nicolaslaslas a écrit : Bien évidement que j'en aurai profité, je suis qu'un singe, faible et arriviste, mais moi ca me casse les castagnettes que les loyers flambent et que tous les 5 ans je sois obligé de me tirer plus loin parce que les prix grimpent.

Dans mon bled, à Sault, j'ai trouvé une cave aménagée pour 35 000 euros.

Une cave... mwouais... et pourquoi pas un lit sous les escaliers de service. Si j'avais eu les moyens d'achetter une ruine à retaper pour qu'on me foute la paix, tu pense bien que je l'aurai fait depuis longtemps, faut être logique. Afficher tout Il n’est jamais trop tard et avec les taux actuels ca risque aussi de chuter assez vite l’immobilier. C’est déjà le cas aux dires des agents immobiliers.

BuzzLéclair a écrit : Mon père, et donc sa famille, sont Parisiens depuis très longtemps (la tradition familiale remonte à au moins les années 1700 (mais il n'y a plus d'archives). La famille a été obligée de s’exiler dans une banlieue située à 1 heure (à pieds) de Paris dans l'après guerre de 14-18, l'arrivée de provinciaux enrichis par la guerre ayant rendu les loyers des quartiers à peu près salubres hors de portée de la "classe ouvrière". Et "on" a fait construire dans un de ces lotissements de l'époque
Dans les années 70, la réorganisation de la RP a amené à l'expropriation de mes grands parents, et maintenant, on vit pour la plupart en Picardie - répartis dans les 3 départements - le foncier n'y est pas trop cher... pense que les Parisiens qui achètent dans ton coin sont ceux qui n'ont pas, pour la plupart, les moyens d'acheter ailleurs
Et (hors sujet) ça m'horripile d'entendre l'expression "accent parisien" pour parler de la prononciation des provinciaux qui vivent à Paris. Cet accent est celui des "Pays de la Loire" (Tours Le Mans), dans la famille, on a des anciens qui l'ont le "vrai" accent parisien et c'est pas le même Afficher tout Je ne dénigre pas, c'est un fait établi l'histoire de ta famille; on est dans le même bain, mais moi je fais quoi? Je déménage pour trouver moins cher, comme vous.

nicolaslaslas a écrit : Je ne dénigre pas, c'est un fait établi l'histoire de ta famille; on est dans le même bain, mais moi je fais quoi? Je déménage pour trouver moins cher, comme vous. Ben non, c'est juste pour te dire que cette pression continuelle n'a pas commencé hier, et que si t'as pas gagné au loto ou à l'euromillion, tu l'as dans l'os... sans lubrifiant

fabb8 a écrit : Je ne suis pas un expert en littérature c'est clair mais tu es le seul auteur que je peux reconnaitre à son style d'écriture ^^ Un peu Bukowski aussi quand même

Aucun rapport mais pour moi NY est vraiment surcoté

fabb8 a écrit : Je ne suis pas un expert en littérature c'est clair mais tu es le seul auteur que je peux reconnaitre à son style d'écriture ^^ Jeeee... vais prendre ça pour un compliment. ;)

BuzzLéclair a écrit : Malheureusement, ton "agriculteur" t'as pipeauté. Les "terres agricoles" qui rentrent dans le calcul de l'ISF sont celles qui ne sont pas... cultivées, mais que le propriétaire, sans les exploiter, conserve dans son patrimoine
Mais le pauvre agriculteur frappé par l'ISF est une légende urbaine qui a démarré, je crois, sur l'ile de Ré, quand y avoir une résidence est devenu à la mode chez les bobos
C'est pour justifier des ventes à prix exorbitants que certains propriétaires terriens ont avancé cet argument fallacieux
Mais si tu passe un coup de charrue, ou que tu fais paitre des animaux, sur un terrain, il ne rentre pas dans le calcul de l'ISF

blog.agriconomie.com/amp/lisf-et-les-biens-agricoles/ Afficher tout C'est vrai que les terres agricoles n'entre pas dans le décompte de l'ISF... Mais il y a quand même eu des situations que décrit @BuzzL'éclair, notamment sur l'île de Ré comme tu le dis justement.
Avec l'IFI (impôt sur la fortune immobilière), et beaucoup de retraités agriculteurs. Possédant une résidence principale, bien souvent leur ancienne ferme, qui valait beaucoup d'argent avec la flambée de l'immobilier là-bas (dans d'autres régions aussi, mais c'est vrai qu'on a parlé de l'île de Ré surtout)... Grosse valeur de la résidence, donc, mais minuscule retraite et un impôt sur l'immobilier qu'ils ne pouvaient pas payer ; sinon en vendant leur bien...
L'IFI commence à 800 000€, dans une première tranche jusqu'à 1 300 000€. Et puis ça augmente... Un grand corps de ferme, sur un grand terrain, attise les convoitises dans certaines régions ; et on arrive très vite à ces valeurs.

rem170 a écrit : C'est vrai que les terres agricoles n'entre pas dans le décompte de l'ISF... Mais il y a quand même eu des situations que décrit @BuzzL'éclair, notamment sur l'île de Ré comme tu le dis justement.
Avec l'IFI (impôt sur la fortune immobilière), et beaucoup de retraités agriculteurs. Possédant une résidence principale, bien souvent leur ancienne ferme, qui valait beaucoup d'argent avec la flambée de l'immobilier là-bas (dans d'autres régions aussi, mais c'est vrai qu'on a parlé de l'île de Ré surtout)... Grosse valeur de la résidence, donc, mais minuscule retraite et un impôt sur l'immobilier qu'ils ne pouvaient pas payer ; sinon en vendant leur bien...
L'IFI commence à 800 000€, dans une première tranche jusqu'à 1 300 000€. Et puis ça augmente... Un grand corps de ferme, sur un grand terrain, attise les convoitises dans certaines régions ; et on arrive très vite à ces valeurs. Afficher tout Y'a aussi le fait que des terrains agricoles passent en zone constructible alors que le proprio n'a rien demandé, ca peut y jouer? Je ne sais pas.