Paris fait un miel de qualité

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Il existe un rucher en plein cœur de Paris, le rucher-école du jardin du Luxembourg. Créé par Henry Hamet en 1856, il abrite plusieurs colonies d'abeilles dont le miel, réputé pour sa qualité, est vendu chaque automne. Aujourd'hui encore, le rucher sert de lieu de formation pour les apiculteurs.


Commentaires préférés (3)

Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément)

a écrit : Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément) Les ruches de ville ou de garrigue et forêts donnent généralement du miel de meilleure qualité de par la diversité de plantes à disposition des abeilles et la quasi inexistence de pesticides, dans les campagnes les grands champs de monoculture pleins de pesticides tuent les abeilles...

Il y a de plus en plus de ruches non professionnelles dans les grandes villes aussi, c'est soumis à réglementation mais c'est possible. C'est un peu comme faire pousser des tomates sur son balcon, mais le mieux, c'est de faire ça dans les lotissements avec jardin si vous avez la chance d'en avoir un, même petit, les abeilles seront préservées (autant que faire se peut) des pesticides et vu qu'elles peuvent aller butiner à 5 km du nid, ca fait une grande surface.

Il y a plein de techniques pour favoriser la vie sauvage dans nos environnements urbains et périurbains, il faut s'y intéresser, à condition d'en avoir le temps


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Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément)

a écrit : Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément) Les ruches de ville ou de garrigue et forêts donnent généralement du miel de meilleure qualité de par la diversité de plantes à disposition des abeilles et la quasi inexistence de pesticides, dans les campagnes les grands champs de monoculture pleins de pesticides tuent les abeilles...

a écrit : Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément) Ce qui fait la qualité de ces miels urbains, c'est aussi l'interdiction des pesticides en ville, il me semble.

a écrit : Avec un petit goût de gasoil ??? C’est bientôt interdit dans Paris :P

a écrit : Les ruches de ville ou de garrigue et forêts donnent généralement du miel de meilleure qualité de par la diversité de plantes à disposition des abeilles et la quasi inexistence de pesticides, dans les campagnes les grands champs de monoculture pleins de pesticides tuent les abeilles... Plus que des pesticides, il s'agit principalement d'insecticides, dont les "fameux" néonicotinoïdes inventés par un chimiste Japonais.
Le débat est ouvert depuis déjà plusieurs années, à savoir s'il faut les interdire ou non.

Il y a de plus en plus de ruches non professionnelles dans les grandes villes aussi, c'est soumis à réglementation mais c'est possible. C'est un peu comme faire pousser des tomates sur son balcon, mais le mieux, c'est de faire ça dans les lotissements avec jardin si vous avez la chance d'en avoir un, même petit, les abeilles seront préservées (autant que faire se peut) des pesticides et vu qu'elles peuvent aller butiner à 5 km du nid, ca fait une grande surface.

Il y a plein de techniques pour favoriser la vie sauvage dans nos environnements urbains et périurbains, il faut s'y intéresser, à condition d'en avoir le temps

Chez moi il y a des ruches sur le toit d'un centre commercial et il est vendu dans ce centre commercial justement.....

a écrit : Chez moi il y a des ruches sur le toit d'un centre commercial et il est vendu dans ce centre commercial justement..... C'est pas con, mais, ils pont planté les fleurs quoi vont avec?

Plutot que de planter des ficus.... parce que vers chez loi ils plantent des trucs pas chiants à entretenir, comme des panneaux solaires, je suis pas contre hein, mais... les abeilles...

a écrit : Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément) Et il y a également de plus en plus de ruches sur les toits de bâtiments privés, ainsi que dans les squares, jardins, etc. (publics ou privés).

a écrit : Et il y a également de plus en plus de ruches sur les toits de bâtiments privés, ainsi que dans les squares, jardins, etc. (publics ou privés). Si ça peut sauver les abeilles ;)

D'apparence une bonne nouvelle, la multiplication a l'excès des ruches a Paris (et dans les grandes villes) a un effet pervers : les abeilles élevées butinent tout le nectar des fleurs de ville, ne laissant plus rien pour tous les autres pollinisateurs qui existent (y compris des espèces plus rares d'abeille)... Bref c'est comme tout, l'excès n'est jamais une bonne idée.

Et pour s'inscrire aux cours, c'est uniquement sur place, le jour de la vente du miel (un samedi vers le 20 septembre en général). Il y a une longue liste d'attente, une centaine de personnes peuvent suivre la formation chaque année. Mais ça vaut le coup ! Source: j'ai suivi la formation

a écrit : D'apparence une bonne nouvelle, la multiplication a l'excès des ruches a Paris (et dans les grandes villes) a un effet pervers : les abeilles élevées butinent tout le nectar des fleurs de ville, ne laissant plus rien pour tous les autres pollinisateurs qui existent (y compris des espèces plus rares d'abeille)... Bref c'est comme tout, l'excès n'est jamais une bonne idée. Afficher tout Alors, on fait quoi? C'est bien de dire qu'on pourrait mieux faire, mais ca serait mieux de dire comment mieux faire...

Des nids pour abeilles solitaires par exemple. :)

Couiner, ca brasse du vent mais pas plus.

a écrit : Il y a de plus en plus de ruches non professionnelles dans les grandes villes aussi, c'est soumis à réglementation mais c'est possible. C'est un peu comme faire pousser des tomates sur son balcon, mais le mieux, c'est de faire ça dans les lotissements avec jardin si vous avez la chance d'en avoir un, même petit, les abeilles seront préservées (autant que faire se peut) des pesticides et vu qu'elles peuvent aller butiner à 5 km du nid, ca fait une grande surface.

Il y a plein de techniques pour favoriser la vie sauvage dans nos environnements urbains et périurbains, il faut s'y intéresser, à condition d'en avoir le temps
Afficher tout
C'est vrai qu'on arrive doucement à une réglementation pour faire pousser ses tomates dans le jardin.

a écrit : C'est vrai qu'on arrive doucement à une réglementation pour faire pousser ses tomates dans le jardin. quelle réglementation?

Tu parle des abeilles en ville? Beh met une ruche au rez de chaussée, ca va mal passer. Mais des artichauds, pas de soucis!

Tu peux faire pousser ce que tu veux dans ton jardin, sauf du cannabis, du pavot et de la coca... sauf dérogation d'état^^

a écrit : Il y a aussi des ruches sur les toits de certains bâtiments publiques parisiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le miel parisien est réputé pour sa qualité due à la grande diversité des plantes à disposition des abeilles (principalement des plantes d'agrément) C'est sûr que le Parisien ne crachera jamais sur ca ville...
Mais oser comparer la qualité d'un miel bio de campagne avec ça...
Comment dire...

a écrit : Alors, on fait quoi? C'est bien de dire qu'on pourrait mieux faire, mais ca serait mieux de dire comment mieux faire...

Des nids pour abeilles solitaires par exemple. :)

Couiner, ca brasse du vent mais pas plus.
On s'inspire des solutions douces et du lowtech.
J'ai toujours été attiré par ce genre de solutions peu couteuses et qui laissent la nature faire tout le travail.
Comme installer des nichoirs a chauve souris dans les zones avec beaucoup de moustiques.
Ou bien mettre des poissons dans les eaux stagnantes pour qu'ils mangent les larves de moustiques.
Mettre des plantes en ville pour lutter contre la chaleur.
Etc.

a écrit : Alors, on fait quoi? C'est bien de dire qu'on pourrait mieux faire, mais ca serait mieux de dire comment mieux faire...

Des nids pour abeilles solitaires par exemple. :)

Couiner, ca brasse du vent mais pas plus.
Jette des graines de fleurs sauvages local au hasard partout où tu passe...