Les premiers modems étaient acoustiques : on posait le combiné du téléphone sur le modem qui était muni de deux coussinets avec une entrée et une sortie audio. Le signal était ainsi transmis sous forme de son, avec un débit assez limité et un gros inconvénient : il ne fallait pas faire de bruit dans la pièce.
Commentaires préférés (3)
C'était une sorte de machine à écrire, sans écran
.
La naissance du Phreaking en hacking voyait le jour.
Ce type de piratage consistait à jouer/reproduire un son bien spécifique dans une fréquence bien particulière afin d'accéder aux mêmes services sans souscrire d'abonnement ou payer (marchait également pour les cabines téléphoniques qui ont disparu)
Le procédé entier est à voir comme un ancêtre du routing, pour router une conversations téléphoniques, les opérateurs usaient de sons "signatures"... Mais comme toute signature, on peut la reproduire artificiellement !
Petite anecdote, qu'on peut retrouver dans le film Cybertraque retraçant l'histoire du plus grand hacker de l'histoire (en terme de contributions et d'histoire) Kévin Mitnick, une marque de céréale avec un jouet sonore dedans permettait de faire du Phreaking une fois de légères modifications apportées.
Aller pour le plaisir des oreilles sur les modèles un peu plus récents que celui de l'anecdote :
www.youtube.com/watch?v=hWNr9FBJhqQ&ab_channel=Veltins24
Et surtout on n'oublie pas de prévenir le reste du foyer de ne pas utiliser le téléphone et puis on enclenche son chronomètre car oui au début, on avait 10 ou 20h par mois d'internet...
Dites-ça à un jeune de 15 ans et il ne vous croira pas. Déjà que certains ne me croient pas quand je dis qu'on payaient 1 franc par sms de 160 caractères. Ensuite c'est passé à 15 c€ puis 10 c€. On écrivait en langage sms car on était pauvre, pas parce qu'on était illettré ^^. J'ai connu ça et pourtant je ne suis pas très vieux.
Tous les commentaires (26)
La première fois où j'ai vu ça, c'était dans l'excellent film : Wargames. ( Bon il date un peu ;)
C'était une sorte de machine à écrire, sans écran
.
La naissance du Phreaking en hacking voyait le jour.
Ce type de piratage consistait à jouer/reproduire un son bien spécifique dans une fréquence bien particulière afin d'accéder aux mêmes services sans souscrire d'abonnement ou payer (marchait également pour les cabines téléphoniques qui ont disparu)
Le procédé entier est à voir comme un ancêtre du routing, pour router une conversations téléphoniques, les opérateurs usaient de sons "signatures"... Mais comme toute signature, on peut la reproduire artificiellement !
Petite anecdote, qu'on peut retrouver dans le film Cybertraque retraçant l'histoire du plus grand hacker de l'histoire (en terme de contributions et d'histoire) Kévin Mitnick, une marque de céréale avec un jouet sonore dedans permettait de faire du Phreaking une fois de légères modifications apportées.
c 'est vrai , si je me rappelle c ' était dans les années 1970 , évidemment lent ; car le débit commercial d 'une ancienne ligne analogique devait se situer entre 50 et 3500 bits / secondes - bande suffisante pour une conversation normale _l 'avantage de ce modulateur / démodulateur , c 'est qu'il ne nécescitait aucun opérateur-
Dans les systémes de communications de l ' époque , et bien implanté dans dans toute grosse entreprise ou ,administrations j 'ai aussi bien connu et travaillé sur le télétype - appellé Télex - marque Sagem - et qui dans les Postes - PTT -servait a expédier les historiques Télégraphes - délivrés a l ' arrivée par de jeunes télégraphistes a vélo - d ' ailleurs souvent les futurs brillants facteurs devaient passer par cette voie !
Aller pour le plaisir des oreilles sur les modèles un peu plus récents que celui de l'anecdote :
www.youtube.com/watch?v=hWNr9FBJhqQ&ab_channel=Veltins24
Et surtout on n'oublie pas de prévenir le reste du foyer de ne pas utiliser le téléphone et puis on enclenche son chronomètre car oui au début, on avait 10 ou 20h par mois d'internet...
Dites-ça à un jeune de 15 ans et il ne vous croira pas. Déjà que certains ne me croient pas quand je dis qu'on payaient 1 franc par sms de 160 caractères. Ensuite c'est passé à 15 c€ puis 10 c€. On écrivait en langage sms car on était pauvre, pas parce qu'on était illettré ^^. J'ai connu ça et pourtant je ne suis pas très vieux.
la phase d'après, c'était les sms illimités mais les forfaits d'appel à 2h ou 4h... Du coup, les sms fusaient à mort (même si on étaient loin des moyennes actuelles) et on gardaient les appels juste pour appeler les parents pour venir nous chercher au sport ou au ciné :D
Les jeunes (mais pas que) n'ont pas l'histoire de tout ce bazar de télécommunications, pourtant le sujet est fascinant!!!
Je me rappellerai toujours ce vieil épisode de Columbo:
-Maintenant on peut téléphoner en automatique!
-Queah? Comment ils faisaient, avant?
-Ben, y'avait des ptites mains qui mettaient des ptits Jack dans des ptits trous.
-Gnhé? ^^
Et dernièrement, un pote super calé en informatique, quand je lui ai demandé qui a inventé l'ordinateur, et qu'il m'a répondu Steve Jobs, j'ai eu envie de le frapper... mais je m'égare, désolé. ;)
Par contre, l'anecdote, JMCMB, c'était quand même très bien pensé, Arpanet n'existait pas encore où était top secret quand ce système est sorti, si je ne m'abuse?!
ou alors c'est pour Mouvement Démocratique mais ça aussi c'est déjà Has been ^^.
J'ai sauvegarder mon premier programme basic sur une bande audio et oui c'est moche...8kilo de mémoire le zx81 soudé par moi même pour gagner un peu sur le prix....et pourtant en bidouillant la bête on faisait des miracles....optimisation maximum du code en assembleur! De bon souvenir et quand on a fait cela au fond rien n'a vraiment changer ...juste plus rapide, plus optimisé, plus sécurisé mais une instruction assez de base est identique....ah nostalgie
Perso, j'ai aussi passé un après-midi à coder un programme sur un TI 99 4A et je l'ai sauvegardé aussi sur une cassette audio. J'ai joué 1h avec et éteint le "PC". Quand j'ai voulu restauré le code pour rejouer, plus tard, impossible :(... La haine !!!!
Tout n'était pas aussi simple qu'aujourd'hui, à l'époque...
Pas mieux pour les SMS