Dormir à bord de l'ISS n'est pas sans danger

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À bord de l'ISS, les astronautes pourraient suffoquer durant leur sommeil. En effet, en l'absence de courants d'air similaires à ceux sur Terre, une bulle d'air chargée en dioxyde de carbone peut se former autour de leur visage, les privant ainsi graduellement d'oxygène. Pour parer à cela, les couchettes sont toujours installées à proximité d'une ventilation.


Commentaires préférés (3)

2eme anecdote publiée en 10 ans de lecture... Je commence à prendre le rythme.
Je ne me rappelai pas cela dit qu'une anecdote similaire avait était publiée. Désolé.
Bise les gens

a écrit : De même quand ils vont aux toilettes, pas ce petit "blop" de la taupe qui tombe dans l'eau et pas cette petite éclaboussure qui vient te carresser l'anus... Frustrant. Alors « la taupe » comme tu dis s’appelle techniquement un étron! (Je viens de l’apprendre dernièrement...) et l’éclaboussure que la chute de ta selle moulée occasionne sur ton postérieur s’appelle poétiquement « le baiser de Poseidon »!...


Tous les commentaires (22)

2eme anecdote publiée en 10 ans de lecture... Je commence à prendre le rythme.
Je ne me rappelai pas cela dit qu'une anecdote similaire avait était publiée. Désolé.
Bise les gens

a écrit : Le problème c’est qu’en faisant une recherche avec ISS, il y a trop de réponses, du genre saucISSon ou fISSion... J’ai cherché astronaute, résultat en deuxième page... cette anecdote m’avait marquée, je m’en suis souvenu en lisant la nouvelle.

De même quand ils vont aux toilettes, pas ce petit "blop" de la taupe qui tombe dans l'eau et pas cette petite éclaboussure qui vient te carresser l'anus... Frustrant.

a écrit : 2eme anecdote publiée en 10 ans de lecture... Je commence à prendre le rythme.
Je ne me rappelai pas cela dit qu'une anecdote similaire avait était publiée. Désolé.
Bise les gens
C’est toujours intéressant et ça rappelle au nouveau venus l’anecdote

a écrit : De même quand ils vont aux toilettes, pas ce petit "blop" de la taupe qui tombe dans l'eau et pas cette petite éclaboussure qui vient te carresser l'anus... Frustrant. Et l'homme inventa la technique du papier dans la cuvette ;)

a écrit : Et l'homme inventa la technique du papier dans la cuvette ;) Howard Wolowitz s'en occupe

a écrit : De même quand ils vont aux toilettes, pas ce petit "blop" de la taupe qui tombe dans l'eau et pas cette petite éclaboussure qui vient te carresser l'anus... Frustrant. Alors « la taupe » comme tu dis s’appelle techniquement un étron! (Je viens de l’apprendre dernièrement...) et l’éclaboussure que la chute de ta selle moulée occasionne sur ton postérieur s’appelle poétiquement « le baiser de Poseidon »!...

J’ai un problème un peu similaire avec ma couette quand je mange un cassoulet.

a écrit : De même quand ils vont aux toilettes, pas ce petit "blop" de la taupe qui tombe dans l'eau et pas cette petite éclaboussure qui vient te carresser l'anus... Frustrant. Mdrrr

a écrit : Alors « la taupe » comme tu dis s’appelle techniquement un étron! (Je viens de l’apprendre dernièrement...) et l’éclaboussure que la chute de ta selle moulée occasionne sur ton postérieur s’appelle poétiquement « le baiser de Poseidon »!... Scientifique.!! et poétique...

a écrit : Et l'homme inventa la technique du papier dans la cuvette ;) Mais non surtout pas...

a écrit : Alors « la taupe » comme tu dis s’appelle techniquement un étron! (Je viens de l’apprendre dernièrement...) et l’éclaboussure que la chute de ta selle moulée occasionne sur ton postérieur s’appelle poétiquement « le baiser de Poseidon »!... Un étron.. OK , JMCMB
Je préfère la taupe ou le pain d'épice. Par contre j'aime bien le baiser de Poséidon...

a écrit : Alors « la taupe » comme tu dis s’appelle techniquement un étron! (Je viens de l’apprendre dernièrement...) et l’éclaboussure que la chute de ta selle moulée occasionne sur ton postérieur s’appelle poétiquement « le baiser de Poseidon »!... Afin d'apporter ma petite contribution, j'emploie le terme "back-plouf" pour parler du "baiser de Poseidon"

Ça doit être perturbant de dormir debout, enfin couché, ou tête en bas... c’est difficile de se le représenter. Impossible pour moi même

a écrit : Ça doit être perturbant de dormir debout, enfin couché, ou tête en bas... c’est difficile de se le représenter. Impossible pour moi même En fait, c'est difficile de se représenter un environnement où il n'y a pas de haut ni de bas, mais on peut s'en faire une idée dans une piscine, en plongeant (pas sauter dans l'eau mais aller sous l'eau et y rester, quelques secondes suffisent), fermer les yeux, faire des mouvements avec ses bras, ouvrir les yeux, et chercher la surface...

C'est comme ca que j'ai compris ce que ressentent les astronautes, sauf qu'eux, ils ressentent ça en permanence.

Pour l'anecdote, en fait, dormir sans ventilation permanente reviendrait sur terre à dormir avec un sac en plastique gonflé autour de la tête, l'air respiré reste autour, et ... on meurt d'asphyxie et j'en reviens à ce que j'ai dit plus haut, sans haut ni bas, l'air expiré, donc chaud, ben il ne peut pas monter, et stagne autour de l'endroit où on respire.

a écrit : J’ai un problème un peu similaire avec ma couette quand je mange un cassoulet. On a tous le même problème, la solution:

dégager le popotin de la couette avant de lâcher une caisse, comme ca le phénomène de convection peut faire son œuvre. ;)

a écrit : De même quand ils vont aux toilettes, pas ce petit "blop" de la taupe qui tombe dans l'eau et pas cette petite éclaboussure qui vient te carresser l'anus... Frustrant. En 1989 sur la navette Discovery, un astronaute a subi un tout autre genre de "caresse" en allant aux toilettes... Car les navettes étaient équipées de toilettes spatiales qui permettaient pour la première fois aux Américains de faire la grosse commission plus ou moins comme sur terre, au lieu d'utiliser des petits sacs plastiques (que la NASA avait d'ailleurs conçus transparents) comme c'était le cas lors des missions Apollo.
L'astronaute Fred Gregory était donc prêt à se délester d'une masse devenue inutile à la mission, lorsque les toilettes sur lesquelles il était fermement attaché par des sangles ont rencontré un petit problème technique... Elles étaient censé fonctionner comme une sorte de sas, avec une porte intérieure qui s'ouvrait pour qu'on puisse y déposer le colis, et une porte extérieure qui s'ouvrait ensuite pour stériliser et geler l'étron en l'exposant au vide spatial. Le problème est que cette fois ci, les deux portes se sont ouvertes en même temps... L'air s'échappait donc rapidement entre les jambes du pauvre astronaute coincé là, ce qui a rapidement déclenché une alarme réveillant ses coéquipiers, les alertant d'une urgence aux toilettes. Ils y découvrent leur commandant avec son pantalon baissé, avec le popotin coincé dans ce qui s'était transformé accidentellement en un très bon aspirateur Dyson. Et comme si ce n'était pas suffisant pour ce malheureux, les systèmes automatisés de la navette décidèrent immédiatement de compenser cette perte d'air en en réintroduisant à partir des réserves d'azote et d'oxygène, déclenchant un fort vent à une température bien en dessous de zéro... Directement dans la face de monsieur Gregory. Heureusement avec l'aide d'un collègue ils parvinrent néanmoins à fermer la valve des toilettes, libérant le commandant de cette expérience traumatisante. La mission put ensuite se poursuivre jusqu'à son terme après réparation de cet équipement critique et les astronautes rentrèrent sans encombres sur notre bonne vieille Terre où les toilettes sont confortables et où faire la grosse commission n'est pas un péril vital.

a écrit : En fait, c'est difficile de se représenter un environnement où il n'y a pas de haut ni de bas, mais on peut s'en faire une idée dans une piscine, en plongeant (pas sauter dans l'eau mais aller sous l'eau et y rester, quelques secondes suffisent), fermer les yeux, faire des mouvements avec ses bras, ouvrir les yeux, et chercher la surface...

C'est comme ca que j'ai compris ce que ressentent les astronautes, sauf qu'eux, ils ressentent ça en permanence.

Pour l'anecdote, en fait, dormir sans ventilation permanente reviendrait sur terre à dormir avec un sac en plastique gonflé autour de la tête, l'air respiré reste autour, et ... on meurt d'asphyxie et j'en reviens à ce que j'ai dit plus haut, sans haut ni bas, l'air expiré, donc chaud, ben il ne peut pas monter, et stagne autour de l'endroit où on respire.
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D'ailleurs, il me semble que les instruments muraux sont tous dans le même sens afin de donner un haut et un bas aux astronautes.