Après la mort, les spermatozoïdes restent vivants

Proposé par
le
dans

36 heures après la mort, la putréfaction du corps commence, le cadavre prend une teinte verte, perd sa rigidité et devient flasque. Chez l'Homme, c'est le moment où les spermatozoïdes sont également tous morts. En effet, ils peuvent survivre entre 12 et 36 heures après la mort. Un cadavre peut donc être prélevé de sa semence et donner naissance à un enfant, ce qui s'est déjà produit, notamment aux Etats-Unis.


Tous les commentaires (98)

a écrit : C'est en tout cas le chemin emprunté par notre société occidentale, la bien-pensance comme cheval de bataille sur tous les sujets, quitte à oublier l'humour, l'autodérision, la science, les faits et notre liberté d'opinion. La dysphorie de genre est un fait scientifique.
La catégoriser comme un caprice n’est pas une blague. Ou alors il faudrait démontrer le ressort comique.
La liberté d’opinion est comme toutes les libertés. Elle commence là où s’arrête celle du voisin.

Si pour vous, on doit parler de bien-pensance ou de politiquement correct quand on s’oppose à la stigmatisation d’une partie de la population à l’aide de blague et de commentaires péjoratifs, alors oui, je suis bien pensant.

a écrit : La dysphorie de genre est un fait scientifique.
La catégoriser comme un caprice n’est pas une blague. Ou alors il faudrait démontrer le ressort comique.
La liberté d’opinion est comme toutes les libertés. Elle commence là où s’arrête celle du voisin.

Si pour vous, on doit parler de bien-pe
nsance ou de politiquement correct quand on s’oppose à la stigmatisation d’une partie de la population à l’aide de blague et de commentaires péjoratifs, alors oui, je suis bien pensant. Afficher tout
Et heureusement que ces minorités (peu importe leur point commun) ont souvent bien plus d'humour et de recul sur eux-mêmes que l'ensemble des pseudo-intellectuels qui essayent de rendre la société meilleure en pensant pour les autres.

Coluche et Desproges nous font rire encore aujourd'hui alors qu'ils seraient interdit d'antenne par le CSA si leur sketch avaient été écrit en 2018 et ils se moquaient de la société en générale, de ces minorités, de ces majorités, de ces défauts et de ces qualités.

Pour moi la bien-pensance est un phénomène bien plus dangereux que les bienfaits qu'elle apporte soi-disant. L'humour permet la remise en question, le questionnement sur soi mais permet également de défendre son point de vue et d'en combattre d'autres.

a écrit : Personnellement je n’ai pas vraiment d’avis sur la théorie des genres multiples et infinis. A mon avis, si pour être heureuse une personne doit se définir comme homme cis-homosexuel les jours pairs, comme femme trains-hétérosexuel les jours impairs et comme asexuée type poêle à frire les jours fériés, pourquoi devrait-on l’en empêcher ? Qu’il y est une réalité physiologique (génétique, éducation, traumatisme) derrière ce besoin ou pas , la souffrance elle est bien réelle. Qu’est-ce que ça peut bien coûter d’accorder aux gens le droit de se définir comme ils le souhaitent tant qu’on reste dans le cadre de la loi et que c’est salvateur pour les personnes concernées ?
Je fais personnellement une distinction entre le sexe qu’on a l’impression avoir et les préférences sexuelles. Si tu te définis comme une femme (alors que tu es biologiquement un homme) et que tu aimes les femmes, tu te définiras comme homosexuelLE.
Je me répète encore mais faut faire la différence entre ceux qui se posent vraiment des questions et ceux qui ont un avis immuable du type « c’est un caprice ». Pour ma part je pense qu’il n’existe pas de questions bête.
D’ailleurs c’est pas parce que je dis ce que je dis que je suis un fervent défenseur des SJW que je trouve pour la plupart complètement stupides et illogiques (cf le très connu « je ne suis pas un homme, Monsieur. »)

Pour ta dernière question, tu peux aller te renseigner sur le net à propos de la paraphilie.
C’est une notion assez vague qui permet de « classer » les différentes déviances sexuelles par rapport à une norme. L’homosexualité a été pendant longtemps considéré comme une paraphilie. Certaines paraphilie sont illégales comme la pédophilie ou la zoophilie.
Afficher tout
Merci pour la réponse intelligente ;)
Ca a un peu répondu à ma curiosité.

Pour la question sur la pedophilie et l'interprétation personnelle qu'ils (les pedophiles) en font, c'est car dans mon travail nous sommes de plus en plus amenés à cotoyer des personnes qui justifient leurs actes par ce biais (un enfant emprisonné dans un corps d'adulte, donc c'est pas grave)

Sachant qu'il y a quelques années, quand j'ai commencé à y travailler, ils justifiaient cela par des "y a pas de mal à se faire du bien" ou "mais je lui faisais du bien"
on se demande donc discrêtement, car dans un tribunal c'est toujours un peu feutré, si c'était pas un peu une tentative de récupération de l'influence LGBTQ pour en faire du LGBTQP...
A voir dans l'avenir, mais quand on entend certains propos (sur le net ou ailleurs) on est en droit de s'inquieter.

Merci en tout cas ;) paraphilie , je connaissais pas JMCMB

a écrit : Merci pour la réponse intelligente ;)
Ca a un peu répondu à ma curiosité.

Pour la question sur la pedophilie et l'interprétation personnelle qu'ils (les pedophiles) en font, c'est car dans mon travail nous sommes de plus en plus amenés à cotoyer des personnes qui justifient leurs actes
par ce biais (un enfant emprisonné dans un corps d'adulte, donc c'est pas grave)

Sachant qu'il y a quelques années, quand j'ai commencé à y travailler, ils justifiaient cela par des "y a pas de mal à se faire du bien" ou "mais je lui faisais du bien"
on se demande donc discrêtement, car dans un tribunal c'est toujours un peu feutré, si c'était pas un peu une tentative de récupération de l'influence LGBTQ pour en faire du LGBTQP...
A voir dans l'avenir, mais quand on entend certains propos (sur le net ou ailleurs) on est en droit de s'inquieter.

Merci en tout cas ;) paraphilie , je connaissais pas JMCMB
Afficher tout
Je ne pense pas qu’on doivent mettre en relation le droit de choisir son sexe avec une montée de la pedophilie.
Un adulte pourra toujours dire qu’il se sent enfant dans un corps d’adulte, il n’empêche qu’au yeux de l’enfant il incarne un adulte. Je ne connais pas grand chose en droit, mais quelque soit les arguments émis par le pedophile, la relation avc l’enfant reste asymétrique et propice aux abus de faiblesses. Ce qui fera toujours débat, c’est l’age a partir duquel on peut exprimer son consentement...

Il se peut tout à fait que le pedophile dise la vérité. Mais ça ne change rien au fait que sa paraphilie est complètement illégale et dangereuse pour la société. A mon avis, (et il s’agit d’un simple avis, à ne pas lire hâtivement pour ensuite m’accuser de dire qu’accepter l’un c’est accepter l’autre), la pedophilie n’est pas innée mais acquise, au même titre que l’homosexualité. C’est à dire qu’on ne naît pas pédophile et qu’on ne naît pas homosexuel. Je pense que c’est l’environnement dans lequel on grandit qui conditionne notre développement/construction en tant qu’individu (de manière plus complexe qu’un simple : un garçon qui joue avec des poupées devient gay).
Quand on devient homosexuel, on ne fait de mal à personne et on peut vivre sa sexualité de manière épanouie.
Quand on devient pedophile, on est forcément hors la loi si on veut vivre sa sexualité de manière épanouie. On est condamné à en souffrir. A mon sens on peut alors parler de construction pathologique.

Est-il possible de rendre un homosexuel hétérosexuel ? J’aurais tendance à dire que non car ça reviendrait à déconstruire un individu pour le reconstruire différemment. De la même manière je pense qu’on ne peut pas « soigner » la pedophilie.
Existe-t-il des moyens de permettre aux pedophiles de vivre une sexualité épanouie ? J’aurais tendance à dire que non. Peut-être pourrait on chercher du côté de la réalité virtuelle dans une optique de catharsis. J’en sais rien je n’oserais pas trop m’avancer sur ce genre d’idées. Mais quelque part ça serait horrible de ne proposer aucune alternative aux pedophiles n’etant pas passé à l’acte que la castration chimique. (Ce qui reste toujours mieux que la peine de mort dans certains pays).

C’est un véritable sujet de réflexion, que je trouve passionnant mais casse gueule. A ne pas aborder avec n’importe qui et n’importe comment sous peine d’etre taxé de monstre.

a écrit : Puisque vous semblez l’ignorer, je vais vous expliquer.
La dysphorie de genre, concept bien connu des psychiatres, peut se traiter de diverses manières et le changement de sexe en fait partie.
Vous êtes ridiculement intolérant. Et vous ne savez pas de quoi vous parlez. Allez donc vous instruire un peu ava
nt de stigmatiser les gens.


P.S. Au cas où vous n’auriez pas compris, il y a bien des gens pour considérer l’homosexualité comme un caprice. Aujourd’hui on les considère comme homophobe. Vous vous êtes un transphobe. Bravo.
Afficher tout
Le changement de sexe n'est pas un traitement efficace. Le taux de suicide est exactement le même avant et après l'opération pour ces patients. Ce n'est pas moi qui ne sais pas de quoi je parle.

Et ne pas vouloir qu'on mine les fondations de la société en inventant des théories à la con par démagogie au lieu de soigner nos malades psychiatriques ne me rend pas intolérant.

Par ailleurs je n'ai toujours pas compris votre attachement à votre histoire de caprice, je parle de maladie depuis le début, vous devriez sérieusement songer à jeter un œil à vos cours de compréhension de texte de collège.

a écrit : Débat intéressant, mais pour lequel un commentaire (Batou78) n'a pas eu de réponses, il est possible de quantifier le nombre de sexe : féminin, masculin et ensuite ?

Je ne troll pas, je suis réellement curieux, je souhaite connaitre comment dénommer ces transgenres avant d'être taxé de suprématis
te mâle blanc ou de transphobe à l'esprit étriqué.
J'ai souvent été rembarré sur cette question, je ne vois pas en quoi elle peut heurter surtout lorsque je la pose justement aux défenseurs de ces X nombre de genres différent (d'ailleurs combien y en a t'il ?)

J'ai appris récemment qu'un enième genre se disait "un enfant dans un corps d'adulte qui aime les enfants" (info ou intox, je trouve ça un peu gros) comment appelle-t'on ce genre si ce n'est pas pédophille ?
Afficher tout
Il y a deux sexes, féminin et masculin. Le reste c'est des gens avec des anomalies génétiques, pas des sexes à part.

a écrit : Il y a deux sexes, féminin et masculin. Le reste c'est des gens avec des anomalies génétiques, pas des sexes à part. C'est pour cela qu'on distingue sexe et genre.

a écrit : Le changement de sexe n'est pas un traitement efficace. Le taux de suicide est exactement le même avant et après l'opération pour ces patients. Ce n'est pas moi qui ne sais pas de quoi je parle.

Et ne pas vouloir qu'on mine les fondations de la société en inventant des théories à la con
par démagogie au lieu de soigner nos malades psychiatriques ne me rend pas intolérant.

Par ailleurs je n'ai toujours pas compris votre attachement à votre histoire de caprice, je parle de maladie depuis le début, vous devriez sérieusement songer à jeter un œil à vos cours de compréhension de texte de collège.
Afficher tout
Je vous cite, sur votre première intervention :
« En ce qui concerne la deuxième, aucun rapport. Je parle de ne pas inventer de concepts qui ne se basent sur rien, pas de caprices »

Pour être compris, encore faut-il s’exprimer correctement.

Ensuite, en quoi le taux de suicide serait un indicateur judicieux pour estimer la pertinence du changement de sexe ?
L’amélioration de la qualité de vie, comment vous l’évaluez ? Le fait de se suicider à la base n’est peut-être pas dû à la dysphorie de genre mais à la pression de la société, qui ne disparaît pas en même temps que ses gonades de naissance...
Baser votre réponse sur un unique indicateur montre une seule chose, vous avez tapé trois mots sur Google et pris le premier graphique qui allait dans votre sens.

Après vos arguments sur la société qu’on mine... C’est du réchauffé, c’est mes même qu’on entendait contre le mariage pour tous. Mais bordel, en quoi ça mine la société de laisser les gens définir leur genre ?

a écrit : Je vous cite, sur votre première intervention :
« En ce qui concerne la deuxième, aucun rapport. Je parle de ne pas inventer de concepts qui ne se basent sur rien, pas de caprices »

Pour être compris, encore faut-il s’exprimer correctement.

Ensuite, en quoi le taux de suicide serait
un indicateur judicieux pour estimer la pertinence du changement de sexe ?
L’amélioration de la qualité de vie, comment vous l’évaluez ? Le fait de se suicider à la base n’est peut-être pas dû à la dysphorie de genre mais à la pression de la société, qui ne disparaît pas en même temps que ses gonades de naissance...
Baser votre réponse sur un unique indicateur montre une seule chose, vous avez tapé trois mots sur Google et pris le premier graphique qui allait dans votre sens.

Après vos arguments sur la société qu’on mine... C’est du réchauffé, c’est mes même qu’on entendait contre le mariage pour tous. Mais bordel, en quoi ça mine la société de laisser les gens définir leur genre ?
Afficher tout
Comme je l'ai dit, c'est de la compréhension de texte niveau collège ou moins. Vous avez introduit vous même la notion de caprice, j'ai dit que je parlais d'une chose, pas de caprices. C'est du français simple, je ne peux rien pour vous si vous ne comprenez pas la langue, on peut éventuellement passer en anglais si vous ne parlez pas français couramment.

Ensuite non, je suis bien plus informé que vous ne semblez le penser. Si le taux de suicide ne chute pas, c'est qu'on n'a rien soigné. Vous pouvez faire dormir un suicidaire sur la soie ça sera confortable mais ca ne résoud rien s'il se suicide.

Par ailleurs non. Les taux de suicides chez les trans pré comme post op sont comparables au taux de suicides chez les juifs sous la persecution nazie. Je ne pense pas que les trans soient pourchassés pour être exterminés et que ca serait la persécution qui justifierait le taux de suicide. Même les gens qui vivent la guerre, la famine et les bombardements n'ont pas de pareils taux de suicide.

On ne peut pas construire la société sur des subjectivités. Il y a deux sexes qui dictent deux catégories d'humains avec leurs besoins et leurs spécificités propres. Essayer de compliquer ça c'est essayer d'éclater la société.

a écrit : C'est pour cela qu'on distingue sexe et genre. Libre à vous de les distinguer si cette théorie farfelue vous plait.

a écrit : Comme je l'ai dit, c'est de la compréhension de texte niveau collège ou moins. Vous avez introduit vous même la notion de caprice, j'ai dit que je parlais d'une chose, pas de caprices. C'est du français simple, je ne peux rien pour vous si vous ne comprenez pas la langue, on peut éventuellement passer en anglais si vous ne parlez pas français couramment.

Ensuite non, je suis bien plus informé que vous ne semblez le penser. Si le taux de suicide ne chute pas, c'est qu'on n'a rien soigné. Vous pouvez faire dormir un suicidaire sur la soie ça sera confortable mais ca ne résoud rien s'il se suicide.

Par ailleurs non. Les taux de suicides chez les trans pré comme post op sont comparables au taux de suicides chez les juifs sous la persecution nazie. Je ne pense pas que les trans soient pourchassés pour être exterminés et que ca serait la persécution qui justifierait le taux de suicide. Même les gens qui vivent la guerre, la famine et les bombardements n'ont pas de pareils taux de suicide.

On ne peut pas construire la société sur des subjectivités. Il y a deux sexes qui dictent deux catégories d'humains avec leurs besoins et leurs spécificités propres. Essayer de compliquer ça c'est essayer d'éclater la société.
Afficher tout
Mea culpa, effectivement ce n’est pas vous qui avez employé ce terme. C’est moi en essayant de traduire votre pensée, de travers.

Mais je maintiens mon analyse sur la survie. Prenons les soins palliatifs, ils ne permettent pas d’améliorer la survie. Est-ce pour autant qu’ils sont inutiles ?
Quand on lit les témoignages de transsexuels, beaucoup disent s’être senti complet après l'opération. Et tous ne se suicident pas. Ceux qui se suicident se seraient peut-être suicidé quoi qu’il arrive. Les facteurs de risque suicidaire sont nombreux. Entre autre le fait d’avoir une personne s’étant suicidé dans son entourage. Dans des communautés réduite, il y a un effet cercle vicieux.


Quant à la comparaison avec les juifs, je n’ai pas vérifié mais si c’est vrai, ça va complètement dans mon sens. Si ils se suicidaient ce n’est pas parce qu’ils étaient juifs, mais parce qu’ils étaient persécutés. Le taux de suicide chez les juifs est-il resté le même après la fin de la Seconde guerre ?

Je vous trouve dans l’excès. On peut trouver un juste milieu pour aider les gens à s’epanouir. Sans pour autant donner des bloqueurs d’hormones aux adolescent en crise existentielle.

a écrit : Libre à vous de les distinguer si cette théorie farfelue vous plait. Il ne s'agit pas du tout d'une théorie farfelue car elle englobe bien plus de choses que des problématiques de personnes transgenres et autres.
Le sexe est acquis à la naissance, il est déterminé par vos chromosomes et ne changera jamais au cours de votre vie.
Le genre regroupe l'ensemble des comportements sociaux, modifications corporelles et distinctions mis en place par une personne pour s'affirmer dans sa vie et sa sexualité.
Exemple : un grand nombre de femmes à la différence des hommes ont les cheveux longs car c'est un signe de féminité pour elles. Elle affirme par ce comportement leur genre féminin car les codes de la société l'ont définie ainsi.

Dites moi ou est le farfelue la-dedans..

a écrit : Mea culpa, effectivement ce n’est pas vous qui avez employé ce terme. C’est moi en essayant de traduire votre pensée, de travers.

Mais je maintiens mon analyse sur la survie. Prenons les soins palliatifs, ils ne permettent pas d’améliorer la survie. Est-ce pour autant qu’ils sont inutiles ?
Quand
on lit les témoignages de transsexuels, beaucoup disent s’être senti complet après l'opération. Et tous ne se suicident pas. Ceux qui se suicident se seraient peut-être suicidé quoi qu’il arrive. Les facteurs de risque suicidaire sont nombreux. Entre autre le fait d’avoir une personne s’étant suicidé dans son entourage. Dans des communautés réduite, il y a un effet cercle vicieux.


Quant à la comparaison avec les juifs, je n’ai pas vérifié mais si c’est vrai, ça va complètement dans mon sens. Si ils se suicidaient ce n’est pas parce qu’ils étaient juifs, mais parce qu’ils étaient persécutés. Le taux de suicide chez les juifs est-il resté le même après la fin de la Seconde guerre ?

Je vous trouve dans l’excès. On peut trouver un juste milieu pour aider les gens à s’epanouir. Sans pour autant donner des bloqueurs d’hormones aux adolescent en crise existentielle.
Afficher tout
Les soins palliatifs n'ont pas la prétention de la jouer constructivistes sociaux post modernes. Ils ne jouent pas avec les fondations et les définitions de la société sous prétexte d'un courant philosophique quelconque.
Les soins palliatifs ont pour objectif de minimiser la souffrance de certains patients mourants et ils ont d'excellents résultats, pas de guérir des gens qui vont mourir inévitablement.
Par contre un patient qui se suicide à 20 ans si votre traitement ne réduit pas sa mortalité c'est que son bénéfice thérapeutique est faible au mieux. Malheureusement c'est vu comme transphobe de chercher à soigner ces troubles de manière médicamenteuse donc ça ne va nulle part.

La comparaison avec les juifs elle veut dire deux choses, soit y a rien de problématique dans leur tête et ils sont persécutés comme sous le 3ème reich, ce qui est faux au moins en occident, soit leur taux de suicide a une composante endogène. Même les noirs aux usa quand leur ségrégation était à son pic ne se suicidaient pas autant. Même les gens qui connaissent la pauvreté, la famine et la guerre en Afrique par exemple ne se suicident pas autant.

Y a un moment où il faut prendre conscience que la théorie de la persécution qui mène au suicide n'est pas totalement infondée mais que c'est tout sauf une explication raisonnable à l'ampleur de la catastrophe et qu'il serait temps que des psychiatres se penchent objectivement dessus.

Mais modifier des humains de l'extérieur ce n'est pas une solution éthiquement viable.

a écrit : Il ne s'agit pas du tout d'une théorie farfelue car elle englobe bien plus de choses que des problématiques de personnes transgenres et autres.
Le sexe est acquis à la naissance, il est déterminé par vos chromosomes et ne changera jamais au cours de votre vie.
Le genre regroupe l'ensemble
des comportements sociaux, modifications corporelles et distinctions mis en place par une personne pour s'affirmer dans sa vie et sa sexualité.
Exemple : un grand nombre de femmes à la différence des hommes ont les cheveux longs car c'est un signe de féminité pour elles. Elle affirme par ce comportement leur genre féminin car les codes de la société l'ont définie ainsi.

Dites moi ou est le farfelue la-dedans..
Afficher tout
Du fait que les théoriciens du constructivisme sociale sont fâchés à la biologie.

La société n'a pas decidé juste comme ça au pif et comme par hasard presque partout sur la planète de demander aux femmes de laisser pousser leurs cheveux.

Cette distinction a des bases biologiques. Les cheveux ne réagissent pas pareil à la testostérone et aux oestrogènes. Et c'est très intriqué, avoir les cheveux courts c'est pouvoir mieux chasser et se battre, sauf qu'encore c'est pas une construction sociale le fait que les hommes se battent plutôt que les femmes, c'est que biologiquement, en ce qui regarde la reproduction, les cycles hormonaux, les neurotransmetteurs qui guident nos tendances et tempéraments, ce sont les choix qui s'imposent naturellement.

Ce genre de théorie fait passer des courants philosophiques pour des faits scientifiques et fait semblant que tout ce qui nous est inné n'existe pas.

a écrit : Les soins palliatifs n'ont pas la prétention de la jouer constructivistes sociaux post modernes. Ils ne jouent pas avec les fondations et les définitions de la société sous prétexte d'un courant philosophique quelconque.
Les soins palliatifs ont pour objectif de minimiser la souffrance de certains patie
nts mourants et ils ont d'excellents résultats, pas de guérir des gens qui vont mourir inévitablement.
Par contre un patient qui se suicide à 20 ans si votre traitement ne réduit pas sa mortalité c'est que son bénéfice thérapeutique est faible au mieux. Malheureusement c'est vu comme transphobe de chercher à soigner ces troubles de manière médicamenteuse donc ça ne va nulle part.

La comparaison avec les juifs elle veut dire deux choses, soit y a rien de problématique dans leur tête et ils sont persécutés comme sous le 3ème reich, ce qui est faux au moins en occident, soit leur taux de suicide a une composante endogène. Même les noirs aux usa quand leur ségrégation était à son pic ne se suicidaient pas autant. Même les gens qui connaissent la pauvreté, la famine et la guerre en Afrique par exemple ne se suicident pas autant.

Y a un moment où il faut prendre conscience que la théorie de la persécution qui mène au suicide n'est pas totalement infondée mais que c'est tout sauf une explication raisonnable à l'ampleur de la catastrophe et qu'il serait temps que des psychiatres se penchent objectivement dessus.

Mais modifier des humains de l'extérieur ce n'est pas une solution éthiquement viable.
Afficher tout
Les soins palliatifs servent à améliorer la qualité de vie face à des pathologies incurables. Tout est dit. Si une operation améliore la qualité de vie, pourquoi ne pas la proposer ? Ce n’est pas comme si on opérait n’importe qui non plus.

En poursuivant sur votre comparaison. Pourquoi les juifs sous le troisième Reich se suicident plus que les noirs pendant la ségregation ? Ou que les gens qui subissent la famine et la pauvreté ?

Modifier des humains de l’exterieur n’est pas une solution ethiquement viable ? Ça c’est vous qui le dites. Ça ne vaut absolument rien balancé comme ça. Pourquoi ça serait plus éthique que les modifier de l’intérieur ? L’idée n’est pas de modifier une personne mais de faire coller sa représentation psychique avec son enveloppe corporelle. Pour ma part, je considère que c’est notre psychée qui définit notre identité, et cela de manière bien plus fondamentale que notre corps.

a écrit : Du fait que les théoriciens du constructivisme sociale sont fâchés à la biologie.

La société n'a pas decidé juste comme ça au pif et comme par hasard presque partout sur la planète de demander aux femmes de laisser pousser leurs cheveux.

Cette distinction a des bases biologiques. Les chev
eux ne réagissent pas pareil à la testostérone et aux oestrogènes. Et c'est très intriqué, avoir les cheveux courts c'est pouvoir mieux chasser et se battre, sauf qu'encore c'est pas une construction sociale le fait que les hommes se battent plutôt que les femmes, c'est que biologiquement, en ce qui regarde la reproduction, les cycles hormonaux, les neurotransmetteurs qui guident nos tendances et tempéraments, ce sont les choix qui s'imposent naturellement.

Ce genre de théorie fait passer des courants philosophiques pour des faits scientifiques et fait semblant que tout ce qui nous est inné n'existe pas.
Afficher tout
Donc l'ensemble de nos comportements qu'ils soit innés ou acquis a des bases biologiques ?
C'est possible et j'avoue que je n'en sais rien. Je sais juste qu'il est possible pour certains de se "sentir" femme dans un corps d'homme et inversement. Est-ce une pathologie ? Est-ce un caprice ? Est-ce une manière d'exister ? Est-ce une maladie avec des fondements chimiques au sein du cerveau ?
Je n'en sais rien du tout mais si le distinguo permet à certain de se sentir mieux, je ne sais pas si c'est problématique pour les autres.

a écrit : Là j'admet que c'est un sujet dangereux a balancer au repas de noêl, mais il y a pire!
Exemple:
Le rascisme
l'écologie
le moteur à eau
l'intelligence artificielle
le complot du 11 septembre
la bombe atomique
les francs-maçons
le glyphosa
te...
(liste non exhaustive^^)

tu va voir, prends un des sujets au hasard et ca animera une soirée (planquez les calibres 12 avant, conseil d'ami)
Afficher tout
C’est bon je les ai tous noté chacun sur un bout de papier, et au prochain dîner j’en tire un ou deux au hasard: Fini les repas de famille ennuyant.

a écrit : Je suis un peu perturbé par cette formulation : "un cadavre peut être prélevé de sa semence". On ne prélève toujours qu'une petite partie de la totalité, et pas le contraire... Je crois qu'il aurait été plus juste de dire : la semence d'un cadavre peut être prélevée. Par contre, si on veut garder le cadavre comme centre du focus, je ne sais pas ce qu'il faudrait dire, je crois qu'on n'a pas de mot. Au mieux, c'est le cadavre qui est privé de semence ? Afficher tout Je suis d'accord, la formulation m'a surpris aussi. J'ai l'impression que c'est le cadavre qui est prélevé à partir de la semence, ce qui n'a pas de sens. Ça marcherait avec "privé" effectivement : "un cadavre peut être privé de sa semence". Pas de bras, pas de semence.

Posté le

android

(0)

Répondre