La comptine "Jean Petit qui danse", loin d'être une manière d'apprendre les parties du corps aux tout petits, fait référence au supplice de la roue, où l'on brisait un par un les membres et articulations des suppliciés : doigts, main, coude. La chanson raconte le supplice de Jean Petit, chirurgien de Villefranche de Rouergue qui fut l'un des chef de l'insurrection des croquants en 1643.
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Et au clair de la lune une chanson sur l’impuissance.
Mais j’imagine que pour toutes ce sont de libres interprétations.
Nés dans une société plus juste et riche que jamais, comparé à l'état de la société aujourd'hui, on peut pas dire qu'il y a de quoi être fiers de léguer ça à ses petits-enfants.
Les "jeunes" jugent les vieux en se basant sur le résultat 10, 20 ou 50 ans après, ce qui est particulièrement aisé... et un peu malhonnête aussi, car l'erreur faisant partie de l'essence de l'Homme, il sera toujours facile de trouver quelques chose à reprocher aux anciens. Nul doute que les jeunes d'aujourd'hui se feront aussi déglinguer par les futurs jeunes pas encore nés.
Les "vieux" trouvent toujours les jeunes générations décadentes et déconnectées. Certains d'entre vous avaient ressortis des référence montrant que ça remonte à la nuit des temps, ce qui est normal puisque la société évolue en permanence.
Je suis né à villefranche, vraiment une très belle bastide, il y a beaucoup de choses à découvrir autour également. Je connaissait cette histoire et il y a une petite place qui porte le nom de Jean petit.
Certaines sources précisent qu'il était laboureur et non chirurgien, ce qui me semble plus logique pour un meneur de révolte paysanne...
On croirait lire des vieux réacs d’aujourd’hui, alors que ça s'adresse aux ancêtres de ces réacs.
Disons que je trouve que ça devrait être aux anciens de rendre leurs descendance fière et non l'inverse. Sinon on en serait encore à vivre dans les arbres si chaque génération devait se conformer à ce que faisait l'ancienne (cf les Amishs)