Jusqu'au début du XXe siècle, les perroquets étaient très communs dans plus de la moitié des états américains. La Conure de Caroline, peu méfiante et parfois considérée comme un nuisible, fut malheureusement abondamment chassée, et le dernier spécimen s'éteignit en 1918.
Commentaires préférés (3)
Ça ne me surprend pas, sur Marseille et alentours, il y a de plus en plus de perruches vertes suite à une introduction dans le Parc Borély, elle se sont bien adaptées au climat et s'étendent à d'autres villes. Elles sont considérées comme nuisibles et ça ne m'étonnerait pas que d'ici peu elles soient chassées également. Par contre les pigeons... On les laisse... Personnellement je préfère voir des perruches vertes que des nuées de pigeons, mais vous comprenez, elles mangent aussi des fruits les perruches... Alors c'est plus gênant...
Désolée, mais dans tous tes exemples c'est l'homme le nuisible, qui déplace des espèces, rase tout pour faire des villes et encore le reste pour y faire des décharges ... Aucune perruche, ni aucune autre bestiole, ne sera jamais aussi invasive que l'humain... Ni aussi capable de détruire d'autres espèces et leurs habitats. Ça me fait doucement rire ces histoires d'espèces invasives... Faudrait qu'on commence par se réguler nous même avant de "faire le tri" chez les autres !
Tous les commentaires (34)
Ça ne me surprend pas, sur Marseille et alentours, il y a de plus en plus de perruches vertes suite à une introduction dans le Parc Borély, elle se sont bien adaptées au climat et s'étendent à d'autres villes. Elles sont considérées comme nuisibles et ça ne m'étonnerait pas que d'ici peu elles soient chassées également. Par contre les pigeons... On les laisse... Personnellement je préfère voir des perruches vertes que des nuées de pigeons, mais vous comprenez, elles mangent aussi des fruits les perruches... Alors c'est plus gênant...
Désolée, mais dans tous tes exemples c'est l'homme le nuisible, qui déplace des espèces, rase tout pour faire des villes et encore le reste pour y faire des décharges ... Aucune perruche, ni aucune autre bestiole, ne sera jamais aussi invasive que l'humain... Ni aussi capable de détruire d'autres espèces et leurs habitats. Ça me fait doucement rire ces histoires d'espèces invasives... Faudrait qu'on commence par se réguler nous même avant de "faire le tri" chez les autres !
Moi je considère que si l'Homme est la, c'est bien qu'il y à une raison. On fait peut être même partie d'un processus naturel.
La nature « reprogramme » certaines espèces pour nettoyer le brun que l’humain crée parce qu’on est tellement évolué qu’on a créé un truc qui n’existait pas dans la nature : le déchet, dont on est incapable de se débarrasser.
La nature a créé des plantes qui assainissent les sols, des bactéries qui bouffent certains métaux dans les océans… La capacité d’adaptation de la nature, en fait l’entité la plus intelligente, de notre environnement. Raison pour laquelle, elle sera toujours là quand nous ne serons plus
fr.wikipedia.org/wiki/Pigeon_biset#Domestication_et_retour_%C3%A0_la_vie_sauvage,_fonctions_de_son_%C3%A9levage
On ne fait plus d'enfants ? pourquoi pas... et si ça ne suffit pas ? on en choisi quelques dizaines de millions (voire centaines) et on les immole ? non, c'est pas bon en "bilan carbone", faut trouver autre chose ;)
Et puis, oui... il y a des villes et des villages. Tu vis dans une grotte dans une montagne toi ?
Tout ça pour dire qu'on le sait que l'Homme fait des conneries ; on le sait que c'est à cause de lui que des espèces ont été "déplacées" (parfois même sans volonté délibérée ; dans les calles des bateaux, des avions...)... Ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas essayer, une fois qu'on s'en rend compte, de "re-réguler" certaines populations, afin d'éviter la destruction totale d'espèces endémiques quand elles sont devenues en danger. Que ce soit à cause de l'Homme ou pas, une "espèce invasive" est une espèce invasive. Qu'il soit lui aussi la pire des espèces invasives n'y change rien, et se "molester" en disant "c'est notre faute, c'est notre très grande faute" ne fait pas avancer les choses.
Ca ne sert à rien d'enfoncer des portes ouvertes ; il faut des solutions... "palliatives" souvent, oui, malheureusement et tu as raison ; mais des solutions, pas seulement des constats.
C'est le verbe "réguler", que tu as employé en disant que l'Homme devrait commencer par lui, alors qu'on parlait d'espèces invasives... Je pensais donc que tu parlais de "régulation de population" ! et je me posais la question de savoir comment tu pensais "réguler" la population humaine :) Tu me donnes ta réponse dans une ligne (le reste est un autre sujet en l'occurence) : tu t'abstiens... Personnellement je suis assez d'accord avec ça ; mais avant que nous ayons convaincu la planète de ne plus faire d'enfants, il n'y aura plus d'eau qui coulera sous les ponts depuis longtemps !
Aux utopies, je préfère les combats qui ont des chances d'aboutir ;)
A chaque fois que je lis « l’espèce a disparu à cause de nos aïeux » je me dis qu’ils étaient quand même bien cons, mes aïeux. Quel peut être le crétin qui a occis le dernier dodo ? Et puis je me rappelle dans quel monde je vis, et je me dis que le jugement sur mes agissements sera bien pire, et mérité.
Comme il sauve/preserve aussi beaucoup d'autre endroits sur terre. Tout espoir n'est pas perdu (enfin pour une petite partie de l'humanité, mais la majorité ne mérite pas d'être sauvé).
Mais à la vue de tes propos et de tes supposés lecteur je pense que tu le sais.
Rien à rajouter si ce n'est merci ;)
Malheureusement, on est trop peu à essayer de vivre juste simplement... mais je me retrouve dans ton propos et ça s'appelle vivre avec sa conscience. On ne peut pas l'imposer aux autres (serait ce souhaitable d'ailleurs ? Entre la finalité et les moyens) mais juste essayer de réveiller les autres et les sortir du déni léthargique avant qu'il ne soit trop tard, si ce n'est déjà pas le cas.....