Cette antilope vit sur principalement aux USA. Mais on la trouve aussi dans le Nord du Mexique et dans le Sud du Canada.
Cet animal est menacé par les coyotes, qui s'attaquent aux faons, mais aussi par les Hommes qui grignotent son habitat et peuvent aussi les percuter accidentellement sur la route. Mais il n'est pas en voie de disparition.
L'antilope d'Amérique est l'animal le plus véloce de ce continent. Elle dépasse aisément les 70 km/h et a même été "flashée" à 98 km/h lors de pointes sur courte distance !

Même s'il est appelé "Antilope", zoologiquement parlant, elle ne l'est pas. Les antilopes ne perdent annuellement pas leurs cornes, alors que les cervidés (groupe auquel il est relationné), oui.

L'antilocarpe est la seule espèce de son genre, ayant réussi à survivre aux changements climatiques ayant eu lieu en Amérique du Nord. Il est supposé que ses performances à la course (vitesse et endurance) sont le fruit d'une sélection naturelle, afin de s'échapper du léopard Américain (espèce éteinte).

Afin de survivre en tant qu'espèce, l'antilocarpe a également développé une stratégie reproductive intéressante. À la saison des amours, plusieurs embryons (de l'ordre de 5 à 6) sont présents. Une "compétition" s'en suit entre-eux, où généralement deux vont alors prospérer jusqu'à la mise-bas. Accoucher de deux faons, est d'ailleurs la règle, chez l'antilocarpe.

Alors que, tout comme le bison Américain, des troupeaux représentant des dizaines de millions d'exemplaires, sillonnaient de vastes étendues de l'Amérique du Nord, il n'aura fallu qu'un siècle (le 19ème) pour que le super-prédateur qu'est l'homme, ne vienne les massacrer, les conduisant au bord de l'extinction.

Les prédateurs naturels (non humains) et les aléas Météorologiques, sont deux facteurs limitant les populations d'antilocarpe.
À ceci se rajoute la pression exercée par toutes les infrastructures créés par et pour l'humain, qui se rajoutent négativement sur ces populations.
Les études montrent clairement que les routes et autoroutes croisant leurs itinéraires de migration sont un facteur aggravant...alors que des constructions adaptées avec des ponts aménagés, permettent de réduire de 80%, la mortalité par accidents avec des véhicules.
Un autre important facteur aggravant cette mortalité, sont les fils barbelés et grillages, posés pour contenir le bétail. Il existe néanmoins des modifications assez simples à apporter, pour que les antilocarpes ne se retrouvent pas prisonniers de ces barrières.

Cette antilope vit sur principalement aux USA. Mais on la trouve aussi dans le Nord du Mexique et dans le Sud du Canada.
Cet animal est menacé par les coyotes, qui s'attaquent aux faons, mais aussi par les Hommes qui grignotent son habitat et peuvent aussi les percuter accidentellement sur la route. Mais il n'est pas en voie de disparition.
L'antilope d'Amérique est l'animal le plus véloce de ce continent. Elle dépasse aisément les 70 km/h et a même été "flashée" à 98 km/h lors de pointes sur courte distance !

Même s'il est appelé "Antilope", zoologiquement parlant, elle ne l'est pas. Les antilopes ne perdent annuellement pas leurs cornes, alors que les cervidés (groupe auquel il est relationné), oui.

L'antilocarpe est la seule espèce de son genre, ayant réussi à survivre aux changements climatiques ayant eu lieu en Amérique du Nord. Il est supposé que ses performances à la course (vitesse et endurance) sont le fruit d'une sélection naturelle, afin de s'échapper du léopard Américain (espèce éteinte).

Afin de survivre en tant qu'espèce, l'antilocarpe a également développé une stratégie reproductive intéressante. À la saison des amours, plusieurs embryons (de l'ordre de 5 à 6) sont présents. Une "compétition" s'en suit entre-eux, où généralement deux vont alors prospérer jusqu'à la mise-bas. Accoucher de deux faons, est d'ailleurs la règle, chez l'antilocarpe.

Alors que, tout comme le bison Américain, des troupeaux représentant des dizaines de millions d'exemplaires, sillonnaient de vastes étendues de l'Amérique du Nord, il n'aura fallu qu'un siècle (le 19ème) pour que le super-prédateur qu'est l'homme, ne vienne les massacrer, les conduisant au bord de l'extinction.

Les prédateurs naturels (non humains) et les aléas Météorologiques, sont deux facteurs limitant les populations d'antilocarpe.
À ceci se rajoute la pression exercée par toutes les infrastructures créés par et pour l'humain, qui se rajoutent négativement sur ces populations.
Les études montrent clairement que les routes et autoroutes croisant leurs itinéraires de migration sont un facteur aggravant...alors que des constructions adaptées avec des ponts aménagés, permettent de réduire de 80%, la mortalité par accidents avec des véhicules.
Un autre important facteur aggravant cette mortalité, sont les fils barbelés et grillages, posés pour contenir le bétail. Il existe néanmoins des modifications assez simples à apporter, pour que les antilocarpes ne se retrouvent pas prisonniers de ces barrières.

Aussi connue sous le nom de Pronghorn, ou localement et affectueusement de "speedgoat". Dans les états peu densément peuplés comme le Wyoming, les populations se portent bien et il se dit même qu'il y en a plus que d'habitants!

Ah l'antilope de Virginie... j'en ai abattu un gros paquet... sur red dead redemption 2.

Mais grâce à ça, je le savais déjà.
Comme quoi les jeux vidéos sont bien des produits culturels dans certain cas.

MrB a écrit : Ah l'antilope de Virginie... j'en ai abattu un gros paquet... sur red dead redemption 2.

Mais grâce à ça, je le savais déjà.
Comme quoi les jeux vidéos sont bien des produits culturels dans certain cas. Aujourd'hui, on est loin de "Pong", oui, on peut apprendre des trucs avec les jeux vidéo, j'ai plus appris dans le social en jouant à Fallout qu'à l'école, à l'école, j'ai juste appris à courir vite! ^^

En vrai, les jeux vidéo, c'est le huitième art, le premier jeu vidéo qui a couté plus cher qu'un film et rapporté de l'agent, c'est...