Au début du XXème siècle, le Dr George Murray Levick partit en expédition en Antarctique pour observer les braves manchots Adélie. Il ne fut pas déçu du voyage, puisqu'il fut témoin de scènes de pédophilie, de nécrophilie, de viols en réunion et de rapports homosexuels chez ces manchots. Il fut si choqué par cette découverte qu'il écrivit ses remarques en grec et dissimula la version anglaise.
Il dissimula la version anglaise et il fallut attendre 50 ans avant qu'elle devienne disponible au public.
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en même temps... sur la banquise on s ennuie vite... :-)
Il y a un truc que je ne comprend pas. Dans l'annecdote on parle de manchots, mais dans une des sources ou parle de pingouins... quelqu'un peut m'éclairer? :-)
Pourquoi je ne suis pas un manchot
Et les pingouins des kinder pingoui c'est pareil?
Dommage qu'il n'avais pas de caméras portable ! Je sors ...
A ceux qui se demandent pourquoi leurs commentaires ont récoltés tant de votes négatifs, je vais éclairer votre lanterne en faisant court: PARCE QUE VOUS NOUS AVEZ SAOULÉS!
Vos commentaires étaient inappropriés, hors-sujets et propices à la migraine.
Merci de transposer vos débats sur un forum approprié et pas sur une anecdote concernant des manchots.
Le Dr Murray a apparemment pris soin de noter toutes ses observations en grec pour que ses notes ne soient pas accessible au "tout venant"... Celà laisse supposer que certains confrères pouvaient librement y accéder, les traduire et les étudier... Seule la version anglaise semble avoir "disparu" pendant des dizaines d'années... Il est curieux que cet homme, certes rigide, mais courageux et tenace dans sa démarche scientifique, soit - et lui seul - dans cette histoire, la risée des hommes actuels... `^^
fr.wikipedia.org/wiki/Multiplication_asexu%C3%A9e
C'est faux, comme déjà mentionné plus haut...Rien de choquant ce sont des pratiques "animal" aprés tout...
ben quoi, c'est mon quotidien tout ceci :p. (blague)
Voila ce que j ai trouver. Au début du 20e siècle, un scientifique avait dressé un portrait très peu élogieux des manchots. Ces derniers seraient des nécrophiles, des pédophiles et ils auraient recours à d’autres déviances comme le viol.
George Murray Levick faisait une expédition au Pôle Sud. Cette dernière se révélait catastrophique puisque l’explorateur britannique aurait pu mourir de faim et de froid. Pourtant, cette expérience ne l’a pas traumatisé, ce qui l’a choqué repose sur le comportement des manchots de Terre Adélie. Ces derniers avaient l’objet d’une recherche qui a été rendu public par le Museum d’Histoire Naturelle implanté à Londres. Ces volatiles apparaissent comme des délinquants sexuels qui pourraient encourir la castration chimique s’ils étaient humains.
L’auteur de l’étude remarque de nombreuses déviances comme l’homosexualité (considéré au début du 20e siècle comme une maladie), des actes à caractère pédophiles abusant des poussins. George Murray Levick déclara que les mâles ont tendance à se rassembler « en gangs de hooligans d’une demi-douzaine d’individus ou plus et trainent aux alentours des tertres en incommodant les occupants ». Cette découverte avait tellement choqué l’expéditeur qu’il avait rédigé son rapport en grec pour le garder secret.
L’ensemble de ces constatations ont été reportées par The Guardian dans son édition du 9 juin. Son œuvre nommée « Natural History of the Adelie Penguin » est la seule mettant en avant un cycle entier concernant la reproduction. Cette dernière constatée à Cap Adare avait donné du fil à retordre à l’auteur accompagné de cinq compagnons pendant l’expédition de 1911 à 1912. En janvier 1912, le capitaine Robert Scott ainsi que quatre personnes avaient trouvé la mort dans ses conditions de survies très difficiles. L’ensemble des scientifiques avait dû attendre tout l’hiver dans une grotte glaciale le bateau nommé Terra Nova.
Lorsqu’il est revenu chez lui, en Grande Bretagne, il avait censuré certaines pratiques des manchots jugées indécentes. L'article aura été perdu pendant une cinquantaine d’années puis retrouvé par le conservateur du Muséum d’Histoire Naturelle, Douglas Russell explique ces comportements à cause de l’Antarctique. Le climat serait la cause de cette perversité puisque les manchots n’ont seulement que quelques semaines pour leur reproduction. Dans la rapidité, ils font donc tout et n’importe quoi. Aujourd’hui, cette espèce est menacée à cause de ce même climat. La fonte des pôles liée au changement aurait des conséquences dramatiques sur leur vie.