Peut-être avez-vous déjà remarqué la spirale peinte sur le cône au centre d'un réacteur d'avion de ligne. Il s'agit d'une mesure de sécurité : cette spirale, également appelée virgule, permet au personnel travaillant sur le tarmac à proximité des avions de voir si le moteur est allumé et de prévenir ainsi tout risque d'aspiration.
Commentaires préférés (3)
On sait maintenant pourquoi les oiseaux se font piéger et meurent dans le réacteur, ils sont hypnotisés :D
En vol, ce sont les réacteur qui génèrent les puissances nécessaires au fonctionnement des systèmes.
Au sol c'est soit les réacteurs, soit l'APU (Auxiliary Power Unit) s'il y a, soit les groupes de parc qui fournissent électricités, conditionnement d'air et autres.
Tous sont bruyant, mais seul le réacteur peut aspirer un homme (homme qui dans un environnement bruyant porte des protections auditives).
De plus, les réacteurs sont allumés un par un, ce qui permet au pistard de confirmer au pilote la mise en route.
C'est un repère visuel, rien à voir avec le risque aviaire.
Tous les commentaires (19)
On sait maintenant pourquoi les oiseaux se font piéger et meurent dans le réacteur, ils sont hypnotisés :D
Il me semble avoir lu des commentaires qui en parlent sur une autre anecdote, une autre explication était qu'en tournant ça forme un motif qui effraie les oiseaux pour éviter justement qu'ils soient happés par la turbine, risquant de l'endommager.
En vol, ce sont les réacteur qui génèrent les puissances nécessaires au fonctionnement des systèmes.
Au sol c'est soit les réacteurs, soit l'APU (Auxiliary Power Unit) s'il y a, soit les groupes de parc qui fournissent électricités, conditionnement d'air et autres.
Tous sont bruyant, mais seul le réacteur peut aspirer un homme (homme qui dans un environnement bruyant porte des protections auditives).
De plus, les réacteurs sont allumés un par un, ce qui permet au pistard de confirmer au pilote la mise en route.
C'est un repère visuel, rien à voir avec le risque aviaire.
Sur le porte-avions Charles De Gaulle, une des mesures De sécurité indispensable pour accrocher un Hawkeye (avion à hélices) à l'aide de cales et de sésines, nécessite toujours de devoir y aller à deux, contrairement aux avions à réactions.
La raison est que lorsque le Ponev ( personnel du pont d'envol - le marin chargé de mettre les cales lorsque les avions sont encore en moteurs tournants) passe sous l'engin, il arrive fréquemment qu'il soit totalement désorienté et ne sache plus par où il doit ressortir. Il y a donc un risque qu'il reparte en direction des hélices mais ne peut les voir en raison de leur vitesse.
Le second Ponev a pour unique mission de se rappeler du chemin à emprunter pendant que l'autre fait son travail.
Cela peut paraître bête mais ça permet d'éviter les accidents. Il est déjà arrivé que des techniciens se fassent aspirer par les turbines d'un avion supersonique.
Désolé pour le léger hors sujet. :)
C'est plutôt pour savoir si le fan tourne dans le mauvais sens, ce qui peut poser un problème au démarrage. (si fort vent arrière)
2 anecdotes sur les avions et hier reportage sur le crash de AF Rio-Paris ! Je commence à flipper moi, je prends l'avion dans 3 jours ...