Les vitres des grands buildings peuvent être recouvertes d’une couche de dioxyde de titane. Cela permet d’avoir des vitres « autonettoyantes ». Le dioxyde de titane a en effet deux propriétés intéressantes : il est hydrophile et il accélère la détérioration des produits organiques grâce aux rayons UV émis par le Soleil.
Le terme « autonettoyant » implique uniquement qu’une vitre revêtue de dioxyde de titane, reste propre plus longtemps qu’un verre ordinaire. Les produits organiques se détériorent de façon naturelle, mais la couche photocatalytique de dioxyde de titane permet d’accélérer cette détérioration. Les revêtements se dégradent néanmoins à cause des salissures minérales qui peuvent avoir tendance à recouvrir progressivement le revêtement. C’est pourquoi il faut quand même nettoyer ce type de vitres.
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J'avais cru comprendre que l'eau de pluie s'évacuait à partir de 40 km/h mais force est de constater que ce n'est mon cas. Mon écran est peut-être bon à changer.
Ce qui est dommage aussi, c'est d'en mettre dans certains médicaments pris quotidiennement par des milliers de personnes, alors que cela n'a aucun intérêt médical...
Je te mets plusieurs sources, ça te permettra de réfléchir avant de de mettre en doute des commentaires sur un sujet dont tu ignores tout
www.marieclaire.fr/colorant-e171-danger,1270664.asp
www.cancer-environnement.fr/559-Dioxyde-de-titane-E171.ce.aspx
www.anses.fr/fr/content/dioxyde-de-titane
J'adore ce genre de com bien argumenté
www.anses.fr/fr/content/dioxyde-de-titane), donc il ne peut être qualifié de "produit extrêmement dangereux pour la santé". Il n'y a pas de certitude sur son innocuité non plus, donc on doit être prudents et vigilants, sans pour autant répéter de fausses informations.
Ok j'admets mon argument n'était pas le meilleur. Je reprends : il n'y a pas de preuve que la consommation de TiO2 est dangereuse (Le très bon (bien que hautement déprimant) documentaire “la Grande Malbouffe” passé sur Arte en parlait, avec comme autre sujet celui des opaques “auxiliaires technologiques” qui peuvent être utilisés dans la fabrication d’un aliment sans nécessairement apparaître dans la composition inscrite sur l’emballage.