En 2002, aux Jeux olympiques d'hiver de Salt Lake City, Steven Bradbury devint champion de patinage de vitesse sur 1000 mètres à la surprise générale. Il fallut un concours de circonstances pour que le patineur, loin d'être favori, remporte l'épreuve. En quart de finale, il profita d'une disqualification d'un adversaire pour passer au tour suivant. En demi-finale, une chute générale lui permit de terminer premier. En finale, c'est à nouveau une chute générale qui le fit devenir champion olympique alors qu'il était distancé.
Commentaires préférés (3)
La citation "les derniers seront les premiers" prend tout son sens dans cette anecdote.
A noté que dans les sources, il est dit que c'est son entraîneur qui lui conseilla,vu son faible niveau,de rester en arrière en finale pour espérer passez devant si des patineurs se gênaient entre eux et d'en profiter!
Toutes tactiques est bonne à prendre !
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L'inverse de la loi de Murphy :)
La citation "les derniers seront les premiers" prend tout son sens dans cette anecdote.
Ce phénomène aussi appelé "avoir beaucoup de cul"..
Obliger de penser au nageur Éric Moussambani mdr tout le monde connais je pense..
A noté que dans les sources, il est dit que c'est son entraîneur qui lui conseilla,vu son faible niveau,de rester en arrière en finale pour espérer passez devant si des patineurs se gênaient entre eux et d'en profiter!
Toutes tactiques est bonne à prendre !
D'ailleurs faire une bradbury est devenu une expression en Australie, qui signifie gagner avec bcp de chance ou avc un concours de circonstance.
À savoir qu'il est le premier champion olympique d'hiver de l'hémisphère Sud.
Comme la dit Obscuro c'est son entraîneur qui lui a conseillé cette tactique car les chutes sont très fréquentes sur 1000m en short track.
Pour les puristes, il s'agissait d'une épreuve de short track, qui comme son nom l'indique, se dispute sur une piste plus petite que les épreuves de patinage de vitesse, et dans laquelle il y a souvent des bousculades et des chutes...la preuve.
Il est australien, ce qui est étonnant pour les JO d'hiver
Juste après il a du appeler sa femme pour lui demander des comptes.
Son nom est même devenu une expression populaire en Australie.
"To do a Bradbury" (faire une Bradburry) signifie:
devenir le gagnant improbable d'une compétition ou réussir par hasard.
De plus, les JO d'été se sont bien passés à Helsinki, en 1952.
Son surnom : Pierre Richard !!
C'est en faisant n'importe quoi que l'on devient champion olympique !
Le remix s'impose
Oublie que t'a aucune chance ! Sur un malentendu ça peut marcher! :)