L'album culte The Wall de Pink Floyd a la particularité de pouvoir se jouer en boucle. En effet, le premier morceau débute avec le prélude "...we came in ?" tandis que le dernier morceau se termine par "Isn't this where...". Le tout formant la phrase "Isn't this where we came in ?", qui peut d'ailleurs se traduire par "Ne serait-ce pas par ici que nous sommes arrivés ?". Ces deux morceaux de phrase sont sur un même fond musical pour compléter le raccord.
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T'es le bienvenu ;)
On peut certes le jouer en boucle mais l'album est très structuré linéairement et raconte bien une histoire qui a un début, un développement et une fin. Il reprend le thème souvent exploité par le Floyd, et en particulier Roger Waters, dans des albums comme The Dark Side of the Moon ou Wish You Were Here, de l'artiste victime de la commercialisation à outrance et du star system, qui finit par s'isoler et se déconnecter du monde réel.
Waters y développe aussi les conséquences dramatiques de la 2ème GM qui l'a privé de son père. Il reprendra également cette thématique dans The Final Cut, son dernier album avant son départ de Pink Floyd (injustement méconnu), dans lequel il constate que l'on n'a pas retenu la leçon puisque les méfaits de la guerre n'ont pas empêché Thatcher de se friter avec la dictature argentine...
Vous semblez vous y connaître, pourriez vous étayer un petit peu ?