Les médecins ont longtemps pensé que le système nerveux des bébés était peu développé et qu'ils ne ressentaient pas la douleur ou bien qu'elle était oubliée aussitôt. C'est pourquoi on les opérait sans anesthésie, pour éviter les risques liés à cette pratique. C'est seulement en 1987 qu'une étude a démontré que le système nerveux des nourrissons véhiculait les messages liés à la douleur.
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Elle peut encore être viable pour certains cas, mais cette pratique était utilisée à tort et à travers par la médecine à cette époque : oui, la science peut se gourer, même de nos jours. (Bien que les avancées technologiques réduisent un peu ses erreurs)
La fiente de cochon était par exemple utilisé pour les blessures et les pustules, je vous laisse imaginer l'état d'une plaie ouverte après quelques jours de "traitement"...
Une histoire de fric ? Pour le Levothyrox par exemple et le changement de la formule qui a causé un certain nombre d'effets secondaires ? A vrai dire, je n'en sais rien si c'est un problème d'argent.
Ce qu'on sait par contre, c'est que la modification de la formule a été imposée par l'ANSM au laboratoire Merck afin de garantir une teneur plus constante en substance active d'une boite à l'autre car des différences ont été constatées (à la fois dans le temps et sur différents lots). Ils ont donc modifiés les excipients afin de garantir une meilleur tenue de la molécule active à savoir la levothyroxine. Ils ont remplacé le lactose par du mannitol qui normalement a moins d'effets secondaires et rajouté de l’acide citrique anhydre qui agit comme conservateur de la molécule.
Donc à première vue, dire que les labos, ce sont de gros méchants qui veulent juste faire de l'argent, je ne crois pas. Cela reste des entreprises devant faire des bénéfices. Continuer à faire des bénéfices réside aussi dans la confiance des clients pour le produit donc ils ont tout intérêt à soigner les gens et à ne pas les tuer.
Si pour les plantes, vous parlez d'homéopathie, alors je suis content que cela fonctionne sur vous car je ne crois pas une seule seconde à son efficacité (bien que réelle) autre que placebo.
Même plus tard que les années 1970 en fait. Je suis née en 1996 à l'Hôpital Robert Debré (pourtant réputé pour les enfants) et j'ai eu une ponction lombaire le lendemain de ma naissance. À la demande de ma mère si j'avais eu une anesthésie (parce qu'on ne l'a prévenu qu'après l'avoir fait en passant) on lui a répondu : "Non, ce n'est pas la peine, à cet âge on ne ressent pas la douleur"
Elle avait quand même été un peu étonnée
Ils se foutent vraiment du monde.
La démonstration fut faite en 1987 mais je suppose que (tout du moins en france;-)) les nourrissons étaient anesthésiés.
Je n’ai pas la curiosité de vérifier la nationalité de l’étude.
Cette anecdote m'interpelle ayant moi-même été opéré quelques jours après ma naissance, thorax ouvert, pendant 5 heures, à une époque où, donc, je n'aurais pas été anesthésié. J'ai du mal à croire que non seulement je ne l'étais pas, mais en plus je ressentais tout alors que je ne bougeais ni ne criais. Alors vous me direz que peut-être étais-je anesthésié, mais d'après l'anecdote, le contraire aurait été monnaie courante. Mais si l'on ouvrait vraiment les nourrissons "à vif", sans aucune réaction observable (ce qui, déjà, serait surprenant), sur quelle base a-t-on pu dire que, en fait, il souffraient bien ?
On a marché sur la lune sans même savoir qu'un bébé pouvait avoir mal quand on l incise sans anesthésie..... Voila voila voila
WtF c'est horrible! il y a vraiment des c... partout!
Au passage, ce n'est pas la peine d'être aussi agressif hein ;)
Quelle horreur! Cela veut dire que les bébés qui sont avortés doivent souffrir le martyre car ils ne sont pas endormis avant d'être aspirés.
Euh... il suffit de pincer un nourrisson pour qu il se mette à hurler. Ca paraît peut etre simpliste dit comme ca, on peut penser que les medecins avaient leurs raisons bien plus profondes mais quand meme... jose à peine imaginer comment ils ont pu rester insensible en incisant des bebes et les operant en le voyant hurler (meme sils hurlent tout aussi fort quand ils ont faim)