Il existe des oiseaux pyromanes

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Les oiseaux pyromanes, aussi appelés 'firehawk' sont plusieurs espèces de rapaces en Australie qui intentionnellement permettraient la propagation de feux de brousse, afin de déloger des proies apeurés par les flammes, en saisissant des brindilles incandescentes et en les relâchant au loin.

Ce comportement fait l'objet de recherche par les ornithologues, et a été observé par les pompiers chargés de la lutte contre les incendies en Australie, et est désormais pris au sérieux pour lutter contre leur propagation.


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a écrit : Navré du doublon ! J'avais justement pris le temps de regarder s'il y avait une anecdote liée en tapant oiseau pyromane ou Firehawk, mais rien n'était sorti. Pas grave du tout.

3 Anecdotes en plus... gratuit.

La femelle du mérion superbe, un oiseau d'Australie, chante jusqu'à 30 fois par jour à sa couvée encore dans leurs coquilles, une mélodie propre à elle.
À mode de signature sonore, elle est en train de leur enseigner, durant cette phase "intra-utérine", comment s'identifier après naissance.
Une fois éclos, les oisillons piailleront ce "mot de passe", afin de s'identifier quand les parents apportent de la nourriture.

Voilà un principe de précaution... qui est bien plus subtil. Jugez plutôt.
Si à un oiseau parasite (du type Coucou), il lui vient à l'esprit de vouloir interchanger un des œufs pour le sien.... ben le futur rejetton n'aura pas appris la mélodie, ni recevra becquée que ce soit.
Paix ait son âme.
-----------------+-----------------
Toujours en Australie (...et Papouasie Nouvelle Guinée)
Le cacatoès noir peut remercier les incendies.
Quand un arbre est fragilisé, son bois interne peut être attaqué par les migro-organismes et les termites. Un creux dans le tronc, idéal pour y nicher une couvée...
Afin d'attirer une femelle et déterminer la qualité du logis, le mâle va maintenant prendre un bâton de bois, puis tambouriner ce tronc.
Il est supposé que, en fonction de la résonance, Madame donnera son avis favorable... ou pas.

youtu.be/2MIoXh_ORMw
------------+--------------
Voyageons un peu plus au Nord, en Asie du Sud-Est.
La couturière à longue queue porte bien son nom.
Au moment de la nidification, elle va s'installer dans un arbre à grandes feuilles (figuier, manguier....), puis perforer la périphérie de quelques unes. Ensuite, faisant usage de fibre végétale, elle va littéralement en coudre quelques-unes ensemble, afin d'y constituer une urne. C'est en ce lieu qu'elle construira son nid et pondra sa couvée.
youtu.be/TVC0iwULu48


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Pour inciter leur proie à fuir les flammes puis les chasser

a écrit : Navré du doublon ! J'avais justement pris le temps de regarder s'il y avait une anecdote liée en tapant oiseau pyromane ou Firehawk, mais rien n'était sorti. Pas grave du tout.

3 Anecdotes en plus... gratuit.

La femelle du mérion superbe, un oiseau d'Australie, chante jusqu'à 30 fois par jour à sa couvée encore dans leurs coquilles, une mélodie propre à elle.
À mode de signature sonore, elle est en train de leur enseigner, durant cette phase "intra-utérine", comment s'identifier après naissance.
Une fois éclos, les oisillons piailleront ce "mot de passe", afin de s'identifier quand les parents apportent de la nourriture.

Voilà un principe de précaution... qui est bien plus subtil. Jugez plutôt.
Si à un oiseau parasite (du type Coucou), il lui vient à l'esprit de vouloir interchanger un des œufs pour le sien.... ben le futur rejetton n'aura pas appris la mélodie, ni recevra becquée que ce soit.
Paix ait son âme.
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Toujours en Australie (...et Papouasie Nouvelle Guinée)
Le cacatoès noir peut remercier les incendies.
Quand un arbre est fragilisé, son bois interne peut être attaqué par les migro-organismes et les termites. Un creux dans le tronc, idéal pour y nicher une couvée...
Afin d'attirer une femelle et déterminer la qualité du logis, le mâle va maintenant prendre un bâton de bois, puis tambouriner ce tronc.
Il est supposé que, en fonction de la résonance, Madame donnera son avis favorable... ou pas.

youtu.be/2MIoXh_ORMw
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Voyageons un peu plus au Nord, en Asie du Sud-Est.
La couturière à longue queue porte bien son nom.
Au moment de la nidification, elle va s'installer dans un arbre à grandes feuilles (figuier, manguier....), puis perforer la périphérie de quelques unes. Ensuite, faisant usage de fibre végétale, elle va littéralement en coudre quelques-unes ensemble, afin d'y constituer une urne. C'est en ce lieu qu'elle construira son nid et pondra sa couvée.
youtu.be/TVC0iwULu48

Pardon, commentaire sous la mauvaise anecdote.