Il existe des tourbillons océaniques en centaine de kilomètres

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Certains tourbillons océaniques peuvent atteindre des tailles colossales et durer des mois. Ils sont parfois rendus visibles, et donc facilement mesurables par satellite, à cause du phytoplancton qu'ils entrainent dans leur course. En 2011, par exemple, un tourbillon de 150 km s'est formé au large de l'Afrique du Sud.


Commentaires préférés (3)

A combien de nœud ça tourne ? J'ai cherché dans les sources j'ai pas trouvé. Je me posais la question quand t'es en bateau, savoir si c'est navigable en quelques sorte.

Pour donner un ordre d'idée, le gyre de l'Atlantique nord (courant circulaire entre les USA et l'Europe) atteint une vitesse moyenne de 2,5 m/s (9 km/h ou un peu moins de 5 noeuds) au niveau du gulf stream au large de la Floride et des côtes nord américaines. C'est navigable mais vaut mieux éviter d'avancer à contre courant.

Au centre de ce gyre on trouve la mer de Sargasses qui est connue pour être la seule mer sans rivage, une grande étendue d'eau sans courant, ni vague, ni vent, et rempli d'algues flottantes. (Et d'un continent de plastique en formation)


Tous les commentaires (10)

A combien de nœud ça tourne ? J'ai cherché dans les sources j'ai pas trouvé. Je me posais la question quand t'es en bateau, savoir si c'est navigable en quelques sorte.

Pour donner un ordre d'idée, le gyre de l'Atlantique nord (courant circulaire entre les USA et l'Europe) atteint une vitesse moyenne de 2,5 m/s (9 km/h ou un peu moins de 5 noeuds) au niveau du gulf stream au large de la Floride et des côtes nord américaines. C'est navigable mais vaut mieux éviter d'avancer à contre courant.

Au centre de ce gyre on trouve la mer de Sargasses qui est connue pour être la seule mer sans rivage, une grande étendue d'eau sans courant, ni vague, ni vent, et rempli d'algues flottantes. (Et d'un continent de plastique en formation)

a écrit : Pour donner un ordre d'idée, le gyre de l'Atlantique nord (courant circulaire entre les USA et l'Europe) atteint une vitesse moyenne de 2,5 m/s (9 km/h ou un peu moins de 5 noeuds) au niveau du gulf stream au large de la Floride et des côtes nord américaines. C'est navigable mais vaut mieux éviter d'avancer à contre courant.

Au centre de ce gyre on trouve la mer de Sargasses qui est connue pour être la seule mer sans rivage, une grande étendue d'eau sans courant, ni vague, ni vent, et rempli d'algues flottantes. (Et d'un continent de plastique en formation)
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Mer des Sargasses où des pirates sont bloqués dans (l'excellente) série Black Sails

a écrit : Pour donner un ordre d'idée, le gyre de l'Atlantique nord (courant circulaire entre les USA et l'Europe) atteint une vitesse moyenne de 2,5 m/s (9 km/h ou un peu moins de 5 noeuds) au niveau du gulf stream au large de la Floride et des côtes nord américaines. C'est navigable mais vaut mieux éviter d'avancer à contre courant.

Au centre de ce gyre on trouve la mer de Sargasses qui est connue pour être la seule mer sans rivage, une grande étendue d'eau sans courant, ni vague, ni vent, et rempli d'algues flottantes. (Et d'un continent de plastique en formation)
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Merci pour la découverte. J'ai toujours entendu ce nom de Mer des Sargasses (film, série et livres) sans jamais faire de recherches dessus. Tu devrais en faire une anecdote.

a écrit : Ma mémoire fait donc défaut. ;) c’est le début de la fin. Et sinon tu sais ce qu'est le pot-au-noir ? C'est une zone qu'il n'est pas facile de traverser non plus pour un voilier, car le vent y est souvent très faible voire inexistant. Il est situé le long de l'équateur, là ou les alizés se rencontrent et s'annulent. On en entend parler notamment dans les reportages sur le Vendée Globe Chalenge car les navigateurs doivent forcément le traverser et c'est un obstacle sur le parcours. Un ami, qui avait entendu ces reportages et n'avait pas fait des recherches dessus non plus, s'est finalement décidé à me poser la question, comme il savait que je faisais de la voile : il m'a demandé pourquoi il y a un poteau noir planté au milieu de l'atlantique...

a écrit : Et sinon tu sais ce qu'est le pot-au-noir ? C'est une zone qu'il n'est pas facile de traverser non plus pour un voilier, car le vent y est souvent très faible voire inexistant. Il est situé le long de l'équateur, là ou les alizés se rencontrent et s'annulent. On en entend parler notamment dans les reportages sur le Vendée Globe Chalenge car les navigateurs doivent forcément le traverser et c'est un obstacle sur le parcours. Un ami, qui avait entendu ces reportages et n'avait pas fait des recherches dessus non plus, s'est finalement décidé à me poser la question, comme il savait que je faisais de la voile : il m'a demandé pourquoi il y a un poteau noir planté au milieu de l'atlantique... Afficher tout Oui je connaissais (tu savais que ce nom provenait du jeu colin-maillard ?)

Tout comme les 40e rugissants, les 50e hurlants et les 60e déferlants.

"Sous 40 degrés, il n'y a plus de loi, mais sous 50 degrés il n'y a plus Dieu"

C'est d'ailleurs pour cela que Wellington est souvent appelé Windy Wellington car c'est une ville qui se trouve sur les 40e rugissant.

a écrit : Oui je connaissais (tu savais que ce nom provenait du jeu colin-maillard ?)

Tout comme les 40e rugissants, les 50e hurlants et les 60e déferlants.

"Sous 40 degrés, il n'y a plus de loi, mais sous 50 degrés il n'y a plus Dieu"

C'est d'ailleurs pour cel
a que Wellington est souvent appelé Windy Wellington car c'est une ville qui se trouve sur les 40e rugissant. Afficher tout
Pas besoin d'être situé dans les 40e rugissants pour avoir du vent et être surnommé "Windy" : "The Windy City" c'est Chicago et elle est située à la même lattitude que Barcelone !

On entend parler des conditions extrêmes de ces lattitudes au sud car pour les courses qui prétendent faire le tour du monde, et font en fait le tour du pôle Sud, le gagnant est celui qui fait le meilleur compromis entre affronter des conditions extrêmes (non seulement de vent, mais aussi les icebergs et les growlers (qui sont des petits icebergs (ou des gros glaçons) qui dépassent à peine de la surface de l'eau et qu'on évite donc difficilement)) en se rapprochant de l'Antarctique, et avoir des conditions un peu moins difficiles et dangereuses en rallongeant beaucoup sa route pour naviguer à la une plus faible lattitude. Dans le temps on se contentait d'affronter les 40e rugissants pour la navigation commerciale, quand les bateaux étaient moins optimisés et le temps pressait moins, c'est récent qu'on descende dans les 50e hurlants, il faut vraiment avoir envie de gagner une course !