Le premier tueur en série espagnol a-t-il inspiré Fight Club ?

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Le premier tueur en série espagnol connu récupérait la graisse de ses victimes pour en faire du savon. Manuel Blanco, "le Loup-Garou d'Allariz", avoua 13 meurtres en 1853, mais plaida la folie : il clama être victime d'une malédiction liée à la lycanthropie. Il échappa ainsi à la peine de mort. Il est à l'origine d'un personnage du folklore hispanique, le "Sacamantecas", une sorte de croque-mitaine qui extrait la graisse de ses victimes.


Commentaires préférés (3)

Rha les gars... on avait pourtant dit qu'il ne fallait pas en parler de ce club de boxe clandestin....

À sa naissance, en 1809, il fut enregistré sous le prénom de Manuela, et considéré comme étant une fille, jusqu'à l'âge de ses 8 ans.
Ceci était dû au fait qu'il était atteint de pseudohermaphodisme, avait des traits faciaux doux et une petite taille (vers 1,4 mètre de stature). Cependant, il produisait autant de testostérone qu'un homme, ce fait pouvant expliquer la force générée pour commettre les crimes qui lui sont imputés.

Éduqué (il savait lire et écrire, fait assez rare pour l'époque), il s'est servi de cette qualité pour écrire des lettres aux proches de ses victimes, ultérieurement aux faits, afin de chercher à dissimuler ses assassinats.

Il n'y a aucune preuve matérielle que ses victimes aient vues leurs graisses transformées en suif, pour fabriquer des onguents ou pommades.
C'est plutôt la vente ultérieure d'affaires personnelles ayant appartenues aux personnes disparues, qui a conduit à le considérer comme suspect.
Ayant avoué plusieurs d'entre-eux, il a néanmoins fait preuve d'ingéniosité pour sa défense, argumentant une lycanthropie aux nuits de pleine lune, suite à un sort lancé quelques années plus tôt, par une "meiga" (sorcière du folklore Galicien).
Quand il a été interrogé, il lui a été demandé de prouver cette transformation devant les Autorités... bien qu'il argumentera que le sort avait déjà terminé...

Aujourd'hui, un tel cas classerait cette personne dans un cadre clinique de psychopathe.

Les maigrichons pouvaient donc dormir sur leurs deux oreilles


Tous les commentaires (13)

Rha les gars... on avait pourtant dit qu'il ne fallait pas en parler de ce club de boxe clandestin....

À sa naissance, en 1809, il fut enregistré sous le prénom de Manuela, et considéré comme étant une fille, jusqu'à l'âge de ses 8 ans.
Ceci était dû au fait qu'il était atteint de pseudohermaphodisme, avait des traits faciaux doux et une petite taille (vers 1,4 mètre de stature). Cependant, il produisait autant de testostérone qu'un homme, ce fait pouvant expliquer la force générée pour commettre les crimes qui lui sont imputés.

Éduqué (il savait lire et écrire, fait assez rare pour l'époque), il s'est servi de cette qualité pour écrire des lettres aux proches de ses victimes, ultérieurement aux faits, afin de chercher à dissimuler ses assassinats.

Il n'y a aucune preuve matérielle que ses victimes aient vues leurs graisses transformées en suif, pour fabriquer des onguents ou pommades.
C'est plutôt la vente ultérieure d'affaires personnelles ayant appartenues aux personnes disparues, qui a conduit à le considérer comme suspect.
Ayant avoué plusieurs d'entre-eux, il a néanmoins fait preuve d'ingéniosité pour sa défense, argumentant une lycanthropie aux nuits de pleine lune, suite à un sort lancé quelques années plus tôt, par une "meiga" (sorcière du folklore Galicien).
Quand il a été interrogé, il lui a été demandé de prouver cette transformation devant les Autorités... bien qu'il argumentera que le sort avait déjà terminé...

Aujourd'hui, un tel cas classerait cette personne dans un cadre clinique de psychopathe.

Les maigrichons pouvaient donc dormir sur leurs deux oreilles

N'aurait il pas servi de modèle aux SS dans les camps pendant la dernière guerre mondiale, je veux dire fabriquer du savon à partir d'êtres humains... ces cinglés prenaient tout et n'importe quoi en modèle à suivre dans leur idéologie

Aujourd'hui des "sacamentas" il y en a dans la plupart des pays occidentaux.
On les appelle aussi "chirurgiens esthétiques qui font des liposuccions".

"Plus connue du grand public sous le nom de loup-garou, la lycanthropie désigne la croyance selon laquelle la métamorphose d'un homme en loup serait possible"

Ca me rappelle un épisode d'X-Files "meurtre sur internet" ou un tueur en série utilisait les premiers sites de rencontres en ligne pour cibler les femmes "rondes" afin de consommer leur graisses corporelles.

a écrit : N'aurait il pas servi de modèle aux SS dans les camps pendant la dernière guerre mondiale, je veux dire fabriquer du savon à partir d'êtres humains... ces cinglés prenaient tout et n'importe quoi en modèle à suivre dans leur idéologie C'est quelque peu hors sujet, mais la fabrication de savon, à partir de la graisse des Déportés, est une légende urbaine.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Production_exp%C3%A9rimentale_de_savon_humain_dans_l%27Allemagne_nazie

La première règle du fight club est : il est interdit de parler du fight club....

a écrit : C'est quelque peu hors sujet, mais la fabrication de savon, à partir de la graisse des Déportés, est une légende urbaine.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Production_exp%C3%A9rimentale_de_savon_humain_dans_l%27Allemagne_nazie
"Les nazis ont bien fait du savon avec des cadavres"
[...]
"On a établi sans aucun doute possible que pendant la guerre, on a produit du savon à partir des substances obtenues des corps humains, à l'Institut de l'anatomie de l'Académie de médecine de Dantzig, dirigé par le professeur Rudolf Spanner"
[...]
"Nous avons ouvert l'enquête pour répondre à des voix niant la véridicité de ces faits" a précisé Paulina Szumera de l'Institut polonais de la mémoire nationale (IPN).

www.dhnet.be/actu/societe/2006/10/06/les-nazis-ont-bien-fait-du-savon-avec-des-cadavres-44WVSUY2N5DN3INWVOYH62D6SI/

a écrit : "Les nazis ont bien fait du savon avec des cadavres"
[...]
"On a établi sans aucun doute possible que pendant la guerre, on a produit du savon à partir des substances obtenues des corps humains, à l'Institut de l'anatomie de l'Académie de médecine de Dantzig, dirigé par le pr
ofesseur Rudolf Spanner"
[...]
"Nous avons ouvert l'enquête pour répondre à des voix niant la véridicité de ces faits" a précisé Paulina Szumera de l'Institut polonais de la mémoire nationale (IPN).

www.dhnet.be/actu/societe/2006/10/06/les-nazis-ont-bien-fait-du-savon-avec-des-cadavres-44WVSUY2N5DN3INWVOYH62D6SI/
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Pas à une échelle industrielle ni commerciale.

a écrit : Pas à une échelle industrielle ni commerciale. Ah ça va, ouf ! Si ça concerne seulement quelques centaines de personnes, concentrées sur un camp, c'est en effet négligeable et on peut parler de "légende urbaine".