Le Sahara n'est pas le plus grand désert du monde (environ 9 000 000 km2) mais l'Antarctique (14 000 000 km2), si on retient comme définition du désert une zone à la pluviométrie inférieure à 200 mm/an, marquée par une absence de végétation et un peuplement quasi inexistant.
Le Sahara est le désert chaud le plus grand.
Le désert peut avoir d'autres définitions si l'on se place d'un point de vue démographique par exemple.
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Idem pour une eolienne?
Pourtant des ingenieurs ont etudiés le sujet avant la mise en oeuvre de ces apports en energie propre. Non?
Pas pour un panneau solaire sur une maison.
Et quand je dis sa je parle du début fabrication usine.. Le transport l'installation et la maintenance combien d'ouvrier faudrait ? Combien de litre d'essence faudrait ? Tu trouve pas que sa fait beaucoup 11% non ?
Au prix actuel du m² du panneau solaire, la facture risque d'être salée !
Le désert de Gobi a, par contre les plus grande fluctuations de température (de +38° à -25° C)
Sans contredire cette affirmation je souligne une difficulté que cela engendrerait : le transport de cette énergie sur de longues distances, occasionnant d'importantes déperditions.
Il est fort possible que ce soit le cas (je n’ai pas personnellement vérifié).
Cependant, en pratique, il est bien plus compliqué :
1 - d’arriver à une telle production
2 - de valoriser l’énergie produite
3 - d’étudiée l’impact écologique d’une telle production.
1 : produire des panneaux solaires n’est pas sans effet sur la nature. Il faudrait extraire beaucoup de métaux et de terre rare, produire les panneaux et ensuite les installer. Cela est comparable à ce que l’ont dit sus sujet des voiture électrique “si jamais toute les voiture en France roulais à l’électricité, il faudrait multiplier par 3 le parc nucléaire français”.
Ensuite il y a la gestión de l’exploitation. De grosses variations de température entraînent de grosses variations de peoduction et donc d’exploitation. Par exemple, cela ferait forcer les onduleurs, modules en charge de la “temporisation” de l’électricité injecté au réseau, qui n’est pas en mesure de toujours tout absorber.
Point 2 : la consommation. L’énergie électrique produite par les panneaux solaires, contrairement à l’énergie électrique produite par un barrage par exemple, ne peut être stocké. Ainsi, si jamais il y a une surproduction par rapport à la demande, il faut que le réseau de “débarrasse” de cette énergie à tout prix afin d’assurer sa stabilité.
Or, nous avons besoin d’électricité la nuit, en période hivernale (chauffage), qui ne correspondent pas au période de production du Sahara, ou parfois en période estivale (clim) qui la d’hab prêtre bien.
Point 3 : la mise en place de tel système. Les panneaux solaires, bien que théoriquement recyclable à 75%, ont une qu’uval et charbonne de production et de recyclage très élevé. Et à l’heure actuelle, bien que cela me fasse mal de l’avouer, le kWh produit par une centrale nucléaire à un impact carbone bien plus fiable que toute autre énergie confondue (Méthanisation, charbon, pétrole, panneau solaire, etc..).
Ainsi différentes solutions peuvent s’étudier : le stockage de l’énergie produite , ou bien compenser la demande par une autre production, ou encore limiter notre consommation.
Voilà, bien que le chiffre soit v
Probablement vrai, j’espère en avoir éclairé certains l’aspect “mise en pratique” d’une telle solution.
La puissance installée représente quelques pour-cent de la puissance réellement produite.
En effet cela dépends d’un vent et des conditions climatiques. Ainsi les éoliennes ne tournent pas à 100% de leur effectif tout le temps et y arrivent péniblement sur certains pic météorologique.
Cela est détaillé notamment dans le lien suivant : youtu.be/q3QHOp9BpLo
Non pas que les gens qui travaillent sur ces technologies soient de mauvaise foi, loin de la, mais disons que la pratique est assez loin de la théorie, malheureusement.
Et qui plus est, il faut des m3 de béton pour les fondations, des surfaces agricoles en moins, raccorder le toutau réseau, un système électrique très sophistiqué en mesure d’absorber les gros pic de production, et vu qu‘in cherche à avoir des matériaux led plus léger possible, on utilise des plastiques non recyclable, ce qui fait que la seule solution de retraitement des pales d’éolienne actuelle est de les aligner dans un champs et tout simplement de les enterrer.. Même la transition écologique a ses limites, et ça mal au c*l de l’avouer.
Rien n’est parfait, rien n’est propre, tout a un impact.