Alex était un perroquet gris du Gabon parmi les plus intelligents de son espèce : il connaissait 150 mots de vocabulaire et pouvait identifier les couleurs et 6 chiffres dont le zéro. Mais c'est surtout le seul animal à avoir déjà posé une question, demandant de quelle couleur il était.
Il faisait aussi preuve de malice, se trompant volontairement à certains exercices, allant même jusqu'à inventer un nouveau mot pour désigner une pomme parce qu'il n'arrivait pas à prononcer le mot "apple".
Commentaires préférés (3)
Alex a également activement participé aux recherches ayant permis de mettre en évidence le rayonnement cosmique et l’entropie des trous noirs.
C'est fantastique, j'aimerais tellement avoir un perroquet et faire la même chose ! Cependant j'ai du mal à croire à la question posée de lui-même par pure réflexion. Ça me semble incroyable qu'un animal puisse demander quelque chose qui ne soit pas de l'ordre des besoins primaires. Je veux dire, pour un perroquet, se poser la question de sa propre couleur, c'est limite philosophique non ?
Pour les intéressé(e)s, la seconde source met un lien vers une vidéo YouTube d'Alex.
On peut le voir durant ses exercices. Même si la vidéo est en anglais, le vocabulaire simple permet tout de même de comprendre facilement.
On remarque qu'il comprend la notion de surface («plus gros»,...), les couleurs et tout ce qui est expliqué dans l'anecdote.
Par contre, au début j'arrive pas à comprendre si il dit «can i have some water?» ou «i want some water». Dans le premier cas, ça serait fascinant si il a pu poser une question (avec la conception mentale que poser une question peut avoir).
Ou alors il a assimilé cette question au fait que lorsqu'il l'a dit, il a de l'eau (et non pas qu'il l'ait assimilé en comprenant que c'est une question).
Bref, voici la vidéo qui aurait pu être mise dans l'anecdote directement
youtu.be/7yGOgs_UlEc
Tous les commentaires (60)
Alex a également activement participé aux recherches ayant permis de mettre en évidence le rayonnement cosmique et l’entropie des trous noirs.
C'est fantastique, j'aimerais tellement avoir un perroquet et faire la même chose ! Cependant j'ai du mal à croire à la question posée de lui-même par pure réflexion. Ça me semble incroyable qu'un animal puisse demander quelque chose qui ne soit pas de l'ordre des besoins primaires. Je veux dire, pour un perroquet, se poser la question de sa propre couleur, c'est limite philosophique non ?
Pour les intéressé(e)s, la seconde source met un lien vers une vidéo YouTube d'Alex.
On peut le voir durant ses exercices. Même si la vidéo est en anglais, le vocabulaire simple permet tout de même de comprendre facilement.
On remarque qu'il comprend la notion de surface («plus gros»,...), les couleurs et tout ce qui est expliqué dans l'anecdote.
Par contre, au début j'arrive pas à comprendre si il dit «can i have some water?» ou «i want some water». Dans le premier cas, ça serait fascinant si il a pu poser une question (avec la conception mentale que poser une question peut avoir).
Ou alors il a assimilé cette question au fait que lorsqu'il l'a dit, il a de l'eau (et non pas qu'il l'ait assimilé en comprenant que c'est une question).
Bref, voici la vidéo qui aurait pu être mise dans l'anecdote directement
youtu.be/7yGOgs_UlEc
Du coup pour dire pomme il disait :
Wikoo.
Par contre il ne parlait pas.
Je l'ai vu passer il y a quelques jours cette information. De même, aucun mammifère ne peut poser de question à l'heure actuelle... C'est surtout ça le plus incroyable !
On dit que ces oiseaux ont les capacités mentales d'un enfant d'environ 5 ans... Ça se tient du coup ;)
Le perroquet à la mémoire cognitive la plus proche de l'homme, il est notamment capable de reconnaître les formes et les couleurs, et ne se contente pas de répéter bêtement ce qu'il entend. Un numéro du magazine la recherche (année 2000 je crois), lui était dédié
T'as pas pris tes pilules ?
Et d'accord avecTybsXckZ sur son dernier commentaire à ton égard.