"La Sirène de Varsovie" est une peinture murale de Picasso qui connut un destin inhabituel. Elle fut réalisée en 1948 durant une visite en Pologne, dans un appartement en construction. Quelques années plus tard, fatigué des visites incessantes, le couple qui y avait emménagé décida de l'effacer. Le mur fut lavé et repeint, et le dessin fut oublié jusqu'en 2006.
Commentaires préférés (3)
Peinture visible en 2ème source pour les curieux.
Ps: je l'aurais également effacé de mon mur, etant donné que mon fils fait beaucoup mieux sur mes murs et que j'efface tout de même.
Quitte a passer pour un rabat joie et je sais bien que l'art est une question de sensibilité j'ai beaucoup de mal à trouver quelque chose de sympa chez Picasso...
Allez, une anecdote sur Picasso. Il était notoirement radin. C’est pour cela qu’il payait régulièrement ses repas au restaurant en chèques, en faisant un petit dessin sur le chèque. Le restaurateur, trop content d’avoir un dessin authentique de Picasso, n’encaissait pas le chèque et préférait le conserver. Pas bête ! 
Pour conclure ce petit laïus, comparer Picasso à Rembrandt par exemple fait autant sens que comparer Steve Reich à Mozart... chacun d'entre eux est un maître génial ;)
Tous les commentaires (23)
J ai cherché....mais il se passe quoi en 2006?....des que j ai cessé d être abasourdi par mes propriétaires fatigués des visites.....qui décident donc de détruire l œuvre!!!!!
Mais l'original lui est vraiment effacé et donc plus visible ni récupérable.
Peinture visible en 2ème source pour les curieux.
Ps: je l'aurais également effacé de mon mur, etant donné que mon fils fait beaucoup mieux sur mes murs et que j'efface tout de même.
Quitte a passer pour un rabat joie et je sais bien que l'art est une question de sensibilité j'ai beaucoup de mal à trouver quelque chose de sympa chez Picasso...
Allez, une anecdote sur Picasso. Il était notoirement radin. C’est pour cela qu’il payait régulièrement ses repas au restaurant en chèques, en faisant un petit dessin sur le chèque. Le restaurateur, trop content d’avoir un dessin authentique de Picasso, n’encaissait pas le chèque et préférait le conserver. Pas bête ! 
Soit en effet tu effaces cette mocheté si tu aimes ta maison, soit tu revends ta maison à prix d’or.
Sinon, du papier peint, ca se décolle au fer à repasser. :)
Pour conclure ce petit laïus, comparer Picasso à Rembrandt par exemple fait autant sens que comparer Steve Reich à Mozart... chacun d'entre eux est un maître génial ;)
Lorsqu'une œuvre ne me plaît pas la première fois, pourquoi vouloir à tout prix me faire changer d'avis ? Pour coller au goût de l'autre ? Ben non ! Si je n'aime pas c'est que je n'y suis pas sensible. Et toute tentative d'essayer de m'y sensibiliser serait manipulation.
Voilà l’intérêt d’éduquer un minimum ses sens pour profiter davantage des diverses expériences possibles.
Je n'aime pas la bière, pourquoi alors n'arrête-t-on pas d'essayer de me convaincre du contraire.
On sait tous qu'à force d'écouter une chanson qu'on n'aimait pas la première fois, on finit par l'apprécier grâce au matraquage radiophonique. C'est de l'endoctrinement.
"Éduquer" les goûts de quelqu'un ne serait-ce pas aussi de l'endoctrinement ?
Si je prends mon exemple personnel, je n'aime pas du tout le rap, l'opéra ou la danse classique (qui m'ennuie au bout de 5 min) et pourtant il m'arrive quelque fois de m'apercevoir que certains titres/œuvres sont là preuve d'un talent certain et je reconnais que c'est exceptionnellement bien fait mais le résultat ne me plaît toujours pas... De ce fait, je respecte ces artistes. Mais c'est pas pour autant effectivement que je fais un effort pour cela plus globalement.
fr.m.wikipedia.org/wiki/Anthropologie_de_l'art