Si vous voulez goûter chaque jour une boisson différente du groupe Coca Cola, il vous faudrait environ neuf ans. En effet, Coca Cola est le groupe possédant le plus de boissons au monde, avec 3500 références.
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Si vous voulez goûter chaque jour une boisson différente du groupe Coca Cola, il vous faudrait environ neuf ans. En effet, Coca Cola est le groupe possédant le plus de boissons au monde, avec 3500 références.
Tous les commentaires (122)
(Inside québécois...) ;)
On crèvera tous un jour. D'un côté, mort par empoisonnement au coca dans d'atroces souffrances, de l'autre, on aura des vieux croûtons qui ne savent même plus faire proprement. Je choisis l'eau personnellement, j'ai toujours rêver de redevenir un bébé.
Et je préfère le Sarsi du groupe Coca-Cola.
A la base c'est bien comme ça que cela s'orthographie même si désormais "autant" est accepté.
Coca n'est pas une entreprise d'utilité publique mais une entreprise privée toujours en quête de profit. Ils gèrent leur blé comme bon leur semble et c'est aux gouvernements de les tacler quand il y'a lieu de le faire ! Chacun son job !
Les employés de chaque étape de la création ne peuvent pas communiquer ensemble.
En histoire j'avais également appris que Pepsi a créé Pizza Hut afin de faire connaître sa boisson car les magasins n'en voulaient pas.
Et comme j'en donne la référence plus haut, cette expérience a été reproduite en 2007, avec les mêmes résultats.
Voilà voilà ^^
regardez se que cette multinational est capable de faire
unilever a pendant des décennies empoisonné au mercure des indiens qui travaillaient pour cette multinationale et avant elle pour la société qu'ils ont racheté
le mercure fait de gros dégâts sur la santé et toute les victimes de cet abus essayent depuis longtemps de faire dépolluée les sites et surtout de recevoir des indemnités pour les "violences" subit, l’empoisonnement ,
unilever nie avoir pollué et rendu tous ses gens malades et handicapés , d'avoir souillé les sols et l'air pour les soutenir , SIGNEZ CETTE PÉTITION
en cette fin d'année faire un geste citoyen nous fera commencé l"année d'un bon pied
www.jhatkaa.org/unilever/?utm_source=Thank+You+Page&utm_medium=Facebook&utm_campaign=Unilever+%E2%80%93+take+responsibility+for+Kodaikanal+mercury+poisoning
Le Mexique compte 119 millions d’habitants... dont 12 millions n’ont pas d’accès à l’eau potable. La ville de Mexico est l’exemple le plus frappant de cette situation dramatique : l’agglomération compte 19 millions de personnes, dont 35 % ne sont pas connectées au réseau d’eau, et 1,3 million de personnes n’ont aucun accès a une source d’eau potable...
Pourtant, un réseau d’eau existe. Mais il est extrêmement vétuste et peu entretenu, avec des fuites importantes. Selon les estimations, le réseau accuse ainsi 40 % de pertes. Cela correspondrait à environ mille litres par seconde.
Ajoutez a cela le réseau des eaux usées qui lui aussi fuit, contaminant le réseau d’eau potable et rendant impropre à la consommation le peu d’eau qui parvient jusqu’aux différents foyers. Et vous vous retrouvez avec des mesures d’urgence qui deviennent la norme, tel le district d’Iztapalapa, où mille camions-citernes distribuent chaque jour de l’eau pour deux millions d’habitants.
Conséquence de ce manque d’eau potable, le pays détient le record mondial de consommation d’eau en bouteille, avec 234 litres par an et par habitant. Dans les bouteilles que vous trouvez en magasin, pas d’eau de source ou d’eau minérale. Il s’agit simplement d’eau filtrée et traitée... Bref de l’eau du robinet. Si Danone et Coca-cola sont leaders sur ce marché de l’or bleu, ce sont surtout les milliers d’entreprises de microfiltration qui fournissent cette eau en bouteille aux populations.
ette consommation d’eau a des conséquences catastrophiques sur l’environnement. Selon l’organisation Food and Water Watch, 21 millions de bouteilles plastiques sont ainsi jetées chaque année au Mexique. 20 % sont recyclées, le reste terminant dans des décharges, ou simplement dans la nature
Récolter la pluie
Cela a aussi un coût. Dans certaines familles, l’eau représente jusqu’à 20 % des dépenses. Des solutions émergent aujourd’hui pour aider les plus pauvres, notamment les populations indigènes. Ces actions sont souvent menées par des associations ou des structures locales. L’une des solutions les plus simples et les plus avantageuses, c’est la récolte d’eau de pluie.
C’est la mission que s’est fixée une petite organisation, Isla Urbana, créée en 2009 par de jeunes Mexicains. Leur constat était simple : certaines zones telles Tlalpa ou Xochimilco enregistrent mille millimètres de pluies chaque année... et pourtant près de 130 000 habitants n’ont pas accès à l’eau. Ils ont donc décidé d’équiper les populations de systèmes de collecte d’eau de pluie, en réduisant les coûts au maximum et avec l’aide de mécènes.
Le système, avec séparation des premières pluies et filtration, permet de fournir 50 000 litres d’eau sur l’année, soit six mois de consommation pour une famille entière. L’installation de ces systèmes de captation est accompagnée de programmes d’éducation et de sensibilisation a l’environnement.
Ces initiatives locales, certes importantes, restent une goutte d’eau face au problème auquel sont confrontés plusieurs millions d’habitants de Mexico. Sans mesures drastiques pour améliorer l’accès à l’eau au Mexique, la situation déjà dramatique pourrait se transformer en crise majeure. A moins que Tlaloc, le dieu Maya de l’eau, ne vienne en aide au peuple mexicain...
Corollaire de ce manque d’eau, ou phénomène indépendant, la consommation de boissons gazeuses a explosé au Mexique. Ce pays est ainsi le premier consommateur au monde de cette boisson sucrée avec l’équivalent de 728 bouteilles de 25 cl par an et par habitant, contre 406 pour les Etats-Unis ou 149 pour la France (chiffres Coca-Cola 2012). Le Mexique consomme a lui seul 42 % de tout le Coca-Cola bu en Amérique Latine...
Il faut dire que la compagnie pratique une politique commerciale très agressive. Outre les publicités omniprésentes, la compagnie propose des demi canettes ou des minis bouteilles à des prix ridicules, pour s’assurer que les populations les plus pauvres ou les enfants avec trois pesos en poche consomment la boisson gazeuse.
Bien sûr cette consommation de Coca-Cola est l’un des facteurs de l’épidémie de surpoids et d’obésité qui frappe le Mexique : 70 % de la population sont en surpoids, dont 33 % d’obèses et 13 % de diabétiques.
Outre ces conséquences sur la santé, cette consommation du soda a un impact dramatique sur les ressources en eau, car fabriquer un litre de Coca-cola nécessite au moins deux litres d’eau. La compagnie a choisi d’implanter ses usines d’embouteillage dans des endroits stratégiques.