foudre a écrit : Je n aime du tout les théories de Freud... Comment croire un cocaïnomane ? ;)

freud a observe des enfants : jeu de la bobine pour les curieux. De plus, freud a proposé un fonctionnement de la psyché, comme tout travaux ses ecrits ont ete repris et approfondi. Certain auteurs ont suivi sa trace, d'autre ont exploré différente portes d'entrée de l'esprit (Winnicott, psychanalyste anglais qui a par exemple proposé un modèle de soin pour des enfants alors que la cure freudienne semble plus adapté a des adultes)

max17140 a écrit : C'est tout bidon ! Comment est-ce-qu'on peut élaborer des théories sur une population d'individus en s'appuyant sur l'étude d'une autre population donné. Il devait avoir des cases en moins le Sigmund. Il était atteint de la siphillis il me semble

M’enfin le bonhomme il avait quand même un cabinet dans un institut public pour enfants malades et il a travaillé pendant 10 ans (de 1886 à 1896, avant d’avoir élaboré ses théories donc) en neuropédiatrie dans une clinique privée à Viennes...

Après quant à la controverse sur ses théories c’est un autre sujet

Epist.MO a écrit : M’enfin le bonhomme il avait quand même un cabinet dans un institut public pour enfants malades et il a travaillé pendant 10 ans (de 1886 à 1896, avant d’avoir élaboré ses théories donc) en neuropédiatrie dans une clinique privée à Viennes...

Après quant à la controverse sur ses théories c’est un autre sujet Le fait qu'il est pris d'autres enfants en thérapie, ne change rien au fait que le très petit nombre de succès thérapeutiques qu'il a mentionnés étaient bidonnés.

On peut se demander du coup, si les enfants qu'il a eu en thérapie, souvent longue, n'auraient pas pu être réellement mieux traités par d'autres méthodes.

Au delà de la validité d'une théorie sous-jascente, c'est l'efficacité d'une thérapie qui est importante.

Freud a été largement influencé par sa consommation de drogues. On en parle peu, mais c'est en réalité le premier à avoir popularisé l'usage récréatif de la cocaïne en Europe. Il en aurait même donné à son père sous forme de gouttes comme anesthésiant pour une opération de cataracte. En réalité, le premier document écrit qui a mis Freud sur la carte concerne justement l'utilisation de la cocaïne à des fins médicales.

L’historien de la médecine Howard Markel affirme qu’en 1895, Freud consommait suffisamment de cocaïne pour ressentir des douleurs thoraciques et que ses voies nasales étaient tellement encombrées qu’il dut subir une intervention chirurgicale pour les ouvrir afin de pouvoir respirer. Cela expliquerait les relations amour-haine de Freud avec ses amis, ainsi que ses brusques changements d’idées. Comme c’est souvent le cas chez les cocaïnomanes, il avait un tempérament pharaonique.

David Cohen explore ainsi, dans un essai à la fois historique et polémique, les zones d’ombre et les fragilités du personnage qui en font selon lui le parfait candidat à l’addiction : dépressif, obsessionnel, sexuellement réprimé et malheureux.

Source : letempsdunebiere.ca/le-jeune-freud-et-la-cocaine/