfense intellectuelle)

a écrit : Il faut voir ici le mot „prévenant“ en tant qu‘adjectif et „avenante“ comme nom féminin. Il s‘agit donc ici de comprendre que cette araignée, par ses manières de plaire, ne montre pas de prévenance envers le sexe masculin de son espèce.

Même si grammaticalement la tournure est juste, elle n‘en reste pas mo
ins inhabituelle et quelque peu confuse au premier regard. Afficher tout
Ou alors c'est juste un mot oublié au moment du changement de terme dans la phrase... Une seule lettre à été supprimée à "prévenante", signe d'une volonté inachevée d'effacer le mot

a écrit : Je passe sur la deuxième partie de ton com, j'ai vu que tu t'étais fait bien réprimander déjà ^^

Mais j'avais une omission à faire sur ton affirmation. Est-ce qu'une pratique développée par une espèce est forcément un avantage évolutif ? Je ne suis pas si sûr que le lien soit systématiq
ue.
Est-ce qu'il n'y aurait pas des comportements, attributs, ou organes qui soient.. juste un truc exprimé par un gène qui s'est propagé rapidement chez une espèce sans que cela ne perturbe sa survie ?
(Je pose les questions naïvement mais ça ne sort pas de nulle part : il me semble avoir déjà entendu ça dans les vidéos sur l'évolution dans le cours de Richard Monvoisin à l'université de Grenoble, visionnable sur youtube en tapant ces mots clés normalement. Cours ayant le nom Zététique et autodéfense intellectuelle)
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Je n'ai pas dit non plus que chaque caractéristique est forcément un avantage, elle peut être aussi neutre. En tout cas elle ne peut pas être défavorable. Tu as tout à fait raison de dire que la condition pour qu'elle subsiste, c'est qu'une caractéristique ne doit pas perturber la survie de l'espèce. C'est pourquoi, si on réfléchit un tout petit peu pour éviter d'écrire n'importe quoi, on ne juge pas qu'une caractéristique présente chez une espèce très ancienne pourrait être mauvaise pour sa survie. Et si on ne réfléchit pas plus que ça, ça explique que l'homme court à sa perte. L'homme n'est pas une espèce très ancienne et clairement elle est sur son déclin et va bientôt disparaître. Et quand on voit la profondeur de réflexion de certains commentaires on comprend pourquoi.

La femelle de l’homme utilise aussi des stratagèmes de cette nature :-)