La drôle de peinture d'une toile du Louvre

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Une peinture à l'huile du musée du Louvre, « Intérieur d’une cuisine », passe plutôt inaperçue, car la scène représentée n’a pas grand intérêt. Pourtant, elle est très particulière : les pigments utilisés dans l’huile furent obtenus à partir des cœurs momifiés de différentes familles royales, dont la française.


Tous les commentaires (46)

Alors l'ombre en haut gauche de la fenêtre me fait penser à un contre-jour, j'ai un peu le même effet à ma fenêtre.
Sinon au fond à droite, on peut voir une cheminée, et je ne vois pas de fourneau pour préparer la popote, on peut donc supposer , malgré la fenêtre ouverte sur une journée ensoleillée, qu'elle n'est pas éteinte .

a écrit : C'est peut être l'artiste qui a fait exprès de faire des défauts d'ombre, en tout cas je les vois aussi, merci, Elf. ^^ Sans aller jusqu'à dire qu'il l'a fait exprès on peut supposer qu'il était content du résultat tel qu'il apparaît et qu'il n'était pas trop pointilleux sur le réalisme de chaque ombre mais considérait plutôt l'impression d'ensemble. C'est d'ailleurs ce que j'ai fait aussi : même si je peux trouver des ombres qui ne sont pas réalistes, et ça m'a fait un effet un peu bizarre, ça ne m'a pas empêché d'apprécier la composition de ce tableau et l'impression de profondeur qui s'en dégage.

a écrit : Parce que ceux qui font des fautes d'orthographe ne le font pas exprès peut être?

Se mettre au niveau de celles et ceux qui n'ont pas tes capacités, ca ca serait une preuve d'intelligence de ta part.

J'ai un pote, il écrit comme un pied mais est superbon dans son domaine (l
'informatique), je le reprend uniquement quand... je comprends pas ce qu'il écrit sur Discord. Qu'es ce qu'on rigole! ^^ (je suis sérieux)

Et quand il me reprend parce que j'ai fait une connerie en informatique, il ne me prends pas de haut, il est sympa, mon pote. ;)
Toi t'est pas gentil. Mais attention, je suis peut être nul en informatique et en maths, mais je sais cracher sur des pizzas. Méfie toi. "hi hi"

Le respect, ce n'est pas une question d'intelligence ni de connaissance, c'est un code entre humains.
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je répondais juste à un commentaire qui disait :"Personnes n’écris une lettre de motivation ou un mail professionnel à ce que je sache non ?"
C'est ça qui m'as fait tiquer , comme si on pouvait se permettre d'écrire n'importe comment parce qu'on est en train d'écrire quelque chose de non officiel.
Ce qui pour moi tire les gens vers le bas.
Je fais des fautes d'orthographes comme tout le monde mais j'essaye au moins de ne pas en faire , je n'ai aucune capacités différentes de celles d'un autre , j'ai été aux même écoles , vécu dans le meme pays etc .
Bien sur que je me met à la place des gens et je me dis qu'une fois exclu les gens qui ont des soucis psychologiques , des handicaps (tout les "dys", google dit qu'on parle de 6 à 8 % de dys en France, ) , je pense pouvoir estimer que ceux qui restent(soit 92 à 94%) se disent que c'est pas grave les autres feront l'effort , c'est juste ce que je disait.
Merci de ne pas remettre en cause mon intelligence et ma gentillesse , et de ne pas cracher sur ma pizza ^^.

La question que je me pose c’est comment est-ce qu’ils fixaient les étagères à l’époque? Quand nous on utilise perceuse; vis; chevilles ..

a écrit : La question que je me pose c’est comment est-ce qu’ils fixaient les étagères à l’époque? Quand nous on utilise perceuse; vis; chevilles .. C'est une excellente question. En cherchant un peu, je n'ai pas trouvé de réponse.

Par contre, j'ai pu apprendre un élément que je n'avais jamais remarqué : "armoire" provient du lat. armarium ("réserve d'armes, arsenal").

a écrit : La question que je me pose c’est comment est-ce qu’ils fixaient les étagères à l’époque? Quand nous on utilise perceuse; vis; chevilles .. On pouvait sceller des supports dans le mur (des tiges métalliques qui dépassaient donc du mur et sur lesquelles reposaient l'étagère).

Sinon, pour éviter de faire de trop gros trous dans les murs, et pour avoir l'équivalent de nos chevilles actuelles, je dirais qu'on les suspendait à des crochets, c'est ce qui me semble le système de fixation le plus ancien parmi tout ce que je connais. Le crochet pouvait être soit vissé dans une cheville (en bois), scellée dans le mur avec du plâtre, soit scellé directement dans le mur.

De toute façon, si le scellement dans le mur n'avait pas été prévu lors de la construction, il fallait faire un trou, et avant d'avoir des perceuses électriques, on savait quand même faire des trous, avec des chignoles, qu'on faisait tourner à la main, comme une manivelle.

Et donc les supports, sous l'étagère, qu'on appelle maintenant des équerres, ne devaient pas être fixés dans le mur (contrairement à ce qui se fait maintenant puisqu'on fixe les équerres dans le mur à l'aide de chevilles et on pose l'étagère dessus ensuite) mais servir simplement de points d'appui pour empêcher l'étagère de basculer autour de ses crochets.

Quant à savoir comment l'étagère était suspendue au crochet, je suppose qu'on pouvait faire un trou directement dans le bois ou utiliser une petite plaque métallique percée d'un trou, elle même fixée à l'arrière de l'étagère.