La fabrication de la majorité des bières industrielles requiert l’usage de l’ichtyocolle ou « colle de poisson », pour accélérer le processus de clarification. Obtenue à partir de vessies natatoires de poissons, cette colle permet d’éliminer les impuretés du produit. Ces bières ne sont donc pas véganes.
Commentaires préférés (3)
On peut obtenir la même chose avec l algue irlandaise Lichen carraghen. Ou en prolongeant la phase d empatage.
Donc sans utiliser un produit de base animal
Bon brassage en cette période de confinement
Effectivement, les bières utilisant ce procédé ne sont pas véganes. En revanche, de nombreuses bières industrielles (dont les marques sont très connues) le sont : Leffe, Guinness, Heineken, La Mort Subite, Carlsberg, Desperados, Corona, Grimbergen etc... Dans certains pays elles ne sont pas véganes (pour ceux que ça intéressent le site barnivore donne bcp d'infos).
Cependant, elles ne sont pas labellisées comme telles (à part peut-être certaines) car cela dépend de certaines usines de production qui, pour d'autres produits, utilisent des produits animaux.
Je tenais à ajouter mon avis par rapport à un commentaire que j'ai vu sur l'anecdote de hier (par rapport au vin). Chercher la petite bête pour embêter les végans est puéril et montre effectivement un manque de "tolérance" pour ceux qui ne mangent pas la même chose que nous. Le but n'étant pas d'être parfait (cela est impossible, on écrase des fourmis par inadvertance, on tue les poux dans les cheveux des enfants), mais d'éviter la consommation de produits animaux quand des alternatives existent, pour justement ne pas soutenir l'exploitation animale comme source de profits. D'autant plus que ce sont bien les végans, en majorité, qui dénoncent les pratiques bien plus que limite limite qui existent, ce sont bien eux qui ont vus des reportages et des images bien horribles que la majorité des gens évitent. Pourtant c'est la réalité... :/
Tu dis que chercher la petite bête est puéril mais être intolérant en expliquant aux autres comment vivre n est il pas encore plus puéril ?
L homme est un omnivore et dans son habitat naturel il mange de tout sans chercher à savoir s il peut remplacer tel aliment par tel autre. Il mange ce qu’il trouve et ce qu il aime.
Manger des fruits et légumes cela entraîne une sur exploitation des sols et la destruction de l habitat animalier. Donc le but n est pas atteint. Manger des fraises en janvier venant d autre pays a une taxe carbone exceptionnel ...
Manger trop de viande entraient l élevage en batterie qui est un excès et n est pas souhaitable. Manger trop de la neige poissons c est la ruine des ressources halieutiques.
Par contre manger des oranges en hiver, des fraises au printemps, manger de la viande une ou deux fois par semaine et idem pour le poisson c est respecter son environnement et ses envies (et besoin).
Ce qui peut être dénoncé c est là sur consommation mais quelqu’elle soit : trop de viande c est mal mais trop de légume qui ne sont pas de saisons c est pas mieux.
Par contre, l’idéal serait d arrêter de donner des leçons de vie aux gens dont le comportement est différent (sauf quant il est manifestement dangereux).
Tous les commentaires (60)
On peut obtenir la même chose avec l algue irlandaise Lichen carraghen. Ou en prolongeant la phase d empatage.
Donc sans utiliser un produit de base animal
Bon brassage en cette période de confinement
Y'a de l'écho ! Ha ha ! :-)
Non... promettez-moi de ne pas repartir sur le débat "végan" :)
Le terme correct qui devrait être employé n'est pas vegan mais végétalien
Effectivement, les bières utilisant ce procédé ne sont pas véganes. En revanche, de nombreuses bières industrielles (dont les marques sont très connues) le sont : Leffe, Guinness, Heineken, La Mort Subite, Carlsberg, Desperados, Corona, Grimbergen etc... Dans certains pays elles ne sont pas véganes (pour ceux que ça intéressent le site barnivore donne bcp d'infos).
Cependant, elles ne sont pas labellisées comme telles (à part peut-être certaines) car cela dépend de certaines usines de production qui, pour d'autres produits, utilisent des produits animaux.
Je tenais à ajouter mon avis par rapport à un commentaire que j'ai vu sur l'anecdote de hier (par rapport au vin). Chercher la petite bête pour embêter les végans est puéril et montre effectivement un manque de "tolérance" pour ceux qui ne mangent pas la même chose que nous. Le but n'étant pas d'être parfait (cela est impossible, on écrase des fourmis par inadvertance, on tue les poux dans les cheveux des enfants), mais d'éviter la consommation de produits animaux quand des alternatives existent, pour justement ne pas soutenir l'exploitation animale comme source de profits. D'autant plus que ce sont bien les végans, en majorité, qui dénoncent les pratiques bien plus que limite limite qui existent, ce sont bien eux qui ont vus des reportages et des images bien horribles que la majorité des gens évitent. Pourtant c'est la réalité... :/
Mais bon, vous voyez, Igotsunshine ne vous a pas lu...
"coller" avec des protéines de poisson se fait dans le vin également, cela se faisait même dans le temps avec des produits sanguins. Les clarifications font systématiquement perdre des arômes et du caractère a ce type de boissons, mais telle est le conditionnement du système... Quand au véganisme, sérieux, on en a vraiment rien a cirer, quand on voit le nombre d’insectes qui tombent dans les productions agricoles diverse, faudra un jour comprendre que de toutes façons rien est végan.
Tu dis que chercher la petite bête est puéril mais être intolérant en expliquant aux autres comment vivre n est il pas encore plus puéril ?
L homme est un omnivore et dans son habitat naturel il mange de tout sans chercher à savoir s il peut remplacer tel aliment par tel autre. Il mange ce qu’il trouve et ce qu il aime.
Manger des fruits et légumes cela entraîne une sur exploitation des sols et la destruction de l habitat animalier. Donc le but n est pas atteint. Manger des fraises en janvier venant d autre pays a une taxe carbone exceptionnel ...
Manger trop de viande entraient l élevage en batterie qui est un excès et n est pas souhaitable. Manger trop de la neige poissons c est la ruine des ressources halieutiques.
Par contre manger des oranges en hiver, des fraises au printemps, manger de la viande une ou deux fois par semaine et idem pour le poisson c est respecter son environnement et ses envies (et besoin).
Ce qui peut être dénoncé c est là sur consommation mais quelqu’elle soit : trop de viande c est mal mais trop de légume qui ne sont pas de saisons c est pas mieux.
Par contre, l’idéal serait d arrêter de donner des leçons de vie aux gens dont le comportement est différent (sauf quant il est manifestement dangereux).
Bel homme de paille en une seule ligne, tout ça pour amener ton point de vue en 3 paragraphes ...
Comment aller critiquer un point de vivre véganes quand par exemple celui-ci est de dire que de tuer des poissons pour préparer de la bière est à proscrire si nous avons une solution de rechange sans souffrance animale ? Ca paraît juste couler de source.
Mais pourquoi clarifier ? C'est super une bière bien épaisse.
Moi ma bière je la Fabrique moi-même comme ça je sais exactement ce que je mets dedans
Pour l'anecdote, j'ai toujours trouvé les bières un peu troubles meilleures, alors certes à l'oeil c'est moins agréable, mais qu'es ce qu'on ne ferait pas pour qu'un produit se vende, beau n'est pas forcément bon, c'est dommage!
L'ischticolle, ou les fameuses algues irish Moss qui ont le même effets, servent à clarifier la bière avant la phase de fermentation, pour éliminer les résidus de brassage qui risquent eux de donner de faux goût (farines de malt, restes de houblons, protéines coagulée, etc..).
Quand au débat végan/pas végan... Franchement, tant qu'on a de la bière, c'est le principal :)
En reponse au commentaire de @jonfronchoin, qui nest pas passé
( Le Net rame très dur aujourd'hui...)
Le goût français est formaté à la standardisation des produits alimentaires, où tout changement que ce soit du produit, sera perçu comme suspect.
Un exemple très représentatif : De plus en plus de restaurants se tournent aujourd'hui vers de la cinquième gamme élaborée en usine agro alimentaire, car c'est (malheureusement) le seul moyen de se rapprocher à une cuisine d'égale qualité dans le temps.
Je ne parle bien sûr pas de la haute gastronomie, qui elle, joue à un autre niveau.
hier, le vin
aujourd'hui, la bière
bientôt les vegans vont n'auront que le verre d'eau au bar